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Kakashi Hatake Sensei
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MessagePosté le: Dim 25 Déc 2011, 2:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Hé bien, quel débat x)
Si je puis me permettre, Morm, dans tout ce que tu cites, BHL, c'est quand même plus une vaste blague qu'un philosophe Mr. Green

Bref Very Happy

La Dame à la Licorne [Tracy Chevalier]



Désireux d’orner les murs de sa nouvelle demeure parisienne, le noble Jean Le Viste commande une série de six tapisseries à Nicolas des Innocents, miniaturiste renommé à la cour du Roi de France, Charles VIII. Surpris d’avoir été choisi pour un travail si éloigné de sa spécialité, l’artiste accepte néanmoins après avoir entrevu la fille de Jean Le Viste, dont il s’éprend.
La passsion entraînera Nicolas dans le labyrinthe des relations délicates entre maris et femmes, parents et enfants, amants et servantes…

--------------

La Dame à la Licorne, je préviens de suite, est un roman à personnages. Les descriptions sont peu nombreuses, voire inexistantes, nous somme là pour nous immerger dans la fin du XVe siècle à travers les personnages et leurs relations. D’où, sans doute, le choix d’écriture de Tracy Chevalier, avec un chapitre qui correspond au point de vue d’un personnage, et à la première personne. Oui, à la façon du Trône de Fer, sauf que George R.R Martin écrit à la 3e personne.

Bref, Tracy Chevalier nous propose ici de nous éclairer d’une hypothèse possible sur la genèse de la tapisserie qu’est la Dame à la Licorne, et dont on ne sait vraiment pas grand chose, que ce soit l’artiste, le commanditaire, le lieu de tissage… Et elle se sert de tout son contexte pour faire vivre ses personnages et leurs histoires. Tout cela est bien défini et logique, mais parfois assez lent. En fait, on traverse les états d’esprit des différents personnages, qui subissent plus qu’ils agissent, pour la plupart.
Oui, c’est bien écrit, l’ambiance est belle, mais il ne se passe vraiment pas grand chose. Le plus intéressant étant bien la genèse de la tapisserie et ce qui se passe chez les maîtres lissiers. La fin nous amène toutefois sur le dramatique, et on ne peut que compatir au malheur des deux personnages conercnés.

La relative lenteur passe bien, eu égard à la courte longueur du roman. Mais, soyons clairs, ceux que l’Histoire n’intéresse vraiment pas ne retireront pas grand chose de ce livre, si ce n’est la sensation d’avoir lu les états d’âme et l’évolution de personnages dont ils se moqueront éperdument.
Bref, c’est sympathique, mais pas très consistant. À lire toutefois si tant est que l’Histoire présente un intérêt. Sinon, autant passer votre chemin.

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xyumi
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MessagePosté le: Mar 27 Déc 2011, 7:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Patricia Macdonald : Une mère sous influence

[img]http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcR7ljk3BWBASes-Y1Vm2Rz-MjCu0PhpuoFGDB1Kp1DCcJc40jTtQDQPcaZv[/img]

4ème de couverture :

Lorsque Morgan arrive dans la petite ville balnéaire de West Briar, en Nouvelle-Angleterre, elle est impatiente d’assister au baptême du fils de Claire, sa plus vieille amie, récemment mariée. Mais celle-ci, fragilisée par son accouchement, donne des signes de dépression inquiétants.
Quelques jours après la cérémonie, Morgan reçoit un appel désespéré de Claire. Un crime effroyable a été commis. Et elle vient de l’avouer… Claire est-elle devenue folle ? Est-elle une redoutable criminelle ou une femme manipulée ?

Impressions :

Un bon livre, en même temps me diriez-vous, j'aime beaucoup cet auteur.
Une conclusion finale inattendue pour ma part, et c'est pas faute d'avoir cherché ^^
Petits bémols toutefois, car même si la fin n'était pas prévisible certains dénouements étaient gros comme des montagne : la meilleure amie qui finie par se marier avec le beau garçon de l'histoire, la découverte de meurtrier qui met sa vie en danger. Bref, un peu trop de classique pour ce genre de livre policier, dommage.
Toutefois, ça reste un bon livre dans sa catégorie; bien écrit et qui tient en haleine jusqu'à la toute fin.

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ninjatools
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MessagePosté le: Jeu 29 Déc 2011, 8:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ça a l'air intéressant!

Mon dernier livre:



Bon livre, même si parfois on a du mal à suivre on ne peut pas s'empêcher de continuer à lire jusqu'au bout.


Maor a 18 ans. Cela fait 10 ans qu'il vit quasiment au sommet du Mont Blanc. Mais pourquoi? Pour s'entraîner à devenir un Olphite accompli. Les Olphites sont des gens vénérés qui sont capables de communiquer avec les comètes qui défilent dans le ciel à travers ce qui s'appelle la Vision. Ils existent justement à cause d'une comète qui leur donne leurs pouvoirs.

Maor s'enfuit. Il va découvrir un monde différent du sien -le nôtre. Après quelques temps d'errance, il va rencontrer le profeseur Hermann , le découvreur de la comète Olphite et Sirius, une jeune fille qui ne va pas le laisser indifférent...
Et qui semble également posséder d'étranges pouvoirs...

Cependant, les autres Olphites vont tout faire pour le retrouver et l'empêcher de découvrir quelque chose à leur sujet...
Maor se demande quoi exactement lui aussi.

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Citation:
Moi j'ai grandi dans une société plus libérale que la vôtre, et je suis atterrée qu'on vous laisse une société en ruine et stricte.


Final Smash Gamer a écrit:
(...) ninja, je dois te dire que tu es une fille vraiment épatante.
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Mat
Jûbi


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MessagePosté le: Mer 11 Jan 2012, 1:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Œuvre relativement courte, Le Rêve, d’Emile Zola, paraît en 1888. Il nous raconte l’histoire d’Angélique, une orpheline de neuf ans, recueillie un matin de Noël 1860 par les Hubert, près de la cathédrale de Beaumont (Picardie)* où elle s’était réfugiée alors que la neige tombait en abondance. Cette enfant est une Rougon mais ne portera jamais ce nom car elle sera adoptée par les Hubert.

Ces derniers vivent tout près de la cathédrale. Par le passé ils se sont mariés contre l'avis de la mère d'Hubertine et ont perdu leur enfant le soir du décès de cette femme. Ils supposent alors que cette dernière – qui a déshérité et maudit Hubertine –, les empêche (par-delà la mort !) d'avoir un autre enfant. Ils souhaitent donc qu'Angélique soit heureuse tout en lui évitant de connaître les affres de la passion.

Elle est ainsi élevée en recluse, ne sortant qu'à de (très) rares exceptions ou pour aller à la messe. Le reste du temps elle apprend l'art de la broderie, occupation professionnelle des Hubert qui brodent des chasubles, des mitres et autres objets destinés au culte (les responsables de la cathédrale sont leurs clients)**. Angélique réussit rapidement dans cette activité. En dehors de la broderie, elle lit La Légende dorée, qui relate des vies de saints. Elle se passionne pour sainte Agnès qui refusa d'épouser un gouverneur, fut traînée nue dans les chaînes mais ses cheveux poussèrent en masse pour la vêtir.

Cependant, vers seize ans, elle commence à observer l’environnement qui l’entoure de son balcon d'où elle peut voir une rivière, divers jardins, une partie de la cathédrale, un vitrail représentant saint Georges vainquant le dragon, etc. A ce balcon, elle attend un miracle : l'apparition d'une personne extraordinaire, à la fois humaine et céleste.

Cette apparition se présentera sous la forme d’un jeune homme, Félicien, peintre verrier qu’elle identifie à saint Georges descendu de son vitrail. L’amour naît entre ces deux êtres. Mais Félicien n’est pas n’importe qui : fils de Monseigneur d’Hautecoeur, « riche à millions », la différence de statut social conduit leurs familles à s’opposer à leur mariage (« jamais » répète ainsi le père de Félicien).

A cet égard, le chapitre trois contient certains passages qui annoncent les difficultés qui se présenteront. Angélique rêve d'épouser un prince, ce qui est l’occasion d’échanges assez animés avec ses parents adoptifs :

- « Ma fille, tu verras plus tard, tu connaîtras la vie.
- La vie, je la connais.
- Où aurais-tu pu la connaître ? ... Tu es trop jeune, tu ignores le mal. Va, le mal existe, et tout-puissant. »


Si Hubert semble suivre Angélique dans ses idées, Hubertine ne se gêne pas pour les reprendre, d’une manière assez cinglante :

- « Tais-toi ! tu me fais trembler... Malheureuse, quand nous te marierons à quelque pauvre diable, tu te briseras les os, en retombant sur la terre. Le bonheur, pour nous misérables, n’est que dans l’humilité et l’obéissance. »
Angélique continuait de sourire, avec une obstination tranquille.
- « Je l’attends, et il viendra.
- Mais elle a raison ! s’écria Hubert, soulevé lui aussi, emporté dans sa fièvre. Pourquoi la grondes-tu ? ... Elle est assez belle pour qu’un roi nous la demande. Tout arrive. »
Tristement, Hubertine leva sur lui ses beaux yeux de sagesse.
- « Ne l’encourage donc pas à mal faire. Mieux que personne tu sais ce qu’il en coûte de céder à son cœur. »
Il devint très pâle, de grosses larmes parurent au bord de ses paupières. Tout de suite, elle avait eu regret de la leçon, elle s’était levée pour lui prendre les mains. Mais, lui, se dégagea, répéta d’une voix bégayante :
- « Non, non, j’ai eu tort. Tu entends, Angélique, il faut écouter ta mère. Nous sommes deux fous, elle seule est raisonnable... »



Le dénouement final tournera autour de ce mariage a priori impossible avec Félicien et sera empreint de religiosité. La fin est-elle heureuse ? Angélique a-t-elle réalisé son rêve ou bien vit-elle dans un rêve ? Différentes interprétations sont possibles.

Si ce roman aborde plusieurs thèmes (le fantastique médiéval, la foi populaire et le renouveau du mysticisme, l'amour) il contient relativement peu d'action et la religiosité est peut-être un peu trop pesante, ce qui peut conduire à préférer des scènes moins chargées à cet égard, comme celle où Angélique lave du linge dans la rivière (mine de rien c'est sans doute un des passages les plus animés de ce livre). Dernier point, l'édition que j'avais en main (qui n'est pas celle affichée au début de ce message) contenait un nombre important de fautes d'orthographe, ce qui pénalise le plaisir pris à la lecture.


* Il serait intéressant de voir les ressemblances et les différences entre l'univers décrit par Zola et celui de Hugo dans son ouvrage de 1831.

** D'ailleurs le roman fournit des descriptions très détaillées non seulement sur l'art de la broderie mais aussi sur les processions liturgiques, les récits de La Légende dorée...
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Mat
Jûbi


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MessagePosté le: Mer 16 Mai 2012, 11:46 am    Sujet du message: Répondre en citant



Titan n’a pas le moral ! A 49 ans, le super-héros vit des heures difficiles. Il prend des anxiolytiques depuis un mois, sa femme l’a quitté (avec les enfants), les séances chez le psy’ n’ont pas l’air très productives et il vient de perdre une place au Panthéon Top 30 des super-héros, l’émission de télé mesurant la popularité des surhommes. Il sombre petit à petit dans la dépression.

Est-ce que le boulot lui permet de s’évader ? Pas vraiment. Titan travaille pour la police de New York, habillé de son costume moulant et le visage masqué (afin de protéger sa vie privée). Même si ses relations de travail au commissariat de Lexington Avenue le soutiennent, il est chahuté sur le terrain, notamment par la mère d’un « super-zéro » (un être humain se prenant pour un super-héros mais sans pouvoir) qui vient de se faire dégommer. Qu’il semble loin le temps où il faisait connaissance avec le Gigaman ou formait des « packs » avec Monté Carlo (deux autres super-héros). Le premier est mort et le second est atteint de la maladie de Parkinson.

C’est dans ce contexte qu’apparaît un tueur en série qui s’acharne sur les super-héros : le « Vampire de New York ». Pour redorer son blason, Titan décide de traquer le meurtrier. Mais quand ce dernier va le prendre pour cible, les choses vont se compliquer pour le héros...

L'histoire se poursuit alors, entrecoupée de coupures de journaux, d’extraits d’ouvrages, d’émission de radio, de pub’, etc. – ce qui n’est pas sans rappeler Watchmen –, tous ces éléments finissant par prendre sens à la fin de l’ouvrage. Il va nous permettre d’en apprendre plus sur Titan, de connaître sa trajectoire. C’est peut-être là que se trouve le meilleur du roman : l’enfance de Titan, l’expérience douloureuse que fut le moment où ses pouvoirs se sont manifestés, comment il a grandi (avec une mère décédée rapidement et un père qui refait sa vie sans se soucier de lui), l'échec conjugal et ses relations avec ses enfants, etc.

Un petit extrait pour donner un aperçu de la teneur du livre : en sortant de l’hôpital où une des victimes du « Vampire » avait été transportée – épisode assez marquant pour Titan –, le super-héros rencontre des journalistes et cherche à se défouler sur eux, sans que cela ne marche vraiment : « Je décide de gueuler un bon coup sur les journalistes en leur demandant ce qu’ils foutent là. Est-ce qu’ils se rendent bien compte que la vie d’un homme est en danger et que s’ils inscrivent partout dans leurs gazettes qu’Axis Mundi est dans cet hôpital, ça ne va pas arranger les choses. […] Ces gratte-papiers n’ont pas l’air de me croire des masses. J’ai jamais été bon acteur, alors ils me chahutent un peu du coup, ils en profitent. Un scandale qu’ils disent. Ils commencent à jouer les folasses hystériques. Ils aiment bien. A se taper le torse, à invoquer la liberté de la presse, la démocratie. Ces grandes conneries qui font qu’on ne peut plus jamais avoir une conversation normale. » (pp. 123-124)

Ce passage permet d'entrevoir le style adopté dans le roman, qui traduit le côté un peu fruste du personnage (peu de « ne » pour les négations, ton pseudo familier, etc.) et peut constituer une des limites du livre. De même l'intrigue pourra apparaître un peu trop simple et l'origine des super-héros (l'existence de mutations génétiques) ne plaira pas à tout le monde.

En somme, cet ouvrage du sociologue G. Bronner (connu pour ses travaux sur les croyances collectives, ) est en partie inégal. Si l’image du super-héros à visage humain n’est pas pour déplaire, et s’insère dans une littérature abondante, le style adopté, les fautes (toujours volontaires ?) pénalisent la lecture et l’intrigue manque un peu de souffle, élément atténué par la taille de l’ouvrage (un peu plus de 270 pages).
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kyuubi-73
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MessagePosté le: Jeu 17 Mai 2012, 1:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mon dernier livre que j'ai lu est Hunger Games le Tom 1. Je l'ai commencer lundi et je l'ai fini hier matin et j'ai acheter le tome deux une heure après et j'en suis déjà à la moitier du livre. Smile

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DANS LE FC ANTI SASUKE ET FIERE D'Y ETRE !!!*rire maléfique!*

Sasuke, Parce qu’il ne vaut rien !
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peeta
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MessagePosté le: Jeu 17 Mai 2012, 3:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

kyuubi-73 : moi aussi je les ai lu , on pourra en parler ici


Sinon je viens de terminer :
Les Héros de l'Olympe, Tome 2 : Le fils de Neptune




La couverture est très laide par contre...

Auteur :Rick Riordan
Pages : 518


La série Héros de l'Olympe est la suite de la série Percy Jackson.
Dans le tome 1 d'Héros de l'Olympe, on découvre de nouveaux personnages
( percy jackson n'est pas dans le tome 1).

Résumé :
Malgré sa mémoire défaillante, Percy Jackson, le fils de Neptune, est désigné pour une dangeureuse mission en Alaska. Là-bas, dans le Grand Nord, rappelés du Styx par Gaïa, les monstres se réveillent un à un. Asisté par les demi-dieux Hazel et Frank, Percy doit une fois encore combattre le chaos qui menace. Pour cela, il lui faudra délivrer une divinité pas comme les autres : Thanatos lui-même, le dieu des Morts...


Bon comparé à la série Percy Jackson, je trouve la série héros de l'olympe un peu moins gamine.
Le livre est assez bien écrit , l'humour est un peu lourd par moment par contre. L'action est bien présente et diversifié , les nouveaux personnages bien travaillés. Cela laisse présager du très bon pour le tome 3 ( ceux qui ont lu les livres comprendront).

Pendant que j'y suis ,je vais vous faire une présentation du tome 1
Les Héros de l'Olympe, tome 1 : Le héros perdu



la couverture est nettement plus agréable au regard..

Page :553p


Résumé :
Lorsque Jason, Piper et Léo arrivent à la Colonie des Sang-Mêlé, le seul refuge pour les enfants de demi-dieux, ils croient enfin être en sécurité. Pourtant autour d'eux, le limat et à la guerre.
Les demi-dieux s'entraînent au tir à l'arc avec des flèches enflamées et des explosifs. Et la rumeur d'une terrible malediction court d'un demi-dieu à l'autre. Pire encore : Jason, Piper et Léo sont les élus pour une dangereuse quête quidoit être accomplie avant le solstice d'hiver.Le trio à quatre jours pour délivrer Héra et empêcher la malédiction de se réaliser ...

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Dernière édition par peeta le Jeu 17 Mai 2012, 4:09 pm; édité 2 fois
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Jergal
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MessagePosté le: Jeu 17 Mai 2012, 4:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

peeta, évite de faire de la pub pour ton topic en floodant n'importe comment. On pourrait sanctionner.

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Kakashi Hatake Sensei
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MessagePosté le: Mar 05 Juin 2012, 11:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis une Légende



Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l’abandon, vidée de ses habitants par une étrange épidémie.
Un virus incurable qui contraint les hommes à se nourrir de sang et les oblige à fuir les rayons du soleil… Chaque nuit, les vampires le traquent jusqu’aux portes de sa demeure, frêle refuge contre une horde aux visages familiers de ses anciens voisins ou de sa propre femme. Chaque nuit est un cauchemar pour le dernier homme, l’ultime survivant d’une espèce désormais légendaire.

Spoil:
Et si les vampires n’étaient pas ce qu’on croit ? Et si tout ce qui les entoure n’était que superstition et qu’ils avaient une existence réelle et scientifiquement explicable ? C’est l’une des questions qui agite Robert Neville, dernier Humain « normal » dans une ville infectée par une épidémie qui a transformé tout le monde sauf lui en créature buveuse de sang.
Ce livre est l’histoire de son combat. De ses combats. Pour sa survie comme pour la vérité autour de l’épidémie.

Nous sommes ici dans un véritable huis clos, l’action se déroulant entre la maison de Neville et quelques rues de la ville, bien âpre et tendu, où la sensation d’isolement est parfaitement retranscrite. Matheson utilise les vampires et déconstruit leur mythe (tout en y restant fidèle, ses vampires restent inquiétants… Non, je ne vise personne Razz) pour mieux montrer la lente descente dans la folie et une étude sur le racisme et la haine « ordinaire » chez l’être humain.

Si les vampires restent dans l’ombre, ils se dévoilent lentement de plus en plus, jusqu’à devenir des êtres vivants à part entière, avec leur propre vision de leur vie et de leur condition. Une réflexion sur la différence, son origine, son traitement dans la société, le tout étant fort bien mené dans un style simple et efficace.

À mi-chemin entre le fantastique et la science-fiction, Richard Matheson nous offre une pièce maîtresse de la SF, qui préfigure bon nombre des ouvrages SF plaçant l’Humain et les grandes questions philosophiques au cœur même des intrigues.
Une œuvre juste incontournable, prenante, haletante, que vous ne lâcherez pas avant sa fin qui résume bien l’idée générale. En un mot, à mettre dans toute bonne biblio d’amateur de science-fiction.

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MessagePosté le: Mar 05 Juin 2012, 11:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Mon copain ayant décidé de me mettre à jour sur les classiques de la Fantasy, je suis en phase "dévorage de bouquins".

Pour l'instant, je lis la première trilogie de la Compagnie Noire, de Glen Cook.



Elle est composée de :
- La compagnie noire
- Le château noir
- La rose blanche
Et elle a l'honneur de figurer dans la signature de KHS^^

Ces romans, comme leur nom l'indique, racontent l'histoire de la compagnie noire, une compagnie de mercenaires qui se battent pour qui les paye. Dans ces trois tomes, ils ont un employeur un peu particulier dont le but est d'obtenir le plus de pouvoir possible et d'empêcher le retour sur terre d'une personne susceptible de renverser cette domination. Le scénario n'a rien de particulièrement original a priori mais ces livres sortent quand même de l'ordinaire. D'une part en raison de la façon dont ils sont écrits : ils correspondent au point de vue de la personne chargée de tenir les annales de la compagnie. Et d'autre part en raison de leur richesse. Les personnages sont développés, plusieurs périodes historiques sont évoquées, les décors changent beaucoup au fil des voyages...

Il y a parfois des passages un peu difficiles où il faut s'accrocher parce que le style n'est pas descriptif : on a un personnage qui raconte son point de vue, comme si on était toujours dans sa tête, et de façon assez logique il ne décrit pas les choses qu'il sait déjà ou qui lui paraissent évidentes. Il m'a fallu un quart du premier tome pour vraiment rentrer dans l'histoire mais une fois qu'on s'est approprié l'univers, l'auteur a gagné et on ne peut plus en sortir !

Bref, ce sont des bons livres, avec des scénarios où il se passe des trucs (plutôt que des petites histoires où on réfléchit à des trucs) mais qui ne sont pas vraiment accessibles aux lecteurs qui ne s'accrochent pas un peu.

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MessagePosté le: Mar 05 Juin 2012, 1:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Concernant la polémique ancienne sur le livre sur Freud par Onfray :
Le vrai problème n'est pas dans le contenu des critiques, qui est d'autant plus juste que...
On flirt avec le plagiat Very Happy TOUTES ces critiques sont contemporaines ou presque à Freud, Onfray n'a fait qu'y apposer sa "marque" et de se faire de l'argent dessus. Rien dans ce livre n'est le fait de sa réfléxion propre, il ne s'agit que d'un livre marketing...
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Jergal
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MessagePosté le: Mar 05 Juin 2012, 1:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La Compagnie Noire, c'est un poids lourd de la fantasy. J'ai adoré.
Par contre, il ne faut pas s'attarder sur la suite. Les Nouvelles Annales de la Compagnie Noire, ou quelque chose d'approchant.
L'auteur a clairement été trop loin.

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MessagePosté le: Mer 06 Juin 2012, 8:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pour La Compagnie Noire, je regretterais que tu n'ailles pas au moins jusqu'à 6, GND.

C'est dommage de zapper ça:
4- Jeux d’ombres -> départ de la Compagnie pour le Khatovar.
5- Rêves d’acier -> Madame devient annaliste !
6- La pointe d’argent -> pendant que les autres sont en route pour le Sud, il y a un sérieux rififi à Aviron et la menace sérieuse de retour de quelqu'un qui ne doit pas revenir...

Après, je suis une inconditionnelle de la série, donc cela ne m'a pas dérangé d'aller jusqu'au 10. Mais tout le monde n'apprécie pas, ce que je peux comprendre, car parfois la tournure mystique peut blaser par rapport à ce qui était servi avant. Mais on s'enfonce vraiment dans le dark à un point, quand même, que c'est à tester.
Les 7 et 8 sont chroniqués par Mugen, que j'adorais comme personnage.
J'admets tout de même avoir un peu plus renâclé pour les 9 et 10.

On peut s'arrêter aux livres du Nord, c'est vrai, mais c'est dommage.
On y perd du mythe et surtout les origines de la Compagnie.

Dernière Compagnie franche du khatovar ! De A jusqu'à Z. En 10 tomes. Razz

"Les soldats vivent. Et se demandent pourquoi. "
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Kakashi Hatake Sensei
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MessagePosté le: Jeu 21 Juin 2012, 12:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

On change un peu de registre chez moi Very Happy

Chaplin



Pour beaucoup, Charles Spencer Chaplin (1889-1977) se confond avec le personnage de Charlot, surnommé aux Etats-Unis « The Tramp », le vagabond du Kid ou des Lumières de la Ville. Pourtant, le petit homme à la canne et au chapeau melon est loin d’occuper toute la filmographie de Chaplin qui est aussi un grand réalisateur. Il n’est que de citer L’Opinion Publique, Monsieur Verdoux ou La Comtesse de Hong Kong.
Charlot efface Chaplin, du fait même de son succès précoce auprès du public, au cours des premières années du cinématographe. Mais le talent n’explique pas tout, il faut qu’un personnage rencontre son époque, en dise les vérités et les mensonges. Charlot-Chaplin fut cet homme dont Cocteau affirmait qu’il était « l’arpenteur du Château de Kafka ».

Spoil:
Charles Spencer Chaplin, mieux connu comme Charlie Chaplin. Charlot, le vagabond. Deux noms, un homme, un acteur et réalisateur, et son personnage le plus connu. Mais aussi et surtout le début d’une longue introspection. Car le cinéma de Chaplin, s’il est lié à son époque et à sa société, notamment à travers les péripéties de Charlot, est aussi directement lié à Chaplin lui-même, comme on le voit dans cette bio.
Michel Faucheux ne se contente pas de raconter l’histoire de Chaplin et sa filmo, et pousse l’analyse jusqu’à l’homme lui-même, à ses relations avec les femmes et la société. Si Chaplin a tant tardé à passer au cinéma parlant, par exemple, c’est non seulement pour des raisons artistiques, qu’il exprimait lui-même dans son autobiographie, mais on peut aussi y voir des raisons psychologiques plus profondes.

C’est là la ligne de conduite de Michel Faucheux. Par des recherches poussées et à renforts d’extarits d’autres ouvrages, il nous plonge certes dans la vie de Chaplin de son remplacement au pied levé de sa mère sur scène jusqu’à sa mort le 25 décembre 1977 (et même un peu au-delà, avec l’anecdote de l’enlèvement de sa dépouille), mais il propose aussi et surtout de nous faire approcher l’homme comme si nous étions à ses côtés. Nous appréhendons là le génie dans toute son humanité, dans toute sa psychologie fragile, dans un jeu de masques qui dura toute une vie, autant devant une caméra que hors des studios.
Chaque moment de la vie de Chaplin devient l’occasion d’avancer dans sa psychologie et sa filmographie devient un long travail de recherche de soi, que ce soit par la naissance de Charlot et les rôles qu’il adopte, ou par l’absence de masque dans Les Feux de la Rampe.

Chaplin et Charlot. Deux facettes d’un même personnage, qui passeront leur vie à tenter de se rejoindre.
Bref, une très bonne bio, très complète, très poussée, intéressante et documentée, et qui permet de mieux appréhender l’homme et ses personnages.

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kosaka
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MessagePosté le: Jeu 21 Juin 2012, 4:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'assassin royal (Fool's Fate) ,

je regarde le match ,je m'y colle après ^^

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Dernière édition par kosaka le Jeu 21 Juin 2012, 9:44 pm; édité 1 fois
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Jergal
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MessagePosté le: Jeu 21 Juin 2012, 5:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Faudrait que tu écrives plus quand même kosaka.
Surtout avec l'Assassin Royal, y'a de la matière.

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T'es dur comme un boudoir !
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Mormegill
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MessagePosté le: Lun 25 Juin 2012, 11:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Citation:
Juste avant le crépuscule... C'est l'heure trouble où les ombres se fondent dans les ténèbres, où la lumière vous fuit, où l'angoisse vous étreint... L'heure de Stephen King.
13 nouvelles dans la lignée des meilleurs épisodes de Twilight Zone, 13 histoires bien méchantes qui ''ouvrent une trappe entre la réalité et cette période crépusculaire où tout, absolument tout, est possible.''


Ca se lit vite, c'est Stephen King donc c'est bon mais là c'est du bon "banal", juste de quoi divertir, pas de quoi faire vibrer. C'est son niveau seuil. Les nouvelles sont dans l'ensemble assez convenues et un peu sage même s'il a toujours cette capacité à poser des atmosphères (Le rêve d'Harvey ou Willa ) et à rendre ce qu'il écrit terriblement réaliste (un très petit coin).

Dans l'ensemble j'ai traversé le recueil sans enthousiasme particulier. Si vous voulez lire du S.King ne commencez pas par celui là.

- - - - -



Amazon a écrit:
À la suite d'un défilé militaire, Ferdinand Bardamu s'engage dans un régiment. Plongé dans la Grande Guerre, il fait l'expérience de l'horreur et rencontre Robinson, qu'il retrouvera tout au long de ses aventures. Blessé, rapatrié, il vit le conflit depuis l'arrière, partagé entre les conquêtes féminines et les crises de folie. Réformé, il s'embarque pour l'Afrique, travaille dans une compagnie coloniale. Malade, il gagne les États-Unis, rencontre Molly, prostituée au grand cœur à Detroit tandis qu'il est ouvrier à la chaîne. De retour en France, médecin, installé dans un dispensaire de banlieue, il est confronté au tout-venant sordide de la misère, en même temps qu'il rencontre ici et là des êtres sublimes de générosité, de délicatesse infinie, "une gaieté pour l'univers"...
Epopée antimilitariste, anticolonialiste et anticapitaliste, somme de toutes les expériences de l'auteur, Voyage au bout de la nuit est peuplé de pauvres hères brinquebalés dans un monde où l'horreur le dispute à l'absurde. Mais, au bout de cette nuit, le voyage ne manque ni de drôlerie, ni de personnages fringants, de beautés féminines "en route pour l'infini". Texte essentiel de la littérature du XXe siècle, il est émaillé d'aphorismes cinglants, dynamité par des expressions familières, argotiques, et un éclatement de la syntaxe qui a fait la réputation de Céline. --Céline Darner


Je ne vais pas faire ici, en quelques lignes, une analyse bancale d'une oeuvre majeure de la littérature française et dont les traits principaux ressortent dans la présentation ci dessus. Ce roman c'est tout d'abord une histoire qui a une force incroyable, une histoire qui à du sens et ca fait vraiment du bien.

Ensuite c'est un style et là je serais plus nuancé car, en effet il y a plein de formules qui font mouches, de passages sublimes mais c'est parfois surabondant. Ce qui claque en quatre cinq lignes devient parfois indigeste en 2, 3 pages et j'avoue que je suis arrivé à plusieurs reprises à la fin d'une page sans savoir vraiment ce que j'avais lu car je décrochais.
Je comprends que ce livre soit une référence objective de la littérature de part le style et le contenu mais pour ma part j'ai apprécié sans être transcendé.
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peeta
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MessagePosté le: Lun 27 Aoû 2012, 8:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Max -Sarah Cohen-Scali






En 1936 à Steinhöring, en Bavière, dans le premier foyer du programme "Lebensborn", initié par les services de Himmler. Des femmes sélectionnées par les nazis y mettent au monde les représentants de la race aryenne, dans l'optique de créer une jeunesse exemplaire, destinée à régénérer l'Allemagne, puis l'Europe occupée par le Reich.
Max, un bébé qui s'apprête à naître, déjà nourri de la doctrine nazie dans le ventre de sa mère, tient absolument à voir le jour le 20 Avril, date d'anniversaire du Führer, afin d'être un prototype parfait. Il grandit sans affection, sans tendresse, sans maman, selon les critères d'éducation de la doctrine nazie.



Avis :

C'est un assez dur, qui sera pour certain dérangeant et repoussant. Sara Cohen-Scali dépeint dans ce livre, un chapitre de la seconde guerre mondiale méconnu.

Le personnage principal, ne mâche pas ses mots.
Bébé, il parle déjà comme un vrai nazi, cela en est troublant. Il croit à 100% aux idéaux nazis. Jusqu'à un certain moment. Il fera une rencontre qui le bouleversera. Et c'est à partir de là, que pour moi le livre devient vraiment intéressant. A la fin, on finit même par l'apprécier. Car au fond, Max n'est qu'une victime.

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MessagePosté le: Mar 28 Aoû 2012, 12:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Isumi a écrit:
Pour La Compagnie Noire, je regretterais que tu n'ailles pas au moins jusqu'à 6, GND.

C'est dommage de zapper ça:
4- Jeux d’ombres -> départ de la Compagnie pour le Khatovar.
5- Rêves d’acier -> Madame devient annaliste !
6- La pointe d’argent -> pendant que les autres sont en route pour le Sud, il y a un sérieux rififi à Aviron et la menace sérieuse de retour de quelqu'un qui ne doit pas revenir...

Après, je suis une inconditionnelle de la série, donc cela ne m'a pas dérangé d'aller jusqu'au 10. Mais tout le monde n'apprécie pas, ce que je peux comprendre, car parfois la tournure mystique peut blaser par rapport à ce qui était servi avant. Mais on s'enfonce vraiment dans le dark à un point, quand même, que c'est à tester.
Les 7 et 8 sont chroniqués par Mugen, que j'adorais comme personnage.
J'admets tout de même avoir un peu plus renâclé pour les 9 et 10.

On peut s'arrêter aux livres du Nord, c'est vrai, mais c'est dommage.
On y perd du mythe et surtout les origines de la Compagnie.

Dernière Compagnie franche du khatovar ! De A jusqu'à Z. En 10 tomes. Razz

"Les soldats vivent. Et se demandent pourquoi. "


Pour info, j'en suis au 8 (fin du premier tiers, en gros).

J'ai bien aimé les 4, 5 et 6, ça reste dans l'esprit des trois premiers et ça a été un vrai plaisir pour moi qui adore savoir ce que deviennent les personnages après l'histoire. Je suis plus mitigée sur le tome 7 qui était franchement dur à suivre au début, l'auteur s'est un peu trop fait plaisir sur le bordel temporel, et j'apprécie plutôt le tome 8 même s'il n'est pas au niveau des premiers. La saga continue !

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MessagePosté le: Mar 28 Aoû 2012, 10:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'en ai lu deux.

-Le petit prince: j'arrive pas à dire si j'aime ou pas. Ce lire m'a laissé vide, dans le sens où je suis incapable de savoir s'il m'a plu, si les persos sont attachants ... Cependant je ne trouve pas l'histoire en elle-même sensationnelle MAIS en y réfléchissant un peu dessus on peut avoir quelques idées. Par exemple le petit prince en mirage du désert, ou une sorte de rêve sentit comme vécu. Toujours est-il que j'ai été légèrement choqué par l'histoire de l'enfant et du serpent. Je m'explique:

Spoil:
le fait d'etre mordu par le serpent pour retourner sur sa planète ... le petit prince doit mourir pour s'en aller. Au dela de la métaphore de la mort, raconter ça aux gamins ... j'sais pas j'trouve ça louche, pour selon que l'auteur insiste sur le fait que ce livre est pour "un enfant" (voir la dédicace) il n'en sonne pas du tout le son.

Le livre reste cependant à lire, histoire de le découvrir, et de le ressentir à sa manière.

-Le barbier de séville (Beaumarchais): j'ai bien aimé, surement parce que le style est lié au théatre que j'ai étudié durant mon parcours scolaire. Il avait quelque chose de familier. Cependant l'histoire en elle-même ressemble bcp à tant de pièces déjà écrites ou qui suivront. Un manque d'originalité, que de notre regard nous ne jugeons que parce qu'on a l'habitude de la diversité. C'est agréable à lire, et j'ai aimé suivre l'intrigue en soutenant tel ou tel personnage.

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