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Mormegill
Chuunin


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MessagePosté le: Sam 08 Sep 2012, 7:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Suite à la vue des différents avis donnés plus haut



Alors j'ai bien aimé et je lirais sans doute les suivants ( en attendant l'intégrale 5 du "Trone de Fer" hé hé hé ). Les personnages sont bien campés même si l'on a du mal à s'attacher à un personnage en particulier (hormis le Toubib qui est le narrateur ) car au final on sait peu de choses sur eux et aucun au sein de la compagnie noire n'est mis plus en avant ( enfin c'est sans doute l'effet voulu, le "héros" c'est la compagnie noire dans son ensemble et pour le coup c'est bien réussi, on est vraiment immergé dans le groupe !)

L'univers et le contexte sont bien sympathiques, on est embarqué dans l'aventure même si justement le manque d'attachement aux perso' fait aussi qu'au final ca manque un peu de souffle épique. On s'ennuie vraiment pas mais il y a pas un moment ou on est scotché non plus. Sinon on est plutôt dans du "dark fantasy" et pour le coup ce n'est ni simpliste ni manichéen (contrairement au 1er tome de " l'Epée de Vérité" par exemple, que je viens de finir il y a peu) ce que perso' je trouve assez agréable.

Donc bilan plutôt positif et je le conseil pour les amateurs du genre même si je n'ai pas été transcendé non plus.

( Puis un peu surpris par le procédé narratif qui au final fait assez peu "annale", même pas daté ni rien . Mais bon c'est un détail au final).
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Isumi
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MessagePosté le: Sam 08 Sep 2012, 11:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
L'univers et le contexte sont bien sympathiques, on est embarqué dans l'aventure même si justement le manque d'attachement aux perso' fait aussi qu'au final ca manque un peu de souffle épique.


Ce souffle va venir. Wink

Et vu le temps qu'il nous reste avant l'intégrale 5 de GoT*, je te conseille vivement de poursuivre au moins avec les livres du Nord Very Happy


Citation:
Je suis plus mitigée sur le tome 7 qui était franchement dur à suivre au début, l'auteur s'est un peu trop fait plaisir sur le bordel temporel, et j'apprécie plutôt le tome 8 même s'il n'est pas au niveau des premiers. La saga continue !

Cool Very Happy
En fait, c'est le bazar total
Spoil:
et il y carrément deux compagnies avec un Mogaba qui ne rigole pas du tout
mais je m'étais vraiment attachée à Murgen, du coup j'avais envie de savoir ^^


*En parlant de cela, ça frustre de voir que c'est déjà rendu au 14 dans l'autre découpage éditorial.
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gare à naruto le démoniak
Gnd
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MessagePosté le: Lun 10 Sep 2012, 10:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tome 9 déjà bien entamé : j'aime beaucoup ! Plus que les deux précédents pour l'instant. ça se rapproche plus des premiers tomes, dans le sens où on sait ce qui se trame avant le dernier moment, ce qui permet de plus s'attacher aux personnages et d'être embarqué dans leurs actions.

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Raoh
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MessagePosté le: Ven 05 Oct 2012, 11:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

dernier tome d eragon sinon la je suis entrain de lire homere


Mat : Ce serait bien si tu pouvais en dire un peu plus. Que penses-tu de ces lectures ? Les points positifs et négatifs, etc.

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je suis pauvre, je n ai plus que mes rêves, alors marche doucement car tu marches sur mes rêves.
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Jounin


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MessagePosté le: Mar 23 Oct 2012, 10:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Récemment j'ai lu hemingway - le vieil homme et la mer je peut pas trop faire un avis sa se pense surtout après lecture c est bien écrit on a du mal à lire des livres trop détailler après sa et la je vais commencer j.k rowling - une place à prendre vos avis m'intéresse !
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Uchiha-sasuke-da
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MessagePosté le: Mar 23 Oct 2012, 10:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce poste sert à rien alors, présente nous un peu ce livre, perso ça m'intéresse de lire des avis sur Hemingway, et Ô joie ce topic est spécialement fait pour ça !

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N.B
Jounin


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MessagePosté le: Mer 24 Oct 2012, 3:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Uchiha-sasuke-da a écrit:
Ce poste sert à rien alors, présente nous un peu ce livre, perso ça m'intéresse de lire des avis sur Hemingway, et Ô joie ce topic est spécialement fait pour ça !


Bah j’avais jamais lu Hemingway et j'ai adorée mais pas comme on peut adorée une saga style harry potter ou autres c'est le fond du livre y'a un truc on a envie de le lire pour savoir ce qui va se passée même si l'histoire du vieil homme et la mer n'a pas le résumé le plus captivant que j'ai lu ... c'est difficile a expliqué je dirait que sa force d'écriture se résume a des lignes très directes sans détour ou détaille inutile et surtout des phrases accrocheuses ...

Le livre parle de Santiago un pêcheur qui ne ramène plus de poisson depuis un certain temps et il va tombé sur un poisson énorme ( un marlin ) un jour de pêche ... va sans suivre une lutte acharnée entre le vieil homme et le poisson et une sorte de dénouement avec une bande de requins ( dit comme sa sa fait pensé a Némo plutôt qu'a un livre mais le livre est bien )
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gare à naruto le démoniak
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MessagePosté le: Mer 24 Oct 2012, 3:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Et bien j'ai enfin fini l'intégralité de la compagnie noire (il y a plusieurs semaines) et j'ai un argument supplémentaire pour inciter les gens à lire cette saga jusqu'au bout : j'ai aimé la fin. C'est un phénomène excessivement rare. J'ai tendance à aimer comprendre les choses, à vouloir savoir ce qui se passe jusqu'au bout, à trouver que ça ne colle pas aux personnages etc etc. Et là, pour une fois, j'ai trouvé la fin parfaite. Elle donne des réponses tout en laissant place à l'imagination et surtout elle colle parfaitement avec les onze tomes qui précèdent. C'est génial !


Depuis, j'ai lu "fahrenheit 480", du fameux Ray Bradburry. J'ai été un peu déçue mais c'est surtout parce que j'en attendais beaucoup. C'est un pilier de la littérature dystopique, certes, et ça vaut le coup de le lire ne serait-ce que parce que c'était sans doute un des premiers livres à arriver avec ce genre de scénario. Mais au final, maintenant, ça parait tellement vu et revu que ça devient décevant, même en se disant "youhou, c'était un des premiers !". L'univers est intéressant mais en fait le livre est court, tout passe très vite et j'ai eu du mal à vraiment rentrer dans l'histoire donc ça n'a pas très bien marché.

Là je suis en train de lire Total Recall, un recueil de nouvelles de K. Dick dont un certain nombre ont été adaptées au cinéma. Comme Bradburry, j'ai un peu de mal avec son style que je trouve trop "extérieur" aux histoires, plus descriptif qu'envoûtant et comme Bradburry je pense que le fait que ça soit de la vieille SF qui a inspiré beaucoup de gens nuit à l'originalité de l'oeuvre. Et de façon surprenante, je change d'avis à chaque nouvelle. Il y a en a que j'ai trouvé géniales, d'autres bof, d'autres nulles... C'est le suspens à chaque première page !

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Kakashi Hatake Sensei
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MessagePosté le: Mer 24 Oct 2012, 4:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fahrenheit 451, s'il te plaît Razz
Et Bradbury, aussi ^^
Le livre fonctionne encore très bien avec moi, pour le coup =)

Pour Toal Recall, au passage, c'est une réédition pour profiter de l'effet du nouveau film.
On pouvait le trouver depuis 2002 en tant que Minority Report et autres récits (où ils profitaient, cette fois, de l'effet du film de Spielberg x)).

Quant à Dick, ça reste le maître absolu du genre, avec sa SF foisonnante de questions sur le réel et l'Humain.
Si tu t'attends à autre chose, pas la peine d'en lire, c'est bien ce qui a nourri son œuvre d'un bout à l'autre =)

Cela dit, je te suis sur la qualité des nouvelles, c'est assez variable, il m'a déjà perdu sur quelques-unes...

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Eight
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MessagePosté le: Sam 03 Nov 2012, 8:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir,

Je tombe un peu comme un cheveux sur la soupe, le dernier livre que j'ai lu est une pièce.

Plutôt relu, d'ailleurs, puisque je l'ai joué. L'amour de Phèdre, de Sarah Kane. Trash, comme toutes ses pièces. Puissante, révélatrice du poids des mots, de leur corps.
Les didascalies ont une importances maîtresse, autant que dans Fin de Partie de Beckett, mais d'une façon différente. En bref, je vous le conseille.

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C'est une courgette qui court et qui se jette. Meow.
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Traveller
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MessagePosté le: Sam 10 Nov 2012, 3:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,
le dernier livre que j'ai lu : Naissance d'un pont, de Maylis de Kerangal. Elle raconte la construction d'un pont de A à Z dans une ville imaginaire d'Amérique du sud, avec des personnages aux noms évocateurs (Diderot, Le Boa, etc.). J'ai adoré son style, elle arrive même à rendre la passion d'un personnage pour le béton (!). A conseiller si vous pensez que Proust faisait des phrases trop courtes (!!) - style foisonnant que j'ai adoré mais qui ne plaira peut-être pas à tout le monde.
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Mat
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MessagePosté le: Dim 18 Nov 2012, 1:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Dans "le Père Noël est une ordure", Thérèse offrait à Pierre le dernier élément qui lui manquait pour descendre les poubelles. La Thérèse de Thérèse Raquin offrira quelque chose de sensiblement différent à son amant.

Elevée depuis son plus jeune âge par sa tante (madame Raquin), Thérèse est mariée à son cousin Camille, un être chétif, à la santé fragile, qui n'aime pas sortir. La jeune fille mène donc une existence assez limitée et ennuyeuse. Mais des changements interviennent lorsque notre trio se déplace à Paris, pour que Camille travaille aux chemins de fer d'Orléans, dans l'administration. Madame Raquin trouve alors une boutique de mercerie et un appartement au passage du Pont-Neuf où elle travaillera avec Thérèse pour s'assurer des revenus suffisants pour la vie du ménage. Tous les jeudis soirs des parties de dominos ont lieu, en compagnie de fréquentations des Raquin. Thérèse s'ennuie toujours autant.

Un jour, Camille rentre à la maison accompagné de Laurent, rencontré à son travail. Ce peintre sans grand talent va (r)éveiller en Thérèse de puissantes passions. Une relation amoureuse naît assez rapidement entre les deux êtres. Le problème se nomme alors Camille : que faire de cet encombrant mari ? Faut-il continuer à se voir en cachette ? Une idée germe alors peu à peu dans l'esprit des amants : s'en débarrasser !

Laurent échafaude alors un plan et le met à exécution lors d'une ballade avec Camille et Thérèse. Ils louent une barque et Laurent jettera Camille à l'eau tout en faisant croire que la barque a chaviré. Laurent passe alors, aux yeux de tous, non pour un meurtrier mais pour un héros.

Enfin libres de s'aimer ? Pas tout à fait. Les deux individus sont en effet terriblement rationnels : s'ils se mettent ensemble immédiatement après la mort de Camille, cela éveillera des soupçons. Aussi est-il plus prudent d'attendre et d'instiller l'idée, peu à peu, qu'un mariage entre Thérèse et Laurent serait une bonne chose (la pauvre fille ne peut pas rester toute seule et Laurent était l'ami si dévoué de Camille). Leur démarche est efficace mais un obstacle imprévu se fait jour : depuis le meurtre, leurs sentiments ont changé et le souvenir de Camille les hante (cf. la couverture de l'édition présente ci-dessus). Les pages consacrées à ce changement ainsi qu'à la difficulté nouvelle du contact entre les deux personnages sont à cet égard parmi les plus intéressantes du roman.

Le mariage aura tout de même lieu mais le couple criminel va finir par se haïr, se reprocher mutuellement le meurtre de Camille et la tournure prise par leur vie. Le "bonheur dans le crime" n'est pas pour eux... Ils recherchent alors la compagnie d'autres personnes : s'ils ne sont pas seuls, le fantôme de Camille ne les hantera pas.

Mais la santé de madame Raquin décline et elle finit par ne plus pouvoir parler et, peu à peu, par être paralysée. Si, pas plus que la mort de Camille, cela ne met fin aux soirées du jeudi soir (le monde continue à tourner...), les relations entre Thérèse et Laurent se dégradent et lors d'une dispute se déroulant sous ses yeux, madame Raquin finit par comprendre ce qu'ils ont fait à son fils. Impotente, elle ne pourra pas diffuser cette information en dépit d'une tentative héroïque - qui soulignera, à nouveau, la bêtise de l'auditoire du jeudi soir. Elle offrira alors un regard glacé aux deux coupables.

Les différentes solutions essayées pour mieux vivre (coucher avec d'autres personnes, se remettre à la peinture, etc.) échoueront. Thérèse et Laurent arrivent alors, chacun de leur côté, à l'idée qu'en se débarrassant de l'autre, ils retrouveront la tranquillité (et auront aussi la certitude que l'autre n'ira pas révéler le crime auprès de la police). On arrive alors au dernier soir : Laurent aperçoit le couteau dont Thérèse voulait se servir et Thérèse a vu Laurent verser du poison dans son verre d’eau. Retrouvant alors, l'espace d'un instant, un certain amour l'un envers l'autre, les époux décident de se suicider en buvant le poison de Laurent. La scène s'étant déroulée sous les yeux de madame Raquin, elle voit mourir avec un certain plaisir ces deux criminels.
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Isumi
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MessagePosté le: Dim 18 Nov 2012, 1:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Encore une histoire de couple et de problèmes conjugaux.

Je te conseille une autre Thérèse, monument de la littérature à mes humbles yeux: Thérèse Desqueyroux, de François Mauriac.
Rarement homme n'a su décrire le ressenti d'une femme comme dans ce roman.
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Hinata-chan03
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MessagePosté le: Dim 18 Nov 2012, 2:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai récemment lu Le lys dans la vallée de Balzac, un véritable bijou! On approche d'un amour peu commun, un mélange de passion et d'amour maternel qui fait face à une adoration sans borne, plus spirituelle que physique. Le plaisir de cette lecture est souligné par un style élégant et touchant. Smile

En ce moment je lis les Chroniques italiennes de Stendhal, c'est déjà moins plaisant...Outre les histoires pour le moins violentes, c'est vraiment difficile à lire, en fait c'est vite barbant. Trop de pages pour pas grand'chose, trop de dérivations de l'action principale...

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"A journey of a thousand miles begins with a single step." (Lao-Tsu)

La justice combat avec qui la défend. (Eschyle)
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Kakashi Hatake Sensei
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MessagePosté le: Jeu 27 Déc 2012, 1:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Auteur
David Gaider

Genre
Fantasy

Éditeur
Milady

Nombre de pages
448

Année de parution
2009


Synopsis
Lorsque la bien-aimée Reine Rebelle est assassinée, son fils Maric entreprend de la venger. La nation de Férélden, qui avait jadis prospéré sous le règne de sa famille, souffre désormais sous le joug cruel des envahisseurs orlésians.
Maric devient bientôt le chef de l’armée rebelle déterminée à arracher Férélden des mains d’un tyran étranger. Seulement aidé de deux vrais alliés – le taciturne hors-la-loi Loghain et la magnifique guerrière Dame Rowan – le Prince Maric doit accomplir son destin et se jeter dans la bataille afin de reconquérir le trône volé.

Avis
Spoil:
Les jeux vidéo Dragon Age sont parmi les plus appréciés du genre RPG grâce au savoir-faire de BioWare, notamment sur le scénario et son traitement. On pouvait donc s’attendre à ce que ce tome 1 d’une trilogie de romans nous racontant l’histoire du roi Maric, évoquée dans les jeux, soit à la hauteur, d’autant que cette trilogie (dont seul ce tome 1 existe en français) est signée du scénariste principal de Dragon Age, déjà à l’œuvre sur Baldur’s Gate et d’autres…
Malheureusement, on déchante vite. En effet, si Gaider est sans doute un bon scénariste parmi d’autres dans les équipes de BioWare, il s’avère rapidement qu’il est nettement moins doué quand il part à l’aventure du roman en solitaire.

Évacuons le suspense de suite. Le principal intérêt de ce tome 1, qui se lit d’ailleurs sans problème tout seul, est bien de dévoiler le passé de Maric, Rowan et Loghain. Passé cela, l’univers de Dragon Age, et une efficacité toute relative, l’amateur déjà assez bien rodé de fantasy aura du mal à ne pas sortir le facepalm à chaque chapitre.
Le Trône Volé est en effet la meilleure définition du mot « cliché ». Un véritable annuaire du domaine en fantasy.

Vous voulez une trahison en guise d’élément déclencheur ? Un prince qui ne sait rien faire au départ ? Une bromance bien virile à base de « je te hais à l’origine, mais on finit quand même les meilleurs amis du monde entier jusqu’à la mort » ? Un triangle (voire quatuor) amoureux ? Un agent double qui fianlement triple par que les gentils, ils sont sympas, finalement ? Quelques Deus ex Machina quand les héros sont au plus mal ? Une virée dans des souterrains bourrés d’araignées géantes ? Un méchant tellement méchant qu’il se sent forcé de tuer au moins un type par jour et de planter des têtes à sa porte pour étaler son sadisme ? Et d’autres choses encore, comme la soif de pouvoir à venir ?
Vous avez tout ça là-dedans ! Si.

Un défilé de clichés plus ou moins irritants, englués dans un style (enfin, une traduction) assez plat, et avec quelques répétitions. Sans oublier, pour ceux qui connaissent les jeux, les termes spécifiques à Dragon Age traduits d’une façon tout à fait différente (Iarl devient Arl, Tiern devient Teyrn, les Tréfonds deviennent les Routes Profondes, etc…).

Le Trône Volé est donc finalement une série B sans grande prétention, si ce n’est nous raconter l’histoire de Maric, qui aura bien du mal à convaincre les amateurs un minimum éclairés de fantasy. Cela dit, il peut être un bon premier pas pour une introduction en douceur au genre.

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MessagePosté le: Mar 08 Jan 2013, 1:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Coucou.

Ca m'arrive rarement, mais cette fois je me sens obligé de partager avec vous mon enthousiasme pour le livre La vérité sur l'affaire Harry Quebert. Je l'ai fini et en tant que fan de polar je vous le recommande chaudement. C'est un pavé mais la soif de connaître la suite nous scotche. Un must-have.

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"Pas besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer"

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Mormegill
Chuunin


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MessagePosté le: Dim 27 Jan 2013, 2:01 am    Sujet du message: Répondre en citant



amazon a écrit:

Il y a les bouches noires des fusils qui jettent des regards de mort au colonel Aurelanio Buendia et il y a la mémoire du militaire qui, devant sa fin proche, s'élance comme un disque solaire... Il revoit son village, le Macondo, perdu dans des territoires oubliés de l'Amérique du Sud, l'histoire fabuleuse de sa famille traversant, comme une dynastie royale, les trois âges de la vie : naissance, vie et décadence..

Au travers de l'histoire de ce village et de ses créateurs, Gabriel Garcia Marquez nous conte, avec cette magie des mots qui donne à son livre un reflet d'éternité, les peines, les joies, les espoirs et les craintes d'une famille qui tente par tous les moyens de conjurer la malédiction qui pèse sur les siens : cent ans de solitude.

Avec ce roman majeur, véritable pièce maîtresse d'une littérature qui s'affirme, Gabriel Garcia Marquez pose les jalons qui soutiendront dans son développement le roman hispano-américain. Pour cette raison et pour le bonheur de lecture que procure Cent ans de solitude, plaisir jubilatoire du lecteur aux prises avec le génie, l'oeuvre de l'écrivain colombien est monumentale.


Le résumé me semble suffisamment dithyrambique ( "génie", "jubilatoire", "monumentale") pour ne pas avoir le besoin de défendre ni de promouvoir cette oeuvre qui m'a totalement emportée. Un conte, un roman, une monographie associant poésie, féérie, ésotérisme. Un mélange équilibre de styles et de genres, de la littérature d'immersion qui vous fait voyager ( et habiter) à l'autre bout du monde pendant 450 pages comme aucun documentaire. Puis je réinsiste bien sur la poésie, il y a des passages qui sont des véritables bijoux et que vous relisez juste pour tenter d'imprégner les mots dans vôtre petite tête.

A noter malgré tout que la généalogie et la multitude des personnages rend parfois le suivi de l'histoire un peu délicat ( tout les personnages mâles ou presque s'appellent arcadio, josé arcadio, aureliano ... quand il y en a 10 ca devient compliqué !).




amazon a écrit:

D'étranges disparitions se succèdent dans la ville de Génépi : cadavres et vivants se volatilisent, proies d'un mystérieux commerce nocturne. Y aurait-il un rapport avec le château noir, cette sombre éminence qui domine la ville, cette verrue monstrueuse qui semble croître de jour en jour ? Possible... La Dame, elle, semble prendre la menace très au sérieux et dépêche la Compagnie sur place pour voir de quoi il retourne. Coincée entre l'horreur qui grandit aux abords du château et sa peur de la Dame, la légendaire Compagnie noire pourrait bien envisager pour la première fois de son histoire de rompre son contrat et de sérieusement redéfinir ses allégeances...


Pour le coup si j'avais eu du mal à adhérer au 1er tome ( qui pour moi était une succession de scènes sans liant, un roman sans intrigue) , ce deuxième tome n'a pas se problème parce qu'il bénéficie des bases posées à la fin du volume précédent, du clivage rébellion/dame et surtout de l'identification de la Rose Blanche. [ Pour être pris dans une histoire, faut qu'il y ait un parti pris, qu'on puisse se positionner d'un côté ou un autre, qu'on rentre en empathie ou en antipathie, qu'on soutienne une cause. ]

Du coup on est plongé directement dans le bain, ya de la tension, l'ambiance et l'histoire sont prenantes. On s'attache enfin à des personnages bien identifiés et familiers. Vraiment rien à dire, ca se lit bien et vite sans que se soit un style simpliste, c'est captivant et rythmée, vraiment un bon livre de fantaisie.
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Mat
Jûbi


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MessagePosté le: Sam 23 Fév 2013, 12:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Au moment d’aborder le dernier chapitre de La Misère du monde, Bourdieu met en avant une citation de Flaubert : « Tout est intéressant pourvu qu’on le regarde assez longtemps ». Un tel propos serait probablement admis par Lucien Leuwen, lors de ses différents séjours dans la « bonne » société de Nancy en tant que sous-lieutenant, tout comme lors de son séjour dans les arcanes du pouvoir politique, en tant que maître des requêtes auprès du comte de Vaize, ministre de l’Intérieur. Cela donne à voir que, si Lucien Leuwen demeure un roman inachevé de Stendhal (deux parties sur les trois envisagées auront été menées à bien), il reste une œuvre très plaisante à lire.

Nous sommes sous la monarchie de Juillet. Lucien Leuwen a été chassé de l’école Polytechnique (A. Comte n’est plus seul !) car soupçonné de saint-simonisme. Pour s’éloigner de la vie trop tranquille qu’il mène à Paris, il rejoint un régiment de lanciers à Nancy (qui fait l’objet de descriptions peu sympathiques), avec le grade de sous-lieutenant. La première partie du roman nous narre alors l’installation et la vie de garnison de Lucien. Ses journées suivent souvent le même schéma : manœuvres militaires le matin, parties de billard (plus ou moins arrosées) le soir.

Sa vie n’est donc guère animée, mais un « choc » se produit lorsque Lucien aperçoit, à la fenêtre d'une maison du centre-ville de Nancy, Madame de Chasteller. Elle a dans les 24 ans et est (déjà) veuve d'un général de brigade (on verra que ce rang n’est pas sans conséquences sur la manière dont Lucien interprète les attitudes de cette jeune femme). Leur première rencontre est assez désastreuse car Me de Chasteller voit Lucien jeté à terre par son cheval. Par la suite, il la croisera dans les salons de la ville – où il finira par briser le cœur de Me d’Hocquincourt malgré une belle déclaration de cette dernière – mais cet amour, qui devient peu à peu réciproque, restera platonique (ce qui est l’occasion de réflexions assez profondes de la part des deux personnages). Bathilde (son petit prénom) tient à conserver son rang : elle est considérée comme une « ultra », favorable au régime et au roi quand Lucien se voit affublé d’une réputation de républicain, ce qui lui causera quelques soucis au sein de son régiment. Déçu par la vie militaire (pas de guerre à l’horizon, juste une répression d’une révolte d’ouvriers à se mettre sous la dent) Lucien est victime d’une mauvaise farce de la part du docteur Du Poirier, qui vise à décourager l’amour entre lui et Bathilde. Lucien met alors les voiles pour retrouver sa mère et son père, un banquier fort riche, à Paris. C’est alors la deuxième partie qui s’ouvre.

Á Paris, Lucien, nommé maître de requêtes au Conseil d'État (merci papa !), est affecté au service du comte de Vaize dont il va devenir le secrétaire (général s’entend). La charge de travail est importante mais cela ne l’empêche pas, sur les conseils de son père, de fréquenter l’Opéra (et ses demoiselles) lorsque les 23 heures sonnent. Chargé d'accomplir des tâches de basse police notamment à l'occasion de campagnes électorales en province (un des « bienfaits » du suffrage censitaire de l’époque), d'abord à Blois où il sera pris à partie par des manifestants (qui le voient comme espion du ministre), puis dans le Calvados. Il échouera, ce qui lui vaudra un retour à Paris par la petite porte, même si « gagner » les élections relevait d’une mission impossible vu les obstacles rencontrés. Il rêve encore, par moments, à la dame de Nancy, qu'il espère revoir et elle aussi pense à lui.

Mais s’il a « perdu » les élections, ce n’est pas le cas de son père qui, en guise de nouvelle distraction, a été élu député de l'Aveyron. Peu à peu, il réussit à rassembler autour de sa personne une bonne vingtaine de députés qui constituent un groupe charnière à l'Assemblée : ils peuvent faire ou défaire les gouvernements. Sa position de parlementaire est renforcée par sa situation de banquier qui lui permet (avec le télégraphe), de donner au roi et à ses ministres des informations bien pratiques sur les opérations de bourse.

Cependant, cet homme ironique et fort drôle à écouter commettra une erreur en voulant assurer l’avenir de son fils. Il souhaite faire de M. Grandet le nouveau ministre de l’Intérieur en même temps que Lucien ferait la cour à sa femme (afin de le débarrasser des soupçons de saint simonisme, sécuriser sa place, etc.). L’affaire occupe Me Grandet et M. Leuwen, le mari n’ayant pas vraiment son mot à dire (et c’est peut-être mieux ainsi oserait-on ajouter). Lucien tombe, peu à peu, amoureux de cette jeune femme aussi quand son père lui apprend la vérité – en pensant bien faire. Lucien est meurtri : il ne sera donc jamais aimé pour lui-même ? On décidera toujours pour lui ? Le « pire » c’est que Me Grandet réalise qu’elle est tombée amoureuse de Lucien, presque sans le vouloir. Leur rencontre vers la fin de l’ouvrage est à cet égard un autre grand moment du livre : elle lui révèle ses sentiments, fond en larmes et s’évanouit dans le bureau de Lucien, au ministère, quand lui-même reste de glace et se demande à quoi rime toute cette comédie.

Il va alors quitter Paris mais revenir suite à la mort de son père, qui finira ruiné qui plus est. Lucien refuse de faire banqueroute et remboursera toutes les dettes de son père, ce qui le laissera, ainsi que sa mère, à la tête de maigres revenus mais suffisants pour vivre. Lucien décide alors d’embrasser une carrière diplomatique à Capel où il a été nommé secrétaire d’ambassade. Le roman s’arrête tandis que Lucien, sur la route vers sa nouvelle fonction, s’est arrêté deux jours près du lac de Genève pour visiter les lieux de La Nouvelle Héloïse.
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perle
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MessagePosté le: Dim 03 Mar 2013, 7:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les bannis et les proscrits


genre : Fantasy

Synopsis
Par une nuit fatale à Alasea, pays ravagé par une malédiction, trois mages accomplissent un ultime sacrifice dans l'espoir, de préserver le bien. Cinq cents ans jour pour jour après cette nuit funeste, une jeune fille hérite d'un pouvoir perdu depuis longtemps. Mais avant qu'elle puisse en saisir les implications, le Seigneur Noir lance ses hordes des ténèbres pour s'emparer de la magie embryonnaire qu'elle détient. Dans sa fuite, Elena est précipitée vers une issue terrible... mais aussi vers la compagnie d'alliés inattendus, avec lesquels elle va tenter de combattre les forces maléfiques et de secourir un empire autrefois glorieux.

mon avis
Spoil:
points négatif:
l'histoire met du temps à se mettre en place, les chapitres sont un peu long et quelques fois trop détaillés à mon gout. certains personnages sont beaucoups développés et d'autre presque pas. Certains dialogue ont rien à faire à l'histoire, ils sont juste là pour faire jolie. Et l'histoire n'a rien d'original, c'est du déja vu.
point positif:
chaque décors changent, les personnages sont tous différents, ils ont presques rien en commun. ce sont les personnages qui créent cette grande diversité dans le livre.
bref, je le regrette un peu Confused . et dsl pour les fautes d'orthographe

_________________
"Tuer pour ne pas mourir ou mourir pour ne plus tuer ? Pourquoi est ce si difficile ?...
Le bruit d'une pendule qui résonne d'autant plus fort. Comme si la fin se faisait sentir, comme si le livre allait être fermé, la plume rangée. La neige, encore la neige et ses yeux se refermèrent pour l'éternité."
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Jounin


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MessagePosté le: Lun 18 Mar 2013, 4:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Guide de Survie en Territoire Zombie




Un livre pour tout les fans de Walking Dead sa dénote toutes les techniques,les armes,les planques,les véhicules,les endroits pour survivre a une invasion de zombie tout ça dans un style pince sans rire c'est juste excellent ce livre je l'ai littéralement dévoré je vous le conseille

_________________


Dernière édition par N.B le Mer 24 Juil 2013, 5:38 pm; édité 2 fois
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