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. Heu ... Mes textes ? (Le soleil brille)
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fabest
Genin


Inscrit le: 07 Jan 2007
Messages: 447

MessagePosté le: Jeu 10 Mar 2011, 2:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Une deuxième partie trop lourde donc. Je vois.
L'aspect pompeux doit provenir de ma petite personne, quand à l'aspect suffoquant, j'vais un poil défendre mon pauvre texte. Ou plutôt mon intro.
Car c'est là le rôle de ces quelques lignes pour le moment. Je ne me suis pas énormément étendu sur le départ, sur les ruptures car ce n'est là pas la base primaire et centrale de l'histoire que j'aimerai écrire. Du moins pas tout a fait. Reste que je prends la remarque, et j'essaierai d'étoffer. J'essaie ici de poser les premières lignes de la relation de mon (mes) personnage(s) avec Internet. Et cet aspect "suffoquant" donc, est nécessaire pour ce que j'ai en tête. Après est il trop ou pas assez bien mis en place, je pense moi aussi que non. N'ayant pas tout écrit d'une traite j'ai conscience que tout sera à remanier.
Quand à l'aspect inintéressant, malheureusement j'en ai besoin de cette partie aha Va falloir que je donne de l'énergie à tout ça donc.

Quand à la mort, elle a le temps d'arriver. Cette notion ayant autant un rôle majeur qu'Internet. Si j'ai la capacité et la patience d'en arriver jusque là.

Merci de ta lecture et de ta critique.

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lazarock
Civil


Inscrit le: 09 Fév 2011
Messages: 42

MessagePosté le: Jeu 10 Mar 2011, 6:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah oui, si tu nous sors une suite ça sera a mettre en contexte =)
J'ai tellement l'habitude des textes courts que je pars avec un avis déjà pas trop favorable sur les énormes morceaux.

J'espère pouvoir lire la suite Wink
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Saso'
Chuunin


Inscrit le: 05 Déc 2007
Messages: 564
Localisation: No one here gets out alive.

MessagePosté le: Sam 18 Juin 2011, 8:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai beaucoup aimé le début, les phrases courtes, etc ça entraîne à lire la suite. Je suis du même avis que lazarock, j'aurais bien aimé que l'histoire avec Sophie, Laura ou Isabelle soit plus développée, qu'on sache ce qu'elle et lui ont ressenti à la rencontre qui n'a pas eu lieu. L'histoire tourne seulement autour de lui, mais on ne sait rien, nous lecteurs, à propos de lui. Son vrai prénom, son âge qui est important, même si je pense que c'est la génération 15/25 ans. Si on lis entre les lignes ça concerne énormément de personnes. J'aime beaucoup surtout parce que les fléaux comme la génération Internet + réseaux sociaux je trouve ça intéressant et réel. Parfois on pourrait se reconnaître, et parfois pas du tout. J'espère qu'il y aura une suite, c'est quelque chose de très prometteur, je pense sincèrement que tu es capable de faire quelque d'extraordinaire !
Continue, tu as un don Wink

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Bane' a écrit:
J'sais surtout ce qui est bien. Et comme je sais que t'es bien aussi, tu écoutes des trucs bien ... cqfd
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Uchiha-sasuke-da
Retro girl
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Inscrit le: 04 Mai 2007
Messages: 682
Localisation: Dans les villes en folie

MessagePosté le: Ven 28 Oct 2011, 6:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

message supprimé

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Dernière édition par Uchiha-sasuke-da le Mar 01 Nov 2011, 11:11 pm; édité 1 fois
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Chakal D. Bibi
~ Chakal Touffu ~


Inscrit le: 02 Nov 2004
Messages: 1937
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MessagePosté le: Mar 01 Nov 2011, 1:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
J'accusais le sort. Le sort me regardait avec aberration.


J'ai adoré celle-ci xD

Je l'ai aimé parmi d'autres, franchement mec, t'as vraiment un bon style. Bon faudrait p'tet justifier un peu le texte, trop de saut à la ligne, je trouve...Encore que, c'est p'tet aussi ça qui donne cette impression de ne pas pouvoir reprendre son souffle...Va savoir ^^

En tout cas, c'très très bon et j'attend de voir la suite Wink

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[quote="Speed Hunter"]Chakal lui c'est un héros de musicien ![/quote]
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fabest
Genin


Inscrit le: 07 Jan 2007
Messages: 447

MessagePosté le: Sam 28 Jan 2012, 8:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à tous pour vos remarques.

La suite est toujours en chantier. Aujourd'hui ce seront des indies textes.
3 pour être précis.


Spoil:
9h00 - Prendre mes médicaments.

Ma vie est inscrite sur ce tableau.
Chaque jour, chaque heure, chaque minutes. Tout est là, minutieusement chronométrés pour que chaque étape de ma journée m'aide à me sentir mieux.
Aucune trace de lumières dans l'appartement, j'en conclus que la matinée commence à peine et décide de commencer par le début.

J'ingère.

Nul place pour le doute, l'hésitation ou même la peur, je n'ai qu'à suivre le programme. Tracée au feutre indélébile bleu sur fond blanc.
La vérité se trouve ici. Ce qui est bon pour moi se trouve juste là. C'est ma notice, mon mode d'emploi.
Nul n'envisage le réconfort que peu apporter une organisation solide. Le monde entier est contraint de s'adapter continuellement.
Stress ambiant. Ulcère en gestation. Angoisse nocturne. Je ne peux que blâmer les gens de se laisser aller ainsi, dans leur désordre ambiant.
Et pourtant beaucoup semble s'y plaire.
On me parle de la grandeur de l'évolution humaine, mais je suis bien plus impressionné par sa faculté d'adaptation en milieu hostile.

Alors plutôt que de devoir vivre au rythme de mes pulsions cancérigènes, je préfère savoir où je marche, et je lis le tableau.
Je prends mes pilules.
Chaque flacons possèdent sa propre voix.
Grave, fluette, excentrique, mystérieuse, je m'attache à chacune d'elles. Ouvrant avec soin chaque boite de pandore m'ayant été prescrites par mes médecins.
Ce matin j'ai mal à la tête.

J'ingère.

9h05 - Prendre mon petit déjeuner.

Je vais prendre un peu de paracétamol, saupoudré d'Ibuprophène.
Il faut savoir se faire plaisir de temps en temps. Dehors, personne ne prends le temps d'essayer d'aller mieux.
A défaut d'y parvenir, chacun veut jouer à celui qui aura le plus mal. On compare ses tracas quotidien. Ses crises de famille. Ses dérives amoureuses.
Persuadés d'être le plus fort dans l'échec. Oui le monde nous broie, comme la douleur me broie le crâne. Personne ne dort jamais. Notre dernier sourire
remonte à la maternelle.
L'amitryptiline m'assèche la bouche, je me presse d'arranger ça avec un verre de Lexapro.
Action - réaction, le globe devrait en prendre de la graine. C'est son temps de la latence continuel qui le pousse à sa perte. Le nucléaire à bon dos.

9h15 - Douche et soins du corps

Je décide de commencer par mon visage. Mon crâne plus précisément.
Afin de nettoyer tout ce qui s'y cache j'utilise un concentré de Diclofénac.
Propre comme un sou neuf, je jette un œil au tableau. Et je suis en avance.
Mes activités journalières consistent principalement à dormir, manger, et suivre mon traitement. Afin de ne pas me laisser happer par une routine
assassine, je choisis volontairement de mettre un peu de piquant dans l'organisation.
Oui, même le premier de la classe aime se la jouer mauvais garçon de temps en temps.
Aussi je décide de sauter ma visite chez le médecin. Et de gagner du temps. Il me reste tout un tas de pilules qui ne demandent qu'à égailler ma journée.
Je trinque à ces dernières avec un verre d'Epitomax.
Puis je tombe.

9h20 - Dormir


Il est 14h55 et j'ouvre les yeux.
La bouche pâteuse dû à mes excès de la veille. Quelle soirée mes amis. J'ai la gueule de bois, un mal de cheveux à vous défriser un chauve !
Je prends un cachet d'aspirine pour me remettre les idées en place. Puis un deuxième.

J'ingère.

Je ne parviens pas à me souvenir quel jour de la semaine nous somme.
Lundi, ou peut être mardi. Surement Dimanche.

Aucunes trace de lumières dans l'appartement, j'en conclus que la matinée commence à peine et décide de commencer par le début.


Spoil:
On gagne parfois à adopter un rythme lent. A repousser de quelques minutes notre victoire.
Souvent, et comme la plupart d'entre nous, à la moindre opportunité je dépose le point final et lève les bras en signe de réussite. Une joie aseptisé, extériorisé qui n'a que pour unique fonction de nous faire prendre conscience, plus à nous même qu'aux autres, qu'on a réussi à le faire. Qu'on la fait. Juste avant.
Je pense à cet enthousiasme. Celui que l'on éprouve en franchissant la ligne d'arrivée. Regards derrière soit. Regards autour de soit. Un sourire vrai. Un sourire sincère. Puis le podium. Puis les vestiaires. Et le silence.
Je pense aux minutes qui suivent la fin d'un film. Celles qui commencent aux génériques et qui poursuivent leurs conversations une fois que l'écran n'affiche plus rien. Où les regards, que ce soit derrière ou autour, ne discernent plus rien.
Je pense à ce claquement de porte. Quand le souvenir d'une soirée se retrouve confronté à quatre murs. A un oreiller.
Je pense à ce "Je t'aime". A cet aveu. A ce don de soit. Qui se voit répondre par un adieu. Par une soit disant réalité. Par une réalité.
Ce petit moment, à nous, ce moment de joie, de bonheur, de délivrance, de promesse, puis ce moment de lassitude, de frustration, d'incompréhension et résignation.

On gagne parfois à ne pas gagner et à rester juste devant la ligne d'arrivée. Quand la victoire est encore juste devant nous et que l'on possède encore l'opportunité de l'obtenir. Ou au moins d'y croire.


Spoil:
Ah oui, l'amour.
L’amour désigne un sentiment d'affection envers un être, de sexe quelconque, qui vous pousse à rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l'objet de cet amour, tout en adoptant, en parallèle, un comportement particulier plus ou moins, et souvent moins, rationnel.
Je n'invente rien, c'est à quelques mots près la définition officielle.
L'amour est donc le fruit d'une pulsion. Une pulsion plus ou moins consciente qui tend à faire de la cible de cet amour, donc, un objectif chez le cobaye. D'après les termes officiels, pour conquérir "l'objet" de notre conquête, on formate notre comportement afin de maximiser nos chances de réussite. D'après les termes officieux, on triche jusqu'à adopter une personnalité plus à même de réussir à nous faire gagner un minimum d'attention chez notre proie.
Les plus septiques souligneront qu'une définition universelle de l'amour n'a jamais réussi à être établie. Les plus tatillons feront remarquer que ce fait condamne "l'amour" au rang de "croyance".
L'amour est universel. Tout les poètes vous le diront. L'ennuie c'est que d'une frontière à une autre les dogmes religieux, savants et culturels donneront au sujet un rôle et une explication différentes.
Soit.

Nicolas répondrait, non sans raison, que ces dernières lignes ont autant d'importance à ses yeux que les derniers spots publicitaires contre l'alcool que l’État s'évertue à commander.
Nicolas aime Amélie. Amélie aime Nicolas.
François aime Amélie et, du coup, n'aime pas Nicolas malgré le fait que ce soit Nicolas qui, un jour, à présenté Amélie à François.
Le couple s'en sort plutôt bien. Avec les honneurs même.
Fiançailles. Larmes. Mariages. Larmes. Enfant. Larmes.
Notre amoureux déchu, un peu moins.
Frustration. Larmes. Déclaration. Larmes. Déceptions. Larmes.

Amélie aime Nicolas et le remercie chaque jour du bonheur qu'il lui apporte. Nicolas remercie Amélie chaque soir du plaisir qu'elle lui apporte.
Ils s'aiment.
Donc Nicolas a été poussé à rechercher une proximité, ici, physique avec Amélie (l'objet de l'amour) et à, depuis lors, adopté une attitude précise dictée par les attentes du sujet A.
La réciproque est identique du sujet A au sujet N.
François, lui, à défaut, à dû se résoudre et se contenter d'une proximité spirituelle qui fut un échec cuisant. N'ayant pas peur de la formule.
Toujours d'après la définition officielle mais non universelle, rappelons le, il ne reste qu'à notre pauvre ami une approche et une relation "imaginaire". Définition officielle.
François aime Amélie.
Amélie aime François. Malgré le fait qu'elle aime Nicolas, puisque l'imaginaire de François en à décidé ainsi.
Donc ?
François sait qu'Amélie l'aime. Comment expliquer Nicolas ?
Nicolas le voleur ... Nicolas le marie violent ! Nicolas le ... menteur. Nicolas le mari infidèle ! (relation imaginaire)
Conclusion 1 : libérer le sujet A du sujet N.
Conclusion 2 : torturer, bruler, tuer le sujet N.

Décor et contexte : Une rue banale, dans une ville un peu trop calme et malheureusement pas assez vivante pour se passer d'un mort de plus. 23h, ballade en amoureux, lumière diffuse mais timide. Développement durable et économie d’énergie.
Personnages : Sujet A tenant amoureusement le sujet N par la main. Sujet F en imperméable gris, couteau gris dans la poche.
Péripéties : Sujet A ne trouvant plus son téléphone. Sujet N regardant sa montre. Sujet A ayant soif. Sujet F tuant avec 3 coups de couteau sujet N. Cris de sujet A. Panique de sujet F. Fuite de sujet F.
Plan serré, puis éloigné, flaque de sang de plus en plus dense, échos de pas du sujet F déjà loin.
Nicolas aime Amélie. Amélie voit mourir Nicolas.

Et malgré tout l'amour de cette histoire, malgré la définition, malgré la proximité physique, et malgré tout les sentiments d'Amélie, c'est un recul indéniable qu'elle aura devant cette flaque de sang gagnant de plus en plus de terrain entre elle et son mari.
Choc. Larmes. Tremblements. Larmes. Téléphone absent. Larmes. Secours injoignables. Larmes. Mort. Larmes. Larmes. Larmes.

L'arme du sujet F auront provoqué les larmes du sujet A devant l'âme du sujet N quittant ce monde.

Oui. L'amour.
L'amour c'est aussi un fleuve d'Asie qui s'étend depuis la source de l'Argoun, ce qui en fait le premier fleuve de Sibérie
Les compagnons de la déesse Aphrodite.
Un long métrage du cinéaste hongrois Karoly Makk, sorti en 1971.
Un mot en 5 lettres, trois voyelles, et deux consonnes.



Merci à vous.
A dans plusieurs mois.

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Uchiha-sasuke-da
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Localisation: Dans les villes en folie

MessagePosté le: Sam 28 Jan 2012, 8:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

FAB tu ressors du vieux là, le premier je me souviens l'avoir lu il y a plusieurs mois

Mais tu as bien fait de le mettre ici, je l'avais adoré! Et il est toujours aussi bon ... cette vie organisée autour du temps, organisée autour de ces habitudes qui restent toujours les mêmes (d'où le nom d'habitude)

Les 2 autres sont à la hauteur de la plume de Fab, toujours plaisant et effrayant de vérité, et de noirceur un peu ... La fin du texte sur l'amour est ... j'adore tout simplement comment tu mets le sentiment au tapis en rappelant que l'amour c'est d'autres choses, mais c'est aussi triste de se dire que l'amour peut être réduit à tout cela ... grandiose.

Et celui du milieu est magnifique.

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fabest
Genin


Inscrit le: 07 Jan 2007
Messages: 447

MessagePosté le: Lun 17 Mar 2014, 12:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour, bonjour mon amour, regarde ! ce soleil qui brille pour toi. Dehors c'est le soir. L'été, sa neige, son émoi ! Et c'est moi qui t’éveille, regarde, regarde moi !
Tu es froide, froide mon amour, s'ilteplait, réchauffe toi. Dehors c'est l'aube, et elle n'attend que toi. Alors bouge, lève toi ! Je t'incline mon amour, oh regarde toi !

Oh mon amour, je t'aime tu sais.

J'ai passé des heures à rompre le jeun. Gêné, je n'ai jamais avoué m'être agenouillé à tes pieds. Mais toi et moi on le sait. Je l'ai fait. Oh mon amour, regarde moi.
Moi, avec ma gueule enjoué, ingénu dans l'âme, mais qui n'a jamais su jouer.
Oh mon amour, je m’emmure dans notre amour.
Pourquoi nous être énervé ?
Quand tout se répare dans l'humour, pourquoi avoir continué à crier ?
Je veux te voir mère, tu sais ... Regarde toi ! Je suis moi même amère de te voir comme ça. S'ilteplait. Souris, laisse le charme opérer.
Bonsoir, bonsoir mon amour ! Comment ta journée s'est elle passée ?
Tu verrais ce soleil dehors ! comment s'en lasser ?
Allé ! oublions tout, laissons le passé au passé. Cesse tes lèvres bleues, assez de sang a coulé.
Mon amour, mon amour, je veux juste t'enlacer.
Bonne nuit mon amour, et essayons d'oublier.
Ah ! et j'ai vu ta mère tu sais. Elle semblait s'inquiéter. Même le soleil semble se méfier. Vois comme tu aimes me contrarier !
Ah mon amour ! ton indifférence va me tuer ! Mais cesse d'être froide ! ne vas tu pas arrêter ?
Essaierai tu donc de me défier ? La leçon de la dernière fois c'est déjà effacée ? pourtant ces marques que je vois devraient te la rappeler !

Ne comprends tu donc pas mon amour que tu ne pourras plus jamais gagner ?
Pourtant ... pourtant je t'aime tu sais.

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