. Gin o Kami?

[devilsasuke]

J’aimerai avoir votre avis pour savoir si les jutsu (qui arriveront dans quelques chapitres) devront êtres, d’après vous, surlignés en gras et si vous voulez, à côté du jutsu la signification de ce qu’il veut dire en français ? (sachant que j’utilise un dictionnaire franco-japonais un petit peu douteux, il se peut que ce que j’écrive ne soit pas la traduction exact)

Je vous demande de l’indulgence, je n’écris pas beaucoup et donc je débute en fic. J’ai beaucoup de mal à décrire des scènes qui se passent au quotidien, mais je veux aussi de la franchise car j'aimerais progresser donc si c'est nul, n'hésitait pas à me le dire.

ATTENTION:
Il se peut que certains passage soient inspirés du manga ou cite un pouvoir particulier ce qui serait alors SPOILER donc vous voilà prévenu. (mais bon, cela sera rare et sera juste une référence souvent à des jutsu mais bon, voilà, au cas où que je dise quelques choses du manga, j'ai mon assurance)

Les pensées : En italique
Narration : Normal
Dialogue : Le nom de la personne qui parle devant son texte.



Chapitre 1 : Arrivé à bon port.

La quatrième grande guerre ninja est terminée grâce à l’intervention de Naruto mais aussi des efforts conjugués des 5 grandes nations. La mort de Madara mit fin à la guerre.

-------------------50 ans plus tard -------------------

Une ombre s’élevait au loin dans ce début de tempête de sable. Il s’en approcha. De plus prêt, il remarqua que c’était des remparts de pierre. Des ninjas apparurent mais ne virent qu’un enfant. Un enfant d’à peine 6 ans mais qui avait une certaine singularité. Il avait les cheveux argentés, soigneusement dissimulait sous un foulard et les iris de couleurs or. Les ninjas lui demandèrent ce qu’il venait faire et le fouillèrent. Les seuls mots qui sont sortis de la bouche de cet enfant étaient :

Enfant mystérieux : faim……. Je veux …… un abri.
Ninja 1 : Drôle de gosse. Enfin bref, il n’a rien sur lui si ce n’est ces vêtements. Comment tu t’appelle ?
Enfant mystérieux : Faim…… dormir….
Ninja2 : Tiens gamin, de quoi te payer deux repas. Allez, bonne chance.

Le gamin passa les portes puis il se mit à vagabonder dans les rues, à la recherche d’un éventuel restaurant ouvert ou d’un lieu à l’abri pour pouvoir dormir. Une fois qu’il était hors de vue, un garde dit à l’autre :

Ninja1 : Il était bizarre. Son apparence lui donné un côté plus animal qu’humain.
Ninja2 : Ouais, mais son attitude n’était pas franchement mieux.
Ninja1 : Surement un gosse abandonné, on dirait que c’est la saison en ce moment.
Ninja2 : Ouais, les temps sont durs pour certains.
Capitaine ninja : Garde à vous !
Ninja1 : Pourqu….. Haï !

Les ninjas étaient tous aux gardes à vous et saluèrent la personne qui rentrait. Celui-ci s’arrêta à hauteur du ninja qui avait répondu et dit :

??? dit ironiquement : Alors, rien de nouveau? Pas d’attaque ? M. le ninja qui conteste les ordres.

Ninja1 : Non, kazekage-sama, rien à signalé.
Ninja2 met un coup de coude.
Ninja1 : Sauf peut-être
Kazekage en coupant la parole : Sauf peut-être quoi ?
Ninja1 : Un étrange gamin. On l’a fouillé mais comme il n’avait rien de dangereux et semblait être a moitié mort, on l’a laissé passé en lui donnant un peu d’argent pour qu’il puisse manger.
Kazekage : Etrange dis-tu ?
Ninja1 : Oui Kazakage-sama, il avait les yeux de couleur d’or tel le soleil.
Kazekage : Intéressant Merci, continuez tous de veiller. La sécurité du village dépend de vous.
Tous : Haï ! ! !

----------- dans le village------
Le gamin trouva effectivement un restaurant encore ouvert à cette heure tardive et décida d’y rentrer. Il s’installa à une table, dans un coin. Le serveur, ayant vu un nouveau client, s’avança vers la table. Quand il vit le gosse, il poussa un crie de terreur.

Il marchait à reculons d’un pas hésitant, trébucha sur un pied de chaise et tomba à la renverse. Un autre serveur, attirait par le crie de son collègue s’avance pour l’aider à se relever, lui attrapa le bras et commença à le hisser quand à sont tour, il vit le gosse dans son coin et relâcha son collègue sous l’effet de panique.

Celui-ci retombe sur les fesses malgré en essayant d’éviter la chute en se rattrapant à la nappe. Dans sa chute, il fit voler couverts et assiettes. La patron sort de son bureau, furieux et beugle :

Patron : Vous allez arrêtez de faire ce boucan du diable. Il y en a qui aimerait faire ses comptes pour voir si la soirée a été fructueuse. Vos salaires dépendent de ce que l’on gagne, donc un peu de calme.
Serveur2 : Mais….mais patron….
Patron : Mais quoi ? Exprimes toi bon sang.
Serveur2 : Venez voir par vous-même.

Le patron, s’avançant jusqu’au serveur, regarde ce que le serveur pointe du doigt. Là, il vit le gosse et ouvrit la bouche tellement en grand qu’on aurait put croire qu’il venait de se déboîtée la mâchoire. De la sueur froide s’écoula de son front. On aurait cru qu’il y avait un démon et le patron s’écria :

Patron : L’esprit …… l’esprit démo…. Démoniaque du désert.
Serveur2 : Vous voyez…… c’est lui qui cause tout ce bruit.

10 secondes plus tard, on peut voir deux bras jeter de force l’enfant mystérieux. L’enfant se releva et entendit un « qu’on ne te revoit plus » et prit sa pour une menace. Il repartit, à la recherche d’un toit pour dormir.
Au bout d’une quinzaine de minutes, il trouva quelques tôles penchées mises contre un mur. Il se mit a quatre pattes, se logea entre le mur et les tôles et commença à s’endormir.


------------- 1 mois plus tard---------------

Cela fait une semaine que les tôles ont disparut et il se retrouvait sans-abri, du jour au lendemain. Il essayait de vivre à droite à gauche, car il était persécuté.
La cause ? Il avait les cheveux de couleur argent et les iris de couleurs or, comme l’esprit démoniaque du désert. De plus, depuis qu’il est là, les tempêtes de sables sont de plus en plus fréquentes et tout les gens de Suna pensent qu’il est la cause de tous les malheurs qui s’abattent sur leur village.

Les enfants s’amusent à le poursuivre pour le frapper ou à lui lancer des cailloux. Il se fait traiter de monstre partout ou il va. Malgré l’argent qu’il à, personne ne veut rien lui échanger contre, que ce soit vêtements ou nourriture, alors il fait les poubelles, espérant faire au moins un repas par jour.

Il vit au loin, des enfants le montraient du doigt. Il se mit à s’enfuir dans la direction opposée mais quand il se retourna, il vit 4 gosses qui l’attendaient. Il s’enfuit dans une rue adjacente et se mit à courir de toutes ses forces, les autres enfants à sa poursuite. La course-poursuite dura 3 bonnes minutes mais il se retrouvait dans une impasse. Bloquait contre le mur, il se retourna et vit, ses poursuivants, arrivaient avec un sourire sur les lèvres.

Ils commencèrent à le frapper violemment. Coup de poing et de pied fusés sur son corps quand soudain, ils s’arrêtèrent et s’écartèrent. Là, il vit un gosse, un peu plus âgés avec une planche de bois avec 3 clous au bout. Il s’approcha et, comme pour intimider sa proie, il brassa l’air deux-trois fois devant lui pour lui faire ressentir son infériorité. Quand il sentit le danger que pouvait représenter cette « arme », il vit rouge.

Il esquiva le coup de planche en planta son poing directement dans le visage de l’enfant. Celui-ci se retrouva K.O sur le coup. Les autres enfants, effrayaient par le gamin, coururent dans tous les sens pour s’enfuir en criant « au monstre ».

Il sentit que ce qu’il venait de faire, il le regretterait plus tard, mais que pour l’instant, il avait faim et qu’il devait faire les poubelles. Ce midi, il ne mangerait pas, encore une fois. Il continua sa route et se balada dans le village, en faisant attention de ne pas prendre les grandes rues et de contournait soigneusement la grande place.

Vers la fin de l’après-midi, il refit un tour des poubelles de Suna et ce coup-ci, la chance lui sourit. Une banane a moitié mangé, un morceau de viande pas entièrement fini et aussi pas entièrement pourri avec quelques feuilles de salades. Un véritable festin de roi, qu’il n’avait pas mangé depuis longtemps.

Une fois son repas fini, il se balada dans les rues, toujours avec prudence. Un moment, il se crut observés dans le dos et se retourna, mais il ne vit personne. Il accéléra le pas puis en tournant au coin de la rue, se mit à courir. Il traversa plusieurs rues, quand tout a coup …..

[devilsasuke]

Chapitre 2 : chez moi ?

Quand tout à coup, surgit dans l’ombre plusieurs adultes. Il crut comprendre, d’après les dires de ces adultes, qu’ils étaient les pères des gamins qu’il a frappés et traumatisés.
Les adultes s’approchent, l’insulte de démon, de monstre. Il commença à comprendre que les enfants, pris de peur on inversé les rôles en le faisant passé pour le méchant. Il voulut se défendre quand soudain, un des pères lui envoya un coup de pied droit dans l’estomac. Il se plia en deux, le souffle coupé et les larmes aux yeux.

Là, tout en se protégeant les côtés avec les coudes et les mains sur la tête, il se fit frapper tel un ballon de foot. Au bout d’un certains nombres de coups, les pères commencèrent à s’écarter mais il bougeait encore.
Là, dans un effort surhumain, à la limite de l’absurde, il se releva comme si il demandait a se que l’on continu de le frapper.

Les larmes commencèrent à lui monter aux yeux et il poussa un cri. Un cri tellement fort que les adultes mirent leurs mains sur leurs oreilles. Tout a coup, ses cheveux passèrent de l’argent au noir, un noir sombre mais il n’y avait pas que cela. Ces yeux, ces yeux passèrent de l’or pur au rouge. Rouge comme le rubis, non, plutôt rouge comme le sang. Ses pieds se plantèrent dans le sol et de la foudre rouge lui parcourut tout le corps. En partant de ses pieds jusqu’à sa tête. Il amorça un début de saut en avant puis disparu. Les adultes le cherchaient mais il n’était plus là.

Se trouvant a un peu près trente mètre de l’a, il était là, dans les airs en
train de retomber quand ses cheveux et ses yeux reprirent une teinte normale. Dans sa chute, il cria « Au secours !!! », mais personne ne vint. Il tombe sur le sol dans un bruit lourd.

Il se releva et remercia la bâche qui était au-dessus de l’étalage d’un marchand. En effet, dans sa chute, la chance lui sourit en tombant d’abord sur la bâche pour ensuite rejoindre le sol, ce qui a eus pour conséquences d’amortir sa chute mais également les dégâts qu’elle aurait entraînés avec.

Là, quatre personnes avec des masques ayant des chiffres et des kanjis apparaissent. Ils s’avancent vers lui quand soudain, une cinquième personnes apparaît. Aussitôt, les quatre autres mettent un genou à terre en disant « Kazekage-sama ». Le kage du vent s’approche de l’enfant-démon en lui tendant une main.
Celui-ci, apeuré par les hommes, repousse sa main et recule pour mettre une distance de sécurité. Le Kazekage, surprit dans un premier temps, se ressaisit et sourit. Un sourire pur, remplit de bonté et retendit sa main vers l’enfant en lui demandant d’une voix douce :

Kazekage : Viens, n’ai pas peur. Petit, petit petiiiiiiit.
Anbu3 : Ce n’est pas un animal kazekage-sama.
Kazekage *ton brut* : T’ais-je parlé à toi, San? *Voix qui se radoucit* Allez, viens. Comment t’appelles-tu ?

Il ne savait pas pourquoi mais dans cette personne, dans ce kazekage, dans cette voix, il y avait quelque chose de rassurant. Cette personne respirait la sincérité et la quiétude. Il lui répondit :

Gin : Je m’appelle Ginokami, Ginokami Ryu, mais appelé moi Gin.
Kazekage : Ryu dis-tu !
Gin : Pourquoi ? Tu me connais ?
Kazekage : Il me tutoie non, mais j’espère pouvoir le dire plus tard. T’as famille, où se trouve t’elle?
Gin : Je ne sais pas. Je suis seul depuis que ma mère a été tuée.
Kazekage : Tué ? Comment ?
Gin : Les gens ont commencé a tout déboisé dans la forêt alors on c’est enfuit. Elle chassé et elle volait, mais c’était pour me nourrir mais un chasseur l’a abattu.
Kazekage : Et ton père ?
Gin : Sais pas. Jamais connut.
Kazekage : pauvre gosse, si jeune et pourtant il a déjà vécu tant de chose…. Bon, c’est décidé. ANBU ! ! !
Anbu : Oui kazekage-sama ?
Kazekage : Ce gosse va vivre à Suna. Je lui verserai une pension. San et Yon, vous lui chercherez un studio. Je me charge de tout les frais financiers. (Yon disparaît dans un nuage de fumée)
San : Vous êtes sûrs ?
Kazekage : Tu discute beaucoup ce soir. Me contredirais-tu ?
San : Non kazekage-sama, veuillez excuser mes écarts de conduite.
Kazekage : Allons bon, je vais passer pour le méchant. Bien sûr que tu es pardonné, mais évite les écarts comme cela en publique, il faut que je donne une bonne image de moi, que j’inspire le respect sinon, personne ne m’obéira. Maintenant, exécution.
Anbu : HAÏ ! ! !

Deux anbu disparurent avec le kazekage. Le fameux San resta avec Ginokami, jusqu’au retour de Yon. Yon les guida à travers Suna, puis les emmènent dans un petit studio. San prend les clefs en passant, puis les donnent à Ginokami.
Gin met la clef dans la serrure, la tourne dans la serrure, abaissa la poignée puis poussa la porte. Là, il vit une petite entrée avec un paillasson, un petit couloir. Sur le mur de droite du couloir, il y avait une porte. Gin l’ouvrit et vit la salle de bain avec toilette, lavabo et douche. Il ressortit de la salle de bain et continua d’avancé dans le couloir. Au bout de ce couloir, il vit une pièce d’environ 7m² avec un lit, un petit meuble près du lit, une table au milieu et une armoire dans le coin. A gauche, il y avait un espace ou il n’y avait pas de mur permettant d’accéder à une petite cuisine. San suivait Ginokami. Il lui prit la main, mit les clefs dedans et lui dit :

San : Tiens, ne les perds pas, d’accord ?
Ginokami : Oui, mais, c’est pour moi ?
San : Oui, ce sont les clefs de ce studio. Le kazekage te l’offre. C’est chez toi maintenant.
Ginokami : Chez….. moi?
San : Oui, c’est chez toi. Allez, bonne nuit.

San prit la direction de la porte, Yon l’attendait. Une fois dehors, ils disparurent tout les deux dans un nuage de fumée blanche. Gin se dirigea vers la porte, le referma puis retourna sur le lit. Il s’allongea sous la couette, et s’endormit presque immédiatement. Une ombre passa par la fenêtre ….

Au même moment, dans le village, au palais du Kazekage celui-ci était rentrait dans son bureau. Quand il vit tout la paperasse sur son bureau, il regrettait d’être partis mais quand contourna ce même bureau, il vit quasiment la même quantité de papier au sol.

Tout ce travail qui s’était accumulé depuis sont départ était, à ses yeux, une catastrophe. A contre cœur et bien malgré lui, il se plongea dans le boulot, comme tout kazekage qui se respect. Au bout d’un quart d’heure, San et Yon apparurent dans le bureau du kazekage. Yon fut le premier à s’avancer et prit la parole :

Yon : Nous avons trouvé un studio, non loin du bureau, pour le jeune garçon.
Kazekage : C’est bien, c’est très bien.
Yon : Le prix est acceptable également, nous avons également pensé à vous.
San *rajoutant quelque chose* : Sans oublier qu’il aura tout le confort nécessaire pour vivre et s’épanouir.
Kazekage : Bien, vous avez bien suivit mes instructions.
Yon : Puis-je, si vous le permettez, faire une demande ?
Kazekage : Demande donc, j’essayerai de te répondre.
Yon : Pourquoi prendre si soin de lui ?
Kazekage : J’ai mes raisons, mais si je devais te dire quelques choses, c’est que je pense l’inscrire à l’académie ninja.
San et Yon : A l’académie ! ! ! !
Kazekage : Oui, à l’académie. Je pense que plus tard, il fera un bon ninja. Qui plus est, il a l’âge d’y aller et semble être résistant.
Yon : Mais n’est-ce pas un peu dangereux ? Pour lui comme pour les autres.
Kazekage : Que sous-entends tu par là ?
Yon : Personne dans le village ne l’apprécie, les enfants de sont pas diffèrent. En plus, les parents vont le tenir éloignés, il subira un ostracisme continu.
Kazekage : J’en ai conscience, mais quoi qu’il fasse, il sera refoulé. J’arriverai à convaincre les conseillers en disant qu’il sera plus facile de le surveiller et que ninja est la profession là plus dangereuse, là où il a le plus de chances de mourir «involontairement ».
San : De toutes façon, qu’elle que soit votre décision, nous vous suivrons jusqu’au bout.
Kazekage : Merci San.
Yon : Oui, merci de ne pas contre dire kazekage-dono, pour une fois.
San : Yon-nii, ce que tu peux être méchant et vil. Un vrai démon.
Kazekage : Merci de votre rapport, vous pouvez disposer.
San/Yon : Haï !

Sur ceux, les deux Anbu disparurent laissant seul le kazekage. Une heure plus tard, le Kazekage se permit une pause. Il avait bien avancé dans son travail. Il se leva, se retourna puis se mit à regarder par la fenêtre et se remit à penser à Ginokami.
Quel prénom étrange, mais encore plus que le prénom, c’est le nom de ce jeune garçon qui le perturbait le plus. Le Kazekage se mit a pensait :

Il a dit se nommer Ryu. Non, c’est impossible qu’il en fasse partie, mais se serait bien. Si il était des leurs, avec de l’entraînement, il nous aiderait à rehausser notre niveau militaire qui est en baisse depuis le départ de feu kazekage Gaara.

Ces sur ces dernières pensées que le Kazekage regarda en direction de son bureau, baissa la tête devant le tas de feuilles qui lui restait à regarder et s’avança d’un pas lourd en direction de son bureau en pensant qu’encore une fois, il ne dormirait pas de la nuit.




NdA : Voilà, deuxième chapitre finit. Normalement, j’essayerai d’en faire un par semaine (les cours se rapprochant et je ne pense pas avoir finit d’ici là) et comme je fais parfois d’autres truc à côté, ce n’est pas facile, surtout que chaque chapitre que j’écris, je le fais d’abord sur papier.

Il n’y aura pas de section commentaire car j’ai l’impression de double-poster ce qui est désagréable pour moi en plus, j’aime bien voir les commentaires à la suite =).

[TenshiNoAme]

Hmmmm, pour l'instant je ne peux pas trop juger juger ta fic, puisque ce n'est que le commencement. Mais si j'ai bien compris ce seras un fic se concentrant sur un personnage OC ?

Déjà un point pour toi pour l'originalité, ce n'est pas une fic que j'ai l'habitude de lire. Ensuite parlons de du protagoniste qui se nomme donc Gin.

A ce que je vois sa vie est loin d'être rose, qu'a t-il donc fait pour mériter cette haine ? Si je me fit à mes hypothèses je dirait qu'il doit être un Jinchuriki ou bien un membre d'un clan détesté. Pour l'instant je ne cerne pas encore l'histoire mais je devrait finir par saisir, car oui je continuerais de suivre ta fic.8D

Au niveau de l’orthographe je n'ai pas vue de "grosse" fautes donc elle doive être peu-nombreuses ou inexistantes. Ton écriture est espacé donc sa ne fait pas des "patés" et c'est agréable à lire.

Bon pour l'histoire je trouve que c'est dommage que Naruto&Co soient morts. Ce serait donc leurs descendants qui sont mit en avant de la scène ? Mis a part sa l'histoire est intéressante et pour une fois n'est pas une de ces énième histoires à l'eau de rose, ce qui ne me déplaît pas.

Bon c'est une fic je suivrais et commenterais donc bon courage et bonne continuation! ^O^

[devilsasuke]

En faites, si je l'ai faite plus tard, c'est pour éviter une fic facile avec naruto, sasuke et tout le monde plus mon personnage. Je trouve que beaucoup de monde s'axe dessus et qu'il faut de l'originalité si je veux être lu.

En faites, il a une enfance difficile mais la mère de Ginokami (son nom entier mais GIN était plus court, il sera appelé comme cela par ses amis proches, si il en a) sera cité à un moment, quand j'évoquerai son passé.

Ensuite, par rapport au "démon", c'est juste que j'adore les cheveux argentés mais sa donne un côté loup (d'où okami dans son prénom) et les yeux d'or car c'est classe.
Et en fait, dans ma jeunesse, j'étais un fan de Yu-Gi-Oh est une des cartes qui m'a marqué malgrès que je m'en suis jamais servit s'appelait "l'esprit de poussière" ou un truc dans ce genre et sa ressemblé à une sorte de zombie/vampire au yeux intégralement dorés et avec de long cheveux argentés.

Je ne sais pas si je ferais apparaître se monstre plus tard ans mon histoire, mais il fait partie des légendes de suna dans ma fic ^^.

Ensuite, je comprends que tu n'es pas d'avis car les premiers chapitres sont une mises en place pour présenter le personnage et aussi une partie de son passé qu'y aura, directement et plus tard, une influence sur son avenir.
Le souci, c'est que j'ai déjà plein d'idée pour quand il sera ninja mais malheureusement, il faut avoir un passé pour avoir un avenir.

Chapitre 3 déjà écris (Le 4 est couché sur papier) et je vais aborder bientôt le 5. Je pense faire sur le passé environ 6, 7 voir 8 chapitres et clore cela pour avancer et faire un bond dans l'avenir. Vous allez voir, la suite sera palpitante (enfin, pour moi, elle est et j'espère vous transmettre cette palpitation).

Merci pour ton commentaire Tenshi et merci a tout ceux qui vont en faire.

[devilsasuke]

Chapitre 3: L’académie Ninja.

Le lendemain matin, assez tôt dans la matinée, San toqua chez Ginokami. Il lui expliqua la raison de sa venue :

San : Allez, debout paresseux ! Le Kazekage te convoque dans son bureau.
Ginokami : Déjà? C’est bizarre mais d’accord. Je m’habille et j’arrive.

Cinq minutes ce sont écoulées quand Ginokami rejoignit San dehors. Il referma à clef derrière lui et San lui donna un plan pour le guider jusqu’au palais. Gin suivit les instructions notaient sur le plan et se rendit jusqu’au palais du Kazekage. Une fois sur place, il nota qu’il n’habitait pas très loin du palais. Il poussa la porte, entra et demanda où se trouvait le bureau du Kazekage.

On lui expliqua précisément comment y aller et à qu’elle porte se rendre et une fois finit, Gin s’y rendit. Il mit un peu plus de temps que prévu car le bâtiment était un peu plus grand qu’il ne pensait et c’était perdu. Il trouva enfin la porte car il vit une des personnes de l’autre soir qui l’avait accompagné avec San. Yon montra la porte du doigt puis disparut dans un nuage de fumée. Ginokami prit la direction de la porte et toqua.

Un "Entrez" se fit entendre et Ginokami poussa la porte et la referma derrière lui. Le Kazekage avait de grosse poche sous les yeux comme si il n’avait pas dormit de la nuit. Un sourire lui traversa fugitivement le visage pour montrer que tout aller bien. Il fit signe à Ginokami de s’asseoir dans le siège, face à lui. Gin s’executa sans discuter tandis que le Kage du vent commença à prendre la parole :

Kazekage : Alors Gin, ta nouvelle maison te plaît ?
Ginokami : Oui, beaucoup. Merci monsieur mais….. es-ce qu’elle est vraiment à moi ?
Kazekage : Oui, je te l’offre.
Ginokami : Merci, du fond du cœur.
Kazekage : Franchement, ce n’est rien pour moi mais si tu tiens tant que ça, tu peux effectivement faire quelque chose qui me ferait grand plaisir, veux tu ?
Ginokami : Oui, qu’est-ce-que je dois faire ?
Kazekage : L’académie ninja, j’aimerai que tu t’y inscrives. La nouvelle année scolaire va commencer d’ici 10 jours.
Ginokami : Tu es sûr ? Les enfants enfin, tout le monde me déteste.
Kazekage : Ne t’inquiète pas, j’ai une idée pour que tu ne sois pas trop embêté mais après tout, les enfants se disputent souvent entre eux.
Ginokami : Mais, ya pas des trucs a faire pour s’y inscrire ?
Kazekage : Je te l’ai dis, ne t’inquiète pas, je gère tous cela mais il faut que je sache si tu acceptes ou pas. Je ne veux surtout pas te forcer.
Ginokami : D’accord, je veux bien essayer.

--------------------------- 10 jours plus tard------------------------------------------------



Gin se leva, se lava puis s’habilla. Après un petit-déjeuner assez important, Ginokami se mit en route pour l’académie. Aujourd’hui, c’est le jour J car hier, c’était le jour I. Il allait commencer une nouvelle vie, c’est un nouveau départ.
L’année scolaire débuterait et cela marquera peut-être l’histoire en tout cas, une nouvelle page s’écrirait bientôt. Ginokami arriva à l’académie et il vit que chacun des enfants étaient au moins accompagnés par un parent.

Ginokami se sentait attristé par cela car lui, il n’était qu’un orphelin mais il se sentit encore plus triste par les regards haineux que lui envoyaient les adultes. C’est à ce moment là qu’apparut le Rokudaime Kazekage. Tout le monde était stupéfait de voir apparaître le Kazekage à la cérémonie de l’académie. Le kage du vent cherchait Ginokami des yeux et une fois qu’il l’eut trouvé, il lui fit signe de s’approcher. Ginokami s’approcha et il demanda :

Ginokami : Qu’est-ce-que tu fais ici Kazekage ?
Kazekage : Voyons Gin, je te l’es déjà dit, en public, vouvoie moi s’il te plaît. On a l’impression qu’un gamin de 6 ans peut contester mes ordres, sa me donne une mauvaise image auprès des villageois.
Ginokami : Oui, alors ?
Kazekage : Il m’écoute au moins ? Je suis ici pour être l’adulte qui t’accompagne à la cérémonie.
Ginokami *larmes aux yeux* :C’est vrai….. merci, merci beaucoup Kazekage.


Tous les gens étaient surpris que le Kazekage se trouvait ici, mais encore plus que le « démon » le connaissait, se permettait une familiarité inqualifiable et que le Kazekage laissait passer cela sans rien dire. La cérémonie commença et elle se déroula sans encombre.
Ensuite, une fois terminé, elle fut enchaîné par une visite guidée de l’académie pour familiarisé les élèves avec leur futur environnement. Après cela, la journée était déjà bien entamée et les cours commenceraient demain.
Le Kazekage partit en faisant de grands signes de la main pour dire au revoir à Ginokami, que celui-ci lui rendit avec un salut militaire et un grand sourire. Le Kage souria devant ce changement de comportement en si peu de temps et rigola devant le salut du jeune enfant.
Une fois que le chef du village disparut, Ginokami quitta l’académie et se dirigea vers le parc pour faire de la balançoire. Une fois arrivait, Gin fut rejoins par quelques autres enfants qui semblait avoir son âge. Une fille avec des cheveux d’un bleu sombre, presque noir, comme le manteau de la nuit et des yeux bleu clair comme un doux ciel d’été s’approcha de Ginokami et lui dit :

Aosora : Salut ! Moi, je m’appelle Aosora et toi, tu t’appelles comment ?
???: Lui, on ne l’appelle pas, on le siffle. * ricanement de deux-trois élèves s’en suivit*
Ginokami : Euuuuuh ……. Salut
Aosora : C’est quoi cette hésitation, je pue ou quoi ?
Ginokami : Tu veux que je te réponde en toute franchise ?
Aosora : là n’est pas la question, alors, tu t’appelles comment ?
Ginokami : Elle est bizarre, on ne dirait pas une fille
Aosora : Alors, tu me réponds ou pas ?
Ginokami *touchant la poitrine*
Aosora*rougit* : PERVERS ! ! ! *Claque*
Ginokami *joue rouge *: Mince, je ne sais pas en touchant là mais… euuuuuh, tu me laisses faire pan-pan *fait pan-pan*
Aosora : KYAAAAA ! * grosse claque et s’enfuit*
???: Je te savais pas net et démoniaque, mais tu dépasses ce que je pensais.
Ginokami : C’était mal ce que j’ai fait ? Je le faisais tout le temps avec ma maman.
???: Je sais pas comment tu as été éduqué, mais t’es sauvage et stupide. Bref, je m’appelle Kyokuro et je serais celui qui te tuera plus tard.
Ginokami : Hein ? Je ne comprends rien à ce que tu dis mais je m’appelle Ginokami, mais appelle moi Gin.
Kyokuro : Tu n’as pas de nom, pour moi, tu es et restera l’esprit démoniaque du désert. Allez, à demain monstre.

Kyokuro partit, suivit de tous ces amis laissant Ginokami tous seul. Ginokami les trouva tous bizarre, de la fille qui change de comportement, comme….. commme….. Ginokami avait déjà oublié son nom mais bon, comme l’autre avec son comportement hautain. Gin prit la direction de chez lui et une fois arrivait, il dégusta une collation avant de s’allonger sur son lit puis de s’endormirent en pensant que demain, il commencerait les cours.

[devilsasuke]

Chapitre 4 : Les cours commencent.


Ginokami se réveilla est entama son petit rituel matinal. Après avoir finit de manger, il se rendit compte qu’il était en retard. Il prit son sac, mit ses chaussures et courra aussi vite que possible jusqu’à l’académie. Il arriva enfin dans la dernière ligne droit et vit au loin, le sommet de l’académie, mais dès qu’il l’a vit, il entendit également la cloche des cours sonnait.

Ginokami accéléra le mouvement pour y être à l’heure. Il arriva devant la porte de sa classe et s’arrêta cinq secondes pour reprendre son souffle mais pour également retarder l’échéance.
Quand Ginokami fit glisser la porte, il vit que tout le monde était assis. Le senseï tourna la tête vers le retardataire et s’exclama :

Senseï : Monsieur Ryu, que c’est aimable de votre part de bien vouloir vous joindre à mon modeste cours.
Ginokami : Désolé du retard, Senseï.
Senseï : Es-se le fait de connaître Kazekage-sama en personne vous a-t-il donné la grosse tête, tellement grosse que vous ne pouvez plus passer la porte de la salle de classe ou même celle de votre maison ?
Ginokami *rentrant dans la salle* : Excusez moi de mon retard inacceptable, Senseï.
Senseï : Justement, je ne t’excuse pas….
Ginokami : Tiens, il me tutoie maintenant.
Senseï : …qui plus est, le jour de la rentrée. C’est intolérable ! A la fin de la journée, tu recevras comme punition de porter un seau remplit d’eau pendant 10 minutes, en espérant que cela te servira de leçon. Maintenant, va t’asseoir !

Ginokami se dirigea vers la seule table libre quand au milieu du passage, il tomba par terre. Un élève venait de lui faire un croc-en-jambe (NdA : J’adore cette expression mdr) et retira sa jambe aussi rapidement qu’il ne l’avait tendu. Le professeur soupira devant la chute de Ginokami et ne vit rien de se qu’avait fait l’agresseur, ou en tout cas, ne dit rien de plus.

Quand Ginokami se releva, il vit qu’Aosora l’observait. Ils se fixèrent l’uns l’autres dans les yeux, puis deux secondes après, Aosora détourna les yeux pendant que Gin avança tête baissée ers sa place. Les cours se suivirent et Ginokami prit des notes avec un certain intérêt.

La cloche sonna la pause déjeuner. Malheureusement, dans sa précipitation ce matin, Ginokami avait oublié de s’en faire un et comme il n’avait n’y ami, n’y repas, il s’ennuierait pendant 1 heure. La cantine n’ouvrait que dans une semaine, le temps d’installer le nouveau matériel. Déjà une demi-heure s’était écoulée quand Aosora s’approcha de Ginokami et demanda :

Aosora : Tu n’as pas à manger ?
Ginokami : Ahhhh ! Mais tu es la fille d’hier.
Aosora : Mon prénom c’est A-O-SO-RA, baka-inu.
Ginokami : Non, je suis partit vite et j’ai oublié mon bentô chez moi.
Aosora : Tiens, il me reste un peu du mien, tu peux prendre ce qui reste.
Ginokami : Non, mange, puis, je n’ai pas très faim *ventre qui gargouille*
Aosora : Ton ventre ne ment pas lui. Mange un peu au moins, pour moi.
Ginokami*donnant un coup de poing dans son ventre* : Non, garde le pour toi plus tard.
Kyokuro : Aosora, ne parle pas au démon puis de toute façon, il aime être tout seul.

Ginokami fit non de la tête mais Kyokuro le fusilla du regard. Il prit la main d’Aosora et la traina loin de Ginokami. Elle tourna la tête vers Ginokami et d’un signe de la tête, lui montra qu’il devait manger. Une fois les deux autre hors de vue, Ginokami regarda les restes avec avidité et ne put s’empêcher de les manger.
Une fois le repas finit, la cloche sonna et tous les élèves retournèrent en classe. Le reste de la journée s’écoula normalement. La cloche retentit pour la dernière fois de la journée, marquant par ce son, la fin de cette première journée de cours. Les élèves sortirent tous, à l’exception de Ginokami, qui se dirigea vers le bureau du Senseï pour recevoir sa punition.

Une fois le seau remplit, Ginokami le porta jusque dans le couloir et attendit. Pour Ginokami, ces 10 minutes seront sans doute les 10 minutes les plus longues de toute sa vie. A bout de force, il regarda l’heure et vit que 9 minutes c’était écoulées. Il se motiva intérieurement pour tenir le seau encore une minute, rien qu’une et il serait délivré mais au même moment, au bout du couloir, le Directeur de l’académie fit son apparition.

Il marcha droit devant lui et ne remarqua Ginokami que quand il fut à sa hauteur. Il le regarda, souria, puis aspira une grande bouffée d’air à travers son cigare Takien (NdA : Cigare fabriqué à Taki). Il souffla, sur Ginokami une véritable cascade de fumée. Ginokami, dans son empressement, se boucha le nez et la bouche avec ses deux mains et lâcha le seau d’eau, qui déversa son contenu sur les nouvelles chaussures du Directeur, celle qui coûtait 50 000 ryos.

Les yeux rouges de fureur et écumant de rage, le directeur fulminant cracha des jurons plus horribles les uns que les autres et que Ginokami ne se permettrait jamais de dire, n’y de les retranscrire d’une quelconque façon. Profitant de la colère qui aveuglait le chef d’établissement, Ginokami fit coulisser une fenêtre et s’échappa. Il courut très vite, comme ce matin pour aller en cours, sauf que là, c’était pour s’enfuir.
Pendant ce temps, le directeur courut lui aussi, tout aussi vite, mais vers le bureau du Kazekage. Une fois dans le bureau, le directeur commença directement en haussant le ton :

Directeur : TOTALEMENT INADMISSIBLE ! JE VOULAIS VOUS RENDRE SERVICES …… J’AVAIS TORT !
Kazekage : Expliquez vous, mon cher Nos (NdA : Nos est le prénom du directeur, ou sont diminutif).
Directeur : Le gamin démoniaque, ce Ginokami. Et bien pas plus tard que tout à l’heure, il avait un seau d’eau dans les mains. Il semblerait qu’il était punit mais quand je me suis approché de lui, il l’a renversé sur mes nouvelles chaussures. Elles m’ont coûté les yeux de la tête.
Kazekage : Allons, je connais un peu Ginokami et je puis vous assurez que s’il avait fait cela, il devait avoir une bonne raison. Peut-être était-il fatigué, après tout, n’oublions pas qu’il n’a que 6 ans.
Directeur : Oui, mais il n’empêche que mes chaussures sont abîmés. C’était la première fois que je l’ai porté.

Un Anbu arriva et chuchota quelque chose à l’oreille du Kazekage, qui changea soudainement d’expression de visage. Le kage du vent se tourna vers le directeur et demanda :

Kazekage : Mon cher Nos, n’auriez vous pas, dans votre empressement a vouloir faire régner l’ordre dans votre établissement, oublié sans le faire exprès je n’en doute pas, de m’omettre certains détails ?
Directeur : Que voulez vous dire par là ? Que j’ai menti ?
Kazekage : OOOOOh, non, je n’oserais pas dire cela, mais disons, que vous n’avez pas dit toutes la vérité mais je pense, que l’on m’arrête si je me trompe, que vous alliez me le dire, non ?
Directeur : Mais enfin, soyez clair dans vos propos et dites le moi explicitement.
Kazekage : D’accord. Pourriez vous me dire pourquoi, en voyant Ginokami, vous vous êtes avançait vers lui et lui avoir craché au visage un nuage de fumée de votre cigare ?
Directeur *gêné* : Euuuuh…… enfin, voilà quoi. Je le voyais tout tremblant avec ce seau à bout de bras et je ….
Kazekage : Que l’on soit bien clair Nos, je refuse catégoriquement que l’on s’en prenne à Ginokami sans raison. Si j’apprends, et croyais le, je l’apprendrais, que le moindre enseignement n’est ni juste, ni impartial envers lui, des têtes vont sautées, la votre la première, me suis-je bien fait comprendre ?
Directeur : Oui, Kazekage-sama.
Kazekage : Je compte sur vous pour faire transmettre le message, sinon, vous savez ce qui vous attend.

Le chef de l’académie ninja quitta le bureau du kage du vent, la tête basse et se dirigea lentement vers sa maison.