. Ça sonne creux ...

[Deblateur]

Voilà mon dernier texte, c'est un poème en alexandrins, enfin je crois qu'ils le sont tous.

Ce n'est pas la suite du dernier texte.

Il s'appelle Bonsoir.





Bonsoir mes sœurs d’amour, et aussi frères de mort.
La nuit nous offre t’elle en retour des remords ?
Bonsoir la belle fille que j’ai frappé de mes yeux.
Rien ne sortira de ce choc entre nous deux.
Nous n’en ajouterons pas plus sur toi et moi
Pas plus qu‘un roman que j’aurais écris de toi.

Bonsoir la triste histoire que je vous conte de honte
Et à ceux qui ont la malchance de l’entendre
Mais j’associe trop souvent néant et méandre
Et à ceux qui se demandent qu’est-ce qu’il raconte
N’en attendez pas moins du serpent ou méchant
Dans mes comtes ils sont ennemis d’homme ou d’Adam

Ce sera bientôt le début de toute fin
De ce très long carnage sans grand lendemain
Et vous en serrez les premières victimes
Ce sera le début de ma triste histoire
Et vous n’aurez qu’à vous remettre à mes rimes
Pour comprendre qu’il n’y a qu’à vous de voir.

Il ne tient qu’à vous de comprendre les endroits
Que mon cœur, LUI, compte pour ne pas s’endormir.
De voir avec vos yeux et de rester sans voix
Que l’homme qui vous conte ça, doit, LUI, sourire.
Bonsoir mes sœurs d’amour et aussi frères de mort
C’est sur la route de mon histoire que j’endors.

[Chakal D. Bibi]

Il est sympa ton poème quoique je doute d'avoir bien pigé...Le mec se fout en l'air c'est ça ?

Sinon t'avais balancé un truc super flex avant ce poème et ça devait être le début de quelque chose... xD C'est où ?? J'avais bien kiffé le dit-texte et j'voudrais bien lire la suite

[Deblateur]

C'est mon prochain texte Darth, t'en fais pas tu l'aura.

Celui-ci raconte en gros, l'histoire raconté par un homme. Il ne meurt pas, c'est une histoire triste qu'il raconte, mais sans plus.

[Deblateur]

Voili Voilou, je reviens, avec un peu de fromage dans mon panier.

Désolé, je n'ai pas poursuivi le texte de l'ami, j'ai trouvé une fille qui va tout gâcher, mais tant pis.

Alors voici mes fromages. :

Mon oreille ressent encore notre Amour.

Spoil: Mon dieu, qu’il en faut des amours. Pour trouver l’unique accords, Qui fait battre l’oreille du sourd. Qui fait pleurer les yeux de mon corps. Et qu’il m’en a fallu, du temps Pour comprendre que je ne suis pas le meilleur Ni le plus beau, ni ton plus attirant. Que je suis juste une âme sœur. Oh Dieu, qu’il en faut de l’espoir Pour arrêter la jalousie Qui bouffera tout ce qu’il faut croire Mais c’est ainsi qu’elle va ta vie. C’est ta triste histoire Et c’est ma désolante jalousie. Retire moi tout mes doutes. Comment te dire qu’aujourd’hui. J’ai peur de son retour. Comment te dire qu’aujourd’hui Je ne vie que plus que pour Aimer tout les instants Et t’aimer comme chaque histoires Que l’on comte aux enfants Avant d’endormir les soirs. Encore un dernier pincement A connaître votre commun passé A me dire que maintenant C’est à moi de le corriger Mais c’est plus fort que moi Je n’en suis pas capable De vous faire voir le roi Que son cœur accable. N’y voyant plus que nous Comment pourrais-je encore Croire que l’étreinte à nos cous Puisse nous rendre amoureux ou morts ? Mais c’est plus fort que nous Notre amour est fécond Notre amour fera tout Pour qu’on s’aime en leçons. A notre amour douteux Je lui dis au revoir. Et qu’à jamais ces questions Reste au fond du tiroir Du meuble de l’oublie Qu’il ne devienne jamais mélancolie. Et qu’en riant je puisse nous dire : « Je t’ai douté. Je t’ai aimé. »

Idiocratie

Spoil: Bienvenue en Idiocratie, où les vivant n’ont pas d’avenir Où la tangente n’est plus au rire et l’on ne nous apprends plus rien Sinon les chemins du déclin pour nous sortir de l’idiocratie Il est ou le besoin d’aimer, dans ma société amer et vidée Le désarroi de l’Idiocratie, c’est un bordel inconcevable C’est juste une poubelle instable et j’n’ai pas trouvé d’issue Dans les histoires tristes où le héros est toujours déçu De ne pouvoir faire qu’à la reine, du fist. Idiocratie encore une fois. Où le con c’est le roi Tu m’auras pas au petit jeu. De construire un système Et les victimes sont les preux Et elles construisent le paradis sans tes baptême. Quand je fais vibrer bénéfices, Quand tu plais à l’avarice. Quand je fais brûler nos besoins Quand tu pleurera dans nos reins. J’ai dis, aide moi, sors moi de là Je dis rejoins-moi petit paria J’ai dis aide nous, sors nous d’ici Je dis merde à l’idiocratie Quand on verra démocratie Cracher à la gueule de l’anarchie Quand on verra liberté Violer nos libre prisonniers Quand dans l’espoir Quand dans un miroir J’irais au front des grands bandits de l’état. J’irais t’aider, militants des grandes utopies A mettre mains et pieds dans la merde du roi Aux fronts des grandes libertés accroupies. Idiocratie encore à la fin A cet endroit si beau et bien Je verrais mes yeux se fermer Déséspéré d’y avoir cru A nos coups de haches dans l’assemblé Et à nos paroles perdues. J’attends toujours que tu me sorte de là. J’attendrais aussi longtemps que l’histoire nous apprendra Qu’aujourd’hui vaut mieux qu’hier. Mais pour demain qu’est-ce qu’on espère ? Idiocratie, viole moi. Idiocratie, tue-moi. Rallume moi mon enfant Je t’ai fait naître dans un monde perdant. Dans des choux à l’OGM Ou ta maîtresse aura la haine De t’enseigner la plus belle des vies que tu n’auras pas. De t’enseigner l’idiocratie, et ses magnifiques paysages. Pardonne moi. L’idiocratie à ton visage.

[Chakal D. Bibi]

Hey hey !! Je n'avais pas vu les nouveautés, tu as bien fait de mp pour m'en informer (oui je viens de te lire alors forcément les rimes viennent simplement puis se tirent)

J'ai beaucoup aimé le premier qui me fait penser je ne sais trop pourquoi à Mathilde de ce brave Brel ^^

Et le deuxième j'ai beaucoup aimé aussi parce que je me suis vachement retrouvé dedans en ce sens que je me suis souvent posé la question de savoir comment j'allais expliquer à mes enfants, reconnus ou non, pourquoi le monde est tel qu'il est aujourd'hui...

Bref encore une fois, bien joué beach boy Je mets ces deux là de côté

[Deblateur]

Petite création pour une petite et belle fille. USD.


________________________


Dis moi Julie, qui es-tu ?
Dis moi Julie, qui est-ce que tu pourrais être ? Une fille dans la normale, une fille de l’ordinaire. La simple fille de ton père, où la belle fille des histoires imaginaires ?
Ou la fille qui plaisante avec moi, et qui rit quand je fais mon pitre, ou qui supporte mes débats que je fais à mon propre titre.
Julie, t’as l’espoir de croire qu’un soir, tu pourras voir autre chose que le simple reflet du miroir. Autre chose que la simple Julie qui n’es pas ce que je vois. La Julie que j’ai vu, ni celle que j’espère. Mais la Julie des autres. Celle qui n’appartient ni à ses parents, ni à son amant. Ni à la vie, ni à ses envies. La Julie qui s’appartient.

Tu ne t’appartient plus quand quelqu’un te veux. Mais quand tu veux quelqu’un Julie, tu n’en parle tellement pas. C’est le mérite selon toi qui définirait si tu a le droit ou non d’avoir ce que tu veux pour être qui tu veux. Le mérite n’existe pas Julie, c’est une valeur de la vie. Ton mérite à toi, s’il existait serait sûrement d’être la plus belle au fond de toi, et la plus gentille qui soit. Mais je ne sais rien de ça Julie, ce qui n’existe pas, je ne le sais pas. Alors fait en sorte de l’exister. De le faire. De me faire exister, de nous faire exister. Pour qu’on sache c’est quoi, c’est qui, pour qu’on sache Julie.

Mais qui veux-tu ? Mais que veux-tu Julie ?
Mais qui te veux ?

Si tu ne sais pas ça Julie, ça n’existe pas.

[Chakal D. Bibi]

Mwhahaha

Citation:

Ou la fille qui plaisante avec moi, et qui rit quand je fais mon pitre, ou qui supporte mes débats que je fais à mon propre titre.

J'adore celle-là, bien narcissiquement (je sais pas si ça se dit ?) vu que je m'y retrouve carrément ^^ (pas dans la fille hein...)

En tout cas sympa comme tout, c'est léger et plaisant, good job

[Deblateur]

Jessica



Aux lumières éteintes et aux larmes de Jessica.
A la teintes de ses yeux et au parfum de ses doigts.
Si elle se cherche au fond de la misère des soirs
C’est qu’elle connaît déjà le sale reflet que rejette le miroir
Le reflet rouge que ses veines connaisse.
La teinte noir de ses cheveux sans tresses.

Si Jessica ne va pas bien
C’est parce qu’elle côtoie trop les chiens
Si Jessica ne sourit pas
C’est parce qu’elle connaît le trépas
Si Jessica ne sourit plus
C’est que sa vie a déjà vécu.

Si tu crois à ça Jessica.
Je ne sais pas comment tu t’en relèvera
Mais si ça n’existe pas.
Crois-moi.
Il t’en faudra tellement pour devenir une fille.
Tu me crois Jessica ?

A la lumières clair de ta peau
Jessica brûle jusqu’à même l’eau
A son parfum délicat et frissonnant
Jessica m’apprend.

A vivre comme un bon garçon
A aimer quitte à passer pour le con
A croire que la malheur ça n’existe pas
Et qu’au fond du rêves, je connais Jessica.
Le malheur ça n’est bon que pour les autres.
Et Jessica sait sur qui jeter la faute.

Bonne nuit Jessica.
Ne t’endors pas trop longtemps
Il se pourrais que demain soir
J’ai besoin de rêver un long moment
Pour arriver à croire
Aux bonheurs que tu renvois, Jessica.

[Deblateur]

Des armes, des hommes, des conflits vues du haut des tours, et du haut de ma pensée.

Du haut de mon rêve de petit homme j'ai vu beaucoup d'espoir et d'envies. Mais je n'ai jamais eu la place pour m'y asseoir. Je n'ai toujours était que spectateur de l'appartement des talents.

Il y avait toujours quelqu'un de bien, quelqu'un de mal, quelqu'un de différent, quelqu'un d'absent dans mon rêve. Il était toujours là. Le simple fait qu'il était absent expliquait sa présence. Il n'avait ni visage, ni figure. Mais il existait. Et il était toujours l'importance, le fait notoire de cette vision que je m'exposais les yeux fermés.
Quelques fois, il était le plus grand des musiciens, il avait des femmes et faisait jalouser toutes la gente masculine. Quelques fois, il était un héros, un héros déchu, un héros du bien, un héros du mal, un héros de la rue, un héros des châteaux, un héros qu'on s'imaginait simplement. Quelque fois même, il était simplement derrière un bureau, entrain d'écrire, de conter des histoires aux feuilles inondées d'encre noir, d'encre bleu.

Et c'était cette partie qui était la plus intéressante. C'était ce dernier personnage sans visage qui écrivait, qui se voulait être inconnue de sa plume ou de lui même, de sa cigarette qui fume, s'en allait des poèmes. Des poèmes qu'il récitait tout aussi bien qu'il les écrivait, des poèmes tout aussi beau que les poètes n'ont pu se servir dans la transe servie par leurs absinthe. Des poèmes, c'était ses armes, c'était tout les services qu'il rendait. Des illusions dites, lues, qui faisait tilt, qui ont plus, qui n'existait que lorsqu'on les lisait, que lorsqu'elles n'avaient été vues.
Et l'individu en question se retournait souvent sur sa chaise, dans son bureau, dans son rêve, pour écrire un poème qui pourrait au moins être illusoires pour tous, mais tout sauf dérisoire pour sa propre personne, et il écrivait ... ;

"Qui m'a donc donné vie ?
Et sur qui je puis compter ?
A qui dois-je rendre hommage ?
Je me suis toujours permis de douter.

Des visages et des figures me regardent
Mais je ne ressemble à aucun d'entre eux.
Des histoires qui me mettent en garde
Je n'aurais finalement que compris ...

Je resterais miséreux. "


L'identité du garçon m'a toujours était privé.
Mais j'ai toujours connue ce garçon
J'ai tout toujours su.

Je suis le garçon
Je rêvais le garçon.
J'étais le garçon.
Le garçon que j'étais.
Le garçon que je serais si l'identité était ce qu'elle est ...

[Deblateur]

Vous m’aviez promis, avant de naître.

Que j’aurais une vie comme nul autre paraître
Que j’aurais tout à soif de volonté.
Vous m’aviez dit avant tout ça qui je serais.
Et pourtant je n’y crois toujours pas.
Je n’ai que tout pour moi et rien pour soi.
Ma vie est comme celle des rois

Mais elle ne vaut pas mieux que quiconque.
Elle est identique à ceux qui la tronque.
Je ne mérite pas mieux qu’eux.
Je n’ai juste pour moi que l’état d’être heureux.
Et cet état vaut bien tout l’or des pouilleux.

Ma vie est le don que chacun me fait
Elle a le mérite de ne pas être parfaite
Mais celui de pouvoir un jour triompher.
De se relever de terre, de relever la tête.
Je ne crois pas aux malheur
Je ne crois pas non plus aux bonheur

Aujourd’hui, plus que maintenant
Je crois simplement qu’il est temps
De reculer en allant de l’avant.
De prendre temps et argent à qui l’entend.
De crever l’oeil ouvert en me disant :


Vous m’aviez promis qu’un jour, je serais grand.


Vous m'aviez aussi dit, qu'il m'en faudrait toujours plus

Et c'est faux, c'est la vie qu'on nous suce
Qui nous demande toujours moins.
La vie que l'on échangerais bien
Contre quelques services païens.

Cette même vie qui vous explique que la lune
Est le seule fardeaux que la nuit a portée.
Et que contre quelconque infortune
Elle serait prête à vous la donnée.
Que Marie est une sainte.
Qu'il ne faut pas y toucher
Mais qu'au bout de 3 pintes
A chaque mots vous la souillerez.

L'histoire aussi d'un paysan
Qui entendant des voix
S'en aller conter aux enfants
Les sois-disant miracles de la foi.

Les histoires des grecques
Qui dans leurs culte se sont perdues
Ne valant aujourd'hui pas mieux que des métèques.
Qui aujourd'hui ont pour tout le monde, déçues.

Toutes ces histoires vous m'aviez promis.
Que je pourrais en vivre une dans ma vie.
Je n'y crois toujours pas.
Vous m'avez rendu bien las.

J'ai mal au coeur, au dos et mes épaules.
De supporter chaque histoire venant de chaque pôle.
J'ai mal au coeur.
De ne pas en être un acteur.

Je n'y crois plus.
Prouvez moi avant de partir.
Que j'aurais triompher dans cette vie.
Triompher et puis mourir.

J'ai aussi appris que la gloire n'est pas dans la mort.
Mais que la mort est elle synonyme de gloire.
Mourir est un symbole.
La gloire est un fait.

Plus aucun fait ne découle d'une envie folle.
Plus aucun fait que je ferais n'en sera parfait.

Prouvez-moi avant de mourir.
Que vous m'aviez promis de me faire devenir ....

[Deblateur]

Dépravé, défoncé.


Dépravé mon ami
Est ce que tu vas finir ainsi
A crever pour une extasy
Qui t'apportera une fausse poésie.

Défoncé mon frère
Qu'en serait-il de ta misère
Si tu n'avais pas ta fierté précaire ?
Si tu n'avais pas foutu ta vie en l'air ?

Sors toi d'ici l'ami
Reste un peu près de nous, près d'ici
Que tes rires et ton coeur nous garde
Ceux que depuis trop longtemps tu retardes.

Mon frère tu sais, tu as le droit
D'avoir peur ou d'aimer quelques fois
De virer l'autre que tu as créé
Pour pleurer, implorer et arrêter de jouer.

Ta faucheuse s'appelles Marie-Jeanne
Y'a trop d'échecs dans ton jeu de dames.
Ton faucheur c'est Jack Daniel's
Et non pas tes histoires artificielles.

Ta faucheuse c'est une femme
Qui te laisse seul, corps et âme.
Ton faucheur c'est juste un joint
Ses cendres ne t'ammèneront pas bien loin.

[Saharienne]

Yoh ! Chose promise chose dûe !!!
Alors lisons !

Jlis à partir de Jessica par contre :p

Jessica, la première strophe m'a un peu heurtée, j'ai pas "accroché" comme il le faudrait pour une intro mais y'a un bon sens dla rime dans par exemple "connaisse" "tresse" ça sonne très bien, y'a de la sensualité aussi t'aurais pu encore faire un truc plus feutré et suave, sensuel. Connaisse/tresse c'est très sensuel par exemple.

Les "si" stune bonne idée mais le soucis c'est que t'as pas bossé le reste pour en faire un ti bijou, "vie a déjà vécut" ça marche pas quoi, ça fait répétition mais la répétition n'apporte rien... Dans ce genre de paragraphe très géométrique, basé donc sur la répétition des "si", t'as pas le droit à l'erreur sur un seul mots, un mots mal choisit saute à la gueule dans ce genre de cas....

La voix qui interpelle Jessica est pareil une bonne idée mais on voit difficilement où tu veux en venir...

Ai finis de lire !

ce poême fourmille de bonne idée, les sonorités sont souvent heureuses et servent une ambiance pour le moins agréable mais y'a trop de maladresse pour que l'on baigne réellement dans l'ambiance, des mots maladroits ou une signification générale un peu dure à deviner, au début je croyais Jessica du genre suicidaire, à la fin on dirait qu'elle est le type même de la fille idéale sans soucis prompte à faire rêver les mauvais garçons...

Un poême ça demande de la précision, du polissage, surtout sur des strophes courtes comme ça la moindre erreure se voit directe donc n'oublie pas de soigner la moindre virgule !

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Texte sans titre en "prose" suivant :

T'as l'air plus doué en prose, la première ligne accroche déjà plus "jamais eu la place de m'y asseoir" ça marche super bien... (fautes d'ortho était/été mais bon moi hein jvais pas te reprendre la dessus mdr)
"il était l'importance" j'adore, ouai t'as pas mal de bon coup d'mots dès le début j'accroche déjà plus.
L'accumulation du héro était pas utile par contre, trop long pour pas beaucoup d'effet sur le lecteur, en tout cas sur moi...
Toute la partie sur l'écriture montre une très bonne intention, le fond est très interessant mais la forme est là aussi maladroite, ça rend mal, on se passionne pas comme il le faudrait...

Y'a le même soucis que sur Jessica.
T'as de bonne idée de fond, de trame, quelques tournures bien sentie mais sur le sens global du texte et sur la précision, ça péche. Du coup on sait pas trop comment prendre tes textes.
Notament la figure de la répétition qu'il faudrait que tu bosses parce que ça te vient souvent à la plume mais t'arrives pas à ... "calibrer" la répétition pour servir ton texte...
Cela dit y'a d'excellent élément, si tu bossais plus sérieusement ça rendrait très bien direct :p

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Vous m'avez promis avant de naître...
"que j'aurais tout à soif de volonté" ça veut trop rien dire xD

J'ai peur que tu écrives pour la rime plutôt que pour le sens, "je n'ai que tout pour moi et rien pour sois..." ça aurait pu être nice mais ça marche pas :s
Par contre : "Vous m’aviez dit avant tout ça qui je serais.
Et pourtant je n’y crois toujours pas."
Ca c'est top !

Fait gaffe à l'ortho quand même ^^"""


Jsuis désolé mais y'a vraiment trop de maladresse dans ce poême, trop de phrase faites pour être jolies mais qui manque de sens ^^"

Les deux derniers vers sont très beaux...

Y'a pt une idée de départ bien sympa, ce que les parents promettent à leur petit confronté à la vie réelle et ses difficultés, mais y'a trop de salamalec, trop de fois ou je lis en me disant "qu'est ce qu'il a voulu me dire lui ?" donc ouai, y'aura un gros travail pour remodeler tout ça ^^""""""

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Le dernier :

Le soucis c'est que le sujet est très commun quand même xD J'adore tj les personnifications de Marie Janes mais bon xD
Par contre autant le fond là me laisse de marbre, autant je suis déjà plus attachée à la forme, ton poême est bien plus propre, bien mieux travaillé, le mêtre est bien réglé et l'ensemble parait plus cohérent, le sens de tes phrases est éminément plus clair...


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Le soucis c'est que tu ne travailles pas assez tes textes, canaillon :p
Ca se voit dans les fautes d'ortho mais aussi dans toutes les tites erreures et les sens cafardeux, tu pourrais faire d'excellent texte t'as un bon potentiel mais pour ça faudrait que tu penses au lecteur quand tu écris, à te faire comprendre de lui, à mettre les bonnes figures de style sur ce que tu veux dire et non pas pour faire jolis.

Je te garantis qu'avec un peu de travail ton niveau pour considérablement augmenter ^^

[Chakal D. Bibi]

Ayé j'ai tout lu !!!

J'ai fait un effort pour me ruiner un peu les yeux ^^

Donc Jessica, bien, j'aime les jeux de sonorités et, peut être parce que j'y connais que dalle en poésie en rime, je n'ai pas vu les erreurs de rythmes ou autres...Je le trouve fort plaisant

Par contre, comme Saha', j'te trouve bien plus doué pour la prose (et c'est ce que je préfère de toute façon^^) donc ton texte sur le poète en pleine crise existentielle (enfin je l'ai compris comme ça) m'a beaucoup parlé et même...ouais un peu ému aussi

Quand aux deux derniers poèmes...hum je ne sais trop quoi en penser, j'aime bien mais en même temps j'ai trouvé ça très classique ^^ C'est bien dit, bien tourné mais vu et répété Tu vois ce que j'veux dire ? Bon après on n'peut avoir des coups de génie à chaque écrits, n'est pas Baudelaire qui veut

En tout cas, j'te remercie pour cette bonne séance de lecture beach boy, keep on'

[Deblateur]

Merci à vous deux. C'est une critique très constructive pour moi.

Je vous désobéis une dernière fois avant d'attaquer la prose !




Les mois d'automne.



Mes mois d’automnes sont parties
Et reviendront bientôt mon ami.
Cette saison sans approche de beauté
Ce parfum de feuille, de chute inachevée.

Mon moi commence en Septembre
Là où la couleur des feuilles s’ambre.
Où les oiseaux ne trouvent que vers
Pour les petits des nids pairs.
Où commence une nouvelle saison
Un nouveau drame apparaît sur fond
Amertume et tristesse s’en iront
Pour laisser place aux grandes leçons

Derrière des fenêtres, et de grandes baies.
Un soulagement de n’avoir pas d’averse
Mais l’amer d’une jolie journée d’été.
Ces chaleurs au fond de nous d’un royaume perse.

Quand persistera l’averse.
Nous retrouveront l’hiver avec adresse.

Quand à l’Octobre.
Quand à sa météo
Quand à l’eau
Quand aux pauvres.

Quand la pluie inondera nos maison
Dans lesquelles nous y seront
Fière et Amer encore
D’avoir pu échapper à l’eau sur ton corps

Mon Amour est une averse d’octobre
Elle pleure et rit comme un nouveau née
Comme un enfant que la malheur a accablé.
Comme une fille triste, et heureuse d’avancer.
Mon Amour, tu es une averse d’Automne
Tes yeux en cloches regardent et sonnent
Les plus beau gris que le ciel ai trouvé
Pour croire encore une foi, à un Amour sauvegardé

En Novembre on assassine.
Le ciel est bleu mais indigne
De séjourner le jour en plein
D’y rester du soir au matin
On est triste et las de voir malgré nous
Que persiste le beau temps d’un fou
Inversé un ciel de zénith
En une eau tombante et bénite

Et quand à moi
Je crois pouvoir me dire
Qu’en Novembre de froid
Il y a beaucoup à rire.

En une seule et même raison
Les camarades se retrouvent après chaques leçons
Pour comprendre qu’il est temps d’arrêter
De torturer l’esprit, nos rues et vos cafés.
De simplement dormir et reposer.
Nos têtes trop pleines des lycées.

Et à Décembre
Quand les feuilles ont finit leurs ambres
Se retrouvent neutre et blanche
Terminant leurs chutes aux sol
Comme un geste de mains sur les hanches
Mademoiselle tombe et roule, molle.

Et aux cadeaux qui arriveront nos hivers.
Je crois être assez préparé
A annoncé la fin de mon Automne en guerre
Des saisons trop rapidement écoulé.

[Chakal D. Bibi]

Très joli sur la forme, je ne suis néanmoins pas sur d'avoir tout pigé xD Je le met de côté pour le relire avec plus d'attention ^^

[Deblateur]

Amoureux, tu t'en fous d'être séduisant.
Amoureux jamais content.
Amoureux tu perds le nord
Amoureux au corps à corps.

Heureux tu es séduisant.
Heureux d'être à la vie content
Heureux d'habiter dans le nord.
Heureux à la guitare, à l'accord.

Malheureux d'être séduit.
Malheureux d'être incontinent.
Malheureux de n'être que si peu fort.
Malheureux mais d'accord.

Malheureux d'être un heureux amoureux.

[Saharienne]

Y'a un soucis de rythme....
Au début ça commence comme du Noir Désir sérieux, ou punk en tout cas, tu le scanderais bien sur l'air "d'antisocial" le soucis c'est que ça perd en punch, en énergie, est la phrase finale est super mal foutue :s
Par contre l'énergie au début est super cool, c'est rare de voir ça ici !
Tu pourrais facilement bosser sur des textes coup de poing punk !

[Deblateur]

" A tout les rêves qui t'ont tendu les bras ... "
" A Mélissa ... "

Comme toute pucelle qui s'ignore, Mélissa arbore le regard " en-retard " de Julien. Il vient de passer la porte avec une force assez divine. A la cantine, Mélissa visite le corps exotique et la pine de Julien. Elle le suce du regard et il repart, sa mouille entre les mains. En effet, ils se sont isolés dans un sombre placard. Noir des ombres que leurs corps reflétaient. Ils s'embrassent brièvement et se laissent sèchement. Pourquoi jamais, ce que Julien ne baisait, n'était que son cul enflammé ? Pourquoi le ventre engrossé de Mélissa n'est pas juste " parfaitement plat " ? Pour tout ses désirs les pires soient-ils, Mélissa arbore son regard " en-cloque ". Julien provoque et engrosse, ainsi soit-il.