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Zolvenstra
Aspirant genin


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MessagePosté le: Mar 09 Jan 2007, 10:13 pm    Sujet du message: Réflexions Répondre en citant

Des écrits philosophiques et des réfléxions de mon cru que je porte à votre attention. Ceci est une première partie, si cela plait, je posterai la suite.







Tout le monde souhaite accéder au bonheur éternel, désireux de ne ressentir uniquement les émotions a effet positif. Des émotions qui tendent à être appelées comme bonne pourtant ce bonheur est toujours compromis. Qui a jamais pu prétendre mourir sans ayant connu des souffrances et des tourments sans nom ? Bien que parfois en comparant certains individus, l’écart des problèmes semblent gargantuesque, il n’en est pas moins vrai que la douleur est une donnée proportionnelle et propre à chaque individu. Chacun a son lot de malheur, de problème et de soucis.
Si l’on extériorise, tout cela semble logique et s’imbriquer dans le grand cycle du cosmos. Celui-ci est fait de l’opposition entre :
- le jour et la nuit
- le bonheur et le malheur
- la vie et la mort
Avant tout, il semble nécessaire de préciser la notion de bonheur et de malheur : celle-ci n’est développé dans sa totalité uniquement dans la race humaine.
Le monde tourne entre ces polarités. A partir de là, on peut considérer que même si le bonheur est là, il sera bientôt renversé par son opposé comme inversement. D’un point de vue objectif, il y a polarité entre ce que l’on appelle le « bien » et le « mal » or c’est bien là qu’est tout le problème : chaque individu a sa propre définition de cette polarité aussi traiter objectivement le sujet n’est pas chose aisée.
Après réflexion, il semble nécessaire d’ajouter que la polarité dominante du bien et du mal ne peut s’accorder parfaitement avec toutes les autres.
Le jour représenterait la vie et la nuit, la mort ? Objectivement, c’est faux : il peut y avoir des naissances la nuit comme des morts le jour.

Appartenant à la race humaine, mon esprit est limité par leurs notions, leurs coutumes et leurs héritages. Avant tout, un humain recherche le sentiment de bonheur, de bien être. Cependant, comme dit précédemment ; cet état n’est jamais que temporaire. Subjectivement, je me sens forcé de dire que quoi qu’il arrive, le mal (dans le sens « malheur » et non l’idée incarné du diable et de l’enfer) domine toujours : en effet, le bien pour être « vainqueur » se doit d’être l’unique.

Si le bien est quelque peu entaché par le mal, celui-ci ne saurait être complet. Vous me direz que l’inverse peut exister mais à mon sens non : le mal, selon moi, n’existe pas à proprement parler. Il n’existe pas dans le sens où personne ne rêve de vivre dans le malheur : tous rêve d’une existence dans un état de bien-être.

J’espère que vous aurez compris le paradoxe que j’ai tenté d’expliquer sur la notion de bien et de mal. Cependant, d’où vient ce mal ? Il existe en deux points selon moi : dans la loi de la nature et dans l’Homme.

La loi de la nature est par elle-même perverse : les plus faibles meurent toujours, dévorés par plus grands qu’eux. Elle est naturellement inégale et mauvaise. Prenons l’exemple d’une famille de lapins, qui est nombreuse et unie, se faire dévorer par un loup affamé. Le loup aura goûté à un festin divin tandis que s’ils restent des survivants de cette famille, ils n’auront plus que leurs yeux pour pleurer et l’espoir de ne pas être mangé à leur tour. De mon point de vue humain, je peux ressentir le désespoir des survivants face à la perte de leur famille et le traumatisme dû à la rencontre avec l’animal. Je ne suis pas dans l’esprit du lapin survivant, il n’est pas aussi développé que celui d’un humain mais il me semble évident que cela lui causera beaucoup de mal.
Cette exemple s’adapte également à nous-mêmes, humains, qui sommes en haut de la chaîne alimentaire et qui, pour survivre, sommes forcé de détruire nombres d’existences. Etant doté d’un sens irrationnel, certains humains ne supportent pas cette chaîne alimentaire et se bornent à manger autre chose que des animaux : pourtant quoi qu’il arrive, on détruira toujours une forme de vie pour survivre.

Au delà de ce mal naturel, il y a le mal « humain ». En effet, l’humain est doté de raison et dispose d’un libre arbitre dans sa pensée : il n’est pas limité ou bridé directement, son esprit lui appartient cependant encore faut-il savoir l’utiliser. Beaucoup ne le savent pas.
Les humains ont inventé tellement de concept « contre-nature », je ne pense pas devoir les lister : on entrerait dans un hors sujet tant l’être humain est complexe.

Le mal de l’humain réside dans son libre arbitre : personne ne l’utilise à sa pleine mesure, il est toujours perverti en général. Tout cela on conduit à des abominations de mal qui ont provoqué beaucoup de souffrance.

Il y a deux « mal » humains selon moi : un mal temporelle propre à l’individu en lui-même avec ses problèmes et un mal intemporelle général à l’humanité avec des problèmes dit humanitaires ( guerre, famine, épidémie, dictature d’un individu sur les autres ).

L’origine de ce « mal » est encore inconnu ou du moins incertaine. Peut être est-elle dans la nature de l’homme ? Si c’est le cas, comment expliquer ce mal inévitable qui s’érige tel un mur de fer devant l’homme et son bonheur ? A ma connaissance, seuls les êtres humains sont à la recherche de la vérité sur l’origine de leur création, le pourquoi et le comment.

S’aventurer vers les débâcles humaines face à la recherche de la vérité me semble peu propice à apporter de réelles réponses. Avant tout, la question qu’il faut se poser, c’est : qu’est-ce que recherche réellement un individu ? La réponse naturelle serait de naître, de découvrir le monde puis d’apprendre à se protéger et à survivre pour ensuite trouver son opposé pour faire naître une descendance et que ce cycle se reproduise. C’est ce que font les animaux, on pourrait ajouter ceux-ci pour les humains, ils désirent également réaliser ce qu’ils ont appelé « rêve » : un objectif à réaliser avant de mourir qui est propre à chacun.

Je ne pense plus qu’à ce stade de la réflexion, il soit de bon augure de continuer à traiter des animaux : ceux-ci vivent selon leurs instincts et ne sont pas doués de raisons. La question primordiale reste l’homme qui lui se rend compte de l’atrocité de la chose. Cependant cette « atrocité » est à nouveau un concept humain (et partagé : qui ne s’est jamais rebellé intérieurement face à la cruauté de cette « loi » ?). Nous sommes myopes et aveugles face à la réalité source : nous ne connaissons ni l’état humain après la mort ni le but de notre création.

Je ne peux m’empêcher de penser malgré toutes mes réflexions que soit cela est soit une sinistre farce soit une prison (encore une notion humaine, cela signifierait que le créateur de cette prison dispose d’une raison proche de la notre) bien que toutes les conditions réunissent l’idée de prison :
- notre esprit source de notre vie (quand on meurt, le corps reste) me semble limité par mon corps qui m’inflige des pulsions (sexuelles) et des besoins (de survie, manger et boire). Dans les prisons humaines, j’assimilerai le corps à la cellule : propre à l’individu où il est seul avec ses pensées.
- Aucune entité supérieure incarnée ne nous est connue (ou du moins « prouvée » et affirmer comme maître du cosmos). En entité désincarné, l’espace-temps nous limite : celui-ci semble « pervers », il passe parfois trop lentement et parfois trop rapidement. L’être humain, à cause de lui, est condamné à mourir (le temps est responsable de la dégradation du corps) même s’il fait des naissances. Retour à la notion de bien et de mal du début où encore une fois, le mal domine le bien qui ne peut s’affirmer pleinement tant qu’une once de mal existera. Le temps, je l’assimile à notre geôlier : c’est lui qui nous garde et nous emprisonne.
- Enfin, le cosmos est la prison dans sa globalité. C’est le plan physique, celui qui nous rattache à notre corps.



Cette théorie me semble, humainement, parfaite : elle est l’une des seules certitudes dont je dispose. La question qui suit cette théorie est la suivante : comment exister dans cette prison ?
Ici, la réponse est multiple et je pense que la seule vraie réponse soit enfouie en nous et dans les sentiments. Il y a plusieurs réponses mais je vais en premier y apporter la mienne.

Les sentiments ne sont pas un propre de l’Homme cependant c’est chez lui qu’ils sont le plus développés du fait de l’existence d’une raison en celui-ci.

Les sentiments est ce qui nous fait vivre, c’est l’essence de la vie. C’est la seule certitude universelle. Et c’est dedans que la réponse se situe ; nous sommes dans une prison soit mais même dans cette prison, il y a possibilité de ressentir du bien. A partir de là, deux points de vue existent : ce bien n’existe que pour n’être que plus douloureux ensuite ou soit, c’est un moyen de transcender son existence.

Transcender son existence est le principe qui anime ma propre vie : les sentiments sont la clé de la première porte vers l’état de bonheur. Il faut savoir les réguler et les accepter pour mieux les dépasser. Comme ceux-ci sont personnels, il faut avant tout bien se connaître et c’est en cela que seul la connaissance de soi est la clé vers la perfection.

Ce sont les sentiments qui permettent de nous échapper. Quand vous êtes amoureux, en « transe » sur quelque chose (une musique, un livre, un film …), n’êtes vous pas dans un état qui fait que le temps ne compte plus ? Vous ne le voyez ni le sentez plus ? Bien sûr, il passe toujours mais pour moi, c’est un premier moyen de s’évader.

L’épanouissement personnel sur le plan physique est impossible : nos entités personnelles (l’esprit, le cerveau) sont sur un autre plan, le plan spirituelle. La relation qu’entretiennent les plans physiques et spirituels est très particulière chez nous : nous sommes irrémédiablement attachés au plan physique, ce que je considère personnellement comme un handicap de départ. A chacun de savoir tirer des profits de cet handicap, il faut savoir accepter le lien entre le corps et l’esprit, le développement de l’esprit dans notre dimension passe également par celui du corps. L’acceptation de ce corps est la première porte vers la libération.

Il est une chose dont je voudrais parler désormais, le sentiment le plus noble, le plus admirable et le plus beau : l’amour. C’est lui qui nous fait vivre, lui qui nous permet de tenir dans les moments dures. A l’image de la vie, ça peut être lui l’instituteur du mal, l’amour peut faire autant de bien que de mal à l’image de l’humain. Encore une fois, il y a beaucoup de théorie sur l’amour et sur les âmes sœurs ; avons-nous quelqu’un de « fait » pour nous ? Ca pourrait vouloir dire alors que notre destin est d’or et déjà tracé (au moins partiellement, même si celui-ci peut être fait de manière aléatoire). L’autre signification probable selon moi serait l’existence dans une vie ou dans une dimension antérieure de cet amour. Encore une fois, aucune certitude n’existe et bien que l’idée de me dire que mon destin de succombait au charme de ma femme, d’embrasser sous toutes les coutures son être et que, chaque jours, la flamme de l’amour se décuple à l’infinie. C’est cette union, même plus (les mots sont alors inexprimables pour exprimer ce sentiment de complète complicité, d’équation parfaite du bonheur et de libération de l’esprit en vue d’un état de transe ultime et partagé, ce partage décuplant de plus en plus la mesure de cette transe.) qui m’a donné la force de vouloir me libérer, d’apprendre et de devenir moi-même.

Cette force est à l’origine de la route que j’emprunte en compagnie de ma femme, c’est-elle (et elle seule) qui trace ma vie. L’amour, même si ce mot me semble un euphémisme pour exprimer l’infinité et la profondeur des liens qui relient ma femme à moi, a été un moyen pour me « libérer ».

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parpaing
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MessagePosté le: Mer 24 Jan 2007, 10:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai tout lu, ça m'a pris pas mal de temps et c'est un peu confus je trouve pour être honnête.
Le cheminement est pas toujours très explicite, car tu utilises parfois des notions qui ne sont pas évidentes (du moins dans le contexte utilisé).

Citation:
Si le bien est quelque peu entaché par le mal, celui-ci ne saurait être complet. Vous me direz que l’inverse peut exister mais à mon sens non : le mal, selon moi, n’existe pas à proprement parler. Il n’existe pas dans le sens où personne ne rêve de vivre dans le malheur : tous rêve d’une existence dans un état de bien-être.


Je voulais revenir sur ça notamment. Je pense en effet que personne ne souhaite vivre dans le malheur, toutefois, le malheur est inhérent au bonheur car sans malheur, on ne prendrait pas pleinement conscience de l'étendue de notre bonheur (logique). Cependant je pense également que les malheurs sont aussi ce qui donne du sens à notre vie. C'est à dire qu'une vie parfaite et idyllique serait d'un ennui mortel. Je prend l'exemple de mon séjour en auberge de jeunesse pendant plusieurs mois avec des collocs bien pénibles, au final, les moments que je retiens le plus, qui me font rire avec du recul etc, c'était les pires moments, les engueulades, les pétages de plomb...

Je pense qu'on a tous en nous une part de sado-masochisme, on aime avoir mal car cela nous rappelle aussi que l'on est vivant, et cela ajoute une part de drame à notre vie, ce qui la rend plus excitante, plus intéressante etc. Mais évidemment ce "degré de malheur" varie d'un individu à l'autre.

Sinon je suis plutôt d'accord avec ta définition de corps comme une prison. Il nous empêche en effet d'atteindre le nirvana, puisqu'il nous ramène toujours à des besoins purement matériels, mais le corps est également un outil pour atteindre une forme de transcendance à mon avis. Je pense notamment à l'acte sexuel (en tant qu'acte d'amour) qui peut amener à un état proche de la transe, au cours duquel on se dissocie presque de notre corps, comme s'il se mélangeait avec celui de la femme que l'on aime. On a l'impression de ne plus trop savoir où l'on commence et où l'on finit.

En somme je pense que le corps est à la fois un frein et un moyen d'expérimenter une certaine forme de transcendance.
C'était peut être pas super clair, mais bon j'aurais au moins essayé Wink
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Zolvenstra
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MessagePosté le: Jeu 01 Mar 2007, 4:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cher Parpaing, avant toute chose, je te remercierai d'avoir eu le courage de lire mon pavé qui est loin d'être clair comme tu le signales ; et au passage, désolé pour ce temps de réponse plutôt long ! Laughing


Je vais pas commencer en suivant l'ordre de ton texte avec le couple bonheur/malheur. Ce sont des rapports à l'apparence très complexes auxquels j'apparenterai le bien et le mal comme origine première.

J'ai essayé tout le long de mes réflexions d'en arriver à la conclusion que ces couples opposées étaient des illusions. Pour en revenir un peu au satanisme - mon idéologie - c'est surtout cela qu'est le satanisme : transcender les principes de bien et de mal pour y voir quelque chose de supérieur, la lumière interdite où réside Lucifer.

Je pense que ma phrase ci-dessus pourrait en éclairer plus d'un sur la consistance de la théologie satanique dans son vrai sens. En démontrant l'impossibilité de l'existence du mal dans ma réflexion, j'ai voulu avec des mots dépasser ces notions de bien et de mal. Au fond, pour la majorité d'humains, la Terre est régulée par ses principes bien que le mal résonne comme un éternel fantome inexistant attaché au bien. Le mal est le bien comme le bien est le mal, ce n'est qu'illusion ! La frontière, elle est construite par l'esprit prenant cela comme vérité et unique base.

Il est impératif de partir du principe de bien et de mal comme centre de notre réflexion pour ne pas nous égarer car c'est de là que découle tout le reste. Voir au dela du bien et du mal est extrêmement dur car ça se base contre tout les idées ressues comme étant vrai.

J'espère vous avoir assez éclairé et je vous demande, même si vous n'adhérez pas à mes idées, de suivre ma réfléxion et de constater l'inexistence de tout le reste : le bonheur et le malheur, encore une fois, sont des constructions mentales d'après des bases inexistantes.

Si vous me suivez parfaitement, vous verrez que la notion de bonheur et de malheur sont inexistants.

C'est un aperçu de ma théorie.

Après pour ce qui est du corps, j'y trouve plusieurs types de "plaisirs" liés à nos sens qui restent plutôt minime. Le plus conséquent est bien entendu l'acte sexuelle, qui permet une union entre les deux.

Je vois le corps comme un socle à notre âme mais qui n'est pas notre fruit. J'entends par là que notre âme à l'origine est "libre" et aussi agréable que soit certaines sensations (bonnes odeurs, saveurs etc.), je tends à y voir également le fruit d'une illusion. A mon sens, seul la voix ressort réellement de l'âme et c'est un des moyens qui nous extériose physiquement.

Comme tu le dis, le plaisir sexuel est grand et large mais j'aimerai revenir sur une de tes phrases.
Citation:
au cours duquel on se dissocie presque de notre corps, comme s'il se mélangeait avec celui de la femme que l'on aime


A nouveau, c'est un plaisir que je ne renierai pas mais à nouveau c'est peût-être incomplet et emprisonnant. Je dis cela avec une certaine nostalgie car oui à nouveau, je vois cela comme une illusion et je recherche désespéremment un moyen d'unir mon âme à celle de ma chère et tendre. Bien que l'intensité sexuelle avec elle soit libératrice et purificatrice, c'est l'un des moyens les plus élevés que j'ai de communié mon corps avec elle . Je rêve d'une union spirituelle entière avec un orgasme non bridé par les limites corporels.

Je suis d'accord avec toi, le corps est un frein mais également un moyen d'exercer une certaine forme de transcendance. A nouveau, je vois la dominance du frein et le fait que l'on soit retenu à cette condition sans pouvoir s'élèver plus à cause du corps. Peut être est-ce là encore une forme d'illusion destiné à nous cacher du vrai plaisir de l'union spirituelle.

J'ai envi de continuer la réflexion sur la modélisation des corps. Comme expliqué ci-dessus, je juge qu'avant tout la voix est l'un des moyens de communication qui ressort de l'âme. En effet, parler ne vient pas naturellement à l'Homme. En atteste l'expérience du gamin élevé par les loups qui seul avec eux ne communiquant sans la voix et le language ainsi n'a pas nécessité d'apprendre à communiquer avec eux.
Encore une fois si la voix est le reflet de l'âme, le language est une ombre imparfaite qui empêche l'expression parfaite de la pensée ou du sentiment.
Attention, la voix et le language sont deux choses extrêmement différentes.

Tout cela avait pour but d'ajouter que je vais maintenant porter une réflexion sur le physique. Sommes nous construit à l'image de notre âme ou d'une manière aléatoire? Je ne saurai dire car ce ne sont que des apparences qui se révèlent souvent trompeuses. A mon sens, les yeux peuvent être signe de la profondeur et de la personalité de l'âme. J'hésiterai à ajouter que l'on dispose chacun d'un odeur particulière propre à l'âme - Dieu que je ne me lasserai jamais de respirer l'odeur de ma femme. :p

Je continuerai bien une réflexion sur le physique en me basant sur l'amour dans son rapport physique mais ça ferait peut être un peu trop.

En n'espérant ne pas avoir était trop confus et plus claire, merci d'avoir pris le temps de me lire !

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