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Tsoing Aspirant genin

Inscrit le: 08 Fév 2008 Messages: 204 Localisation: Entre le ciel et la mer
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Posté le: Lun 17 Mar 2008, 11:13 pm Sujet du message: |
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Oh une petite fille ! (très très bon choix !^^)
C' mignon !
Attendrissant, chou et adorable !
(raaah vraiment Itachi aurait pu attendre un peu avant de démolir l'ambiance à coups de regrets-akatsuki-meurtres !)
Pour résumer, ce texte est .... heu .... comment déjà ...... "merveilleusement merveilleux" ! ^^ |
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Nellië Hatsuyuki Étudiant à l'académie

Inscrit le: 12 Mar 2008 Messages: 78 Localisation: Elsewhere.
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Posté le: Lun 17 Mar 2008, 11:20 pm Sujet du message: |
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Encore mieux *-*
J'imagine trop le petit bout de chou *_*
xD
Non, sans blague, c'est bien. Vraiment :') |
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Mikazuki Dramaturge des forums


Inscrit le: 17 Oct 2007 Messages: 1245
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Posté le: Mar 18 Mar 2008, 8:22 pm Sujet du message: |
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Oh la la, quatre commentaires en trois heures, c'est un record, là, non ?!
Bon, merci (bien sûr) à vous tous, et voici la scène 6 de l'acte III qui clôt celui-ci. La scène 1 de l'acte IV est très longue, aussi ne vous imaginez pas l'avoir demain soir... Sauf miracle !
Cette scène devrait vous plaire, il y a surtout un passage assez drôle sur la mégalomanie effrayante de Pein...
Scène 6
Personnages : Pein, Kisame
De retour dans la caverne de l’Akatsuki. Comme à son habitude, c’est Kisame qui pénètre le premier dans le repaire sombre et humide . Comme la dernière fois, Pein ne se montre pas, et ce n’est que son ombre qui est projetée. Il s’exprime en voix-off, plus glacial et cynique que jamais.
Pein : Alors, Kisame, rapporte moi dans le détail ce que tu as observé, c’est un ordre.
Kisame : Je n’ai pourtant rien vu qui puisse discréditer Itachi, Pein, contrairement à mes suppositions et aux vôtres. Il a faim de combats, de sueur, c’est bien notre Itachi habituel que j’ai retrouvé, contrarié à l’idée d’être depuis déjà dix mois allongé et oisif.
Pein, ignorant les propos : As-tu vu sa blessure ?
Kisame : Itachi n’est pas encore guéri, Pein, je l’ai vu de mes yeux. Sa blessure à la cheville est certes en cours de cicatrisation, mais la peau reste fort rouge. Preuve est faite qu’Itachi n’est pas là pour son plaisir.
Pein : Et la servante ? De quoi a-t-elle l’air ?
Kisame : Ah, celle-là ? Elle se nomme Shuu, et elle est encore moins haute en couleur que la première femme. Elle est petite, brune, ce n’est qu’une civile assouvie aux autres… Sa seule valeur, ce sont les soins.
Pein : Et cette Neko, justement ?
Kisame : Itachi m’a affirmé que la maladie l’a emporté récemment.
Pein : Comment ça ? C’est Itachi qui te l’a dit ?
Kisame : Oui, il m’a même montré sa sépulture.
Pein : Kisame, il n’y a rien de surnaturel à ce que la Neko n’ait pas souffert de la blessure d’Itachi, car bien entendu, ce n’est pas contagieux, tout le monde le sait. Par contre, qu’il me semble étrange que la civile, qui a probablement contracté une de ces maladies hivernales, grippe, infections et j’en passe, ne l’ait pas refilée à Itachi.
Kisame : Il y en a qui ne sont pas contagieuses.
Pein : Et qui s’est occupée d’elle ? Vraisemblablement l’assistante, celle qui s’appelle Shuu ? Et est-elle tombée malade ?
Kisame : Je vais me répéter, Pein, mais certaines maladies…
Pein, coupant : Si Neko y est passée, il y a selon moi de fortes chances que sa maladie ait été contagieuse.
Kisame : Mais…
Pein : Ne me contredis pas, Kisame, je suis prêt à parier que tout ceci était un coup monté d’Itachi pour rester bien au chaud dans sa chaumière du pays de la Foudre… De toute façon, nous allons savoir très bientôt si Itachi t’a menti.
Kisame : Zetsu est déjà sur place ?
Pein : Je ne peux pas t’en parler, Kisame. (Très calme) Je ne peux faire confiance qu’à moi-même, pour la simple et bonne raison que je suis le dirigeant de l’organisation, le nouveau dieu qui ramènera la paix dans ce monde déchiré par la guerre, je suis l’élu. Tout, autour de moi, est susceptible d’être corrompu par l’humaine nature. Mais moi, je ne le suis pas. Je me suis élevé au-dessus de ma condition initiale… Je suis devenu un sage. Quant à toi, Kisame, qui me prouve que tu n’as pas subi de traitement par Itachi ? Qui me prouve que soudainement, tu n’es pas passé, et ce malgré toi, dans le camp des traîtres, des êtres mauvais, prêts à tout pour faillir à ma tâche ?
Kisame, à part : Voyez le mégalomane. (Haut) Moi, un traître, Pein ? Alors que je suis depuis de longues années au sein de l’organisation Akatsuki ?
Pein, toujours aussi calme : Au même titre, qu’Itachi, Kisame, car tu me mens, j’en suis certain. Cependant, la peine que j’aurai prononcé sur toi en tant que dieu sera bien moins lourde que celle d’Itachi, car il s’agit d’un phénomène de manipulation. Vois comme je suis juste, Kisame. Me trouves-tu cruel, vraiment ? Si j’avais voulu te tuer, il y aurait longtemps que ce serait fait.
Kisame : Mais qu’est-ce qui peut, à vous aussi, vous affirmer qu’Itachi a menti ? J’ai vu la tombe de Neko. Elle était tout de même en mauvais état, mais c’est bien digne du personnage qu’elle était…
Pein : Je n’ai pas d’autre preuve que ma pensée, Kisame, bien qu’à mon échelle, ces preuves soient infinies. Je te l’ai dit, nous allons éprouver nos hypothèses. Toi, tu pensais que l’amour le toucherait, moi, la paresse. Nous allons vérifier lequel de nous deux avait raison, mais je ne peux te révéler par quel moyen, car la corruption de cette source d’information pourrait s’ensuivre. Il y a Zetsu, mais je ne peux t’en dire plus. Maintenant, retire-toi, c’est un ordre.
Kisame : Très bien, Pein, j’obéis. (Il se retire.)
Pein : L’organisation Akatsuki se compose seulement d’hommes que l’on a considérés comme criminels dans leurs pays respectifs. Avec moi, ils useront de leur violence pour construire un monde nouveau, dont je serai le dieu. Cette violence, puisqu’elle a été ordonnée par l’être que je serai devenu, sera justifiée, car elle touche au bien des masses populaires, et un dieu ne peut que se soucier du bien de ceux qu’il dirige, de ceux qui le vénèrent. Mon nouveau monde, car bâti à mon idée, sera parfait. Il sera un havre de paix. Mais il y a toujours des personnes qui s’opposeront aux décisions du dieu. Celles-ci, dont j’ai l’intime conviction qu’Itachi en fait partie car il veut éviter de se battre pour me servi, seront impitoyablement éliminées, ainsi que toutes celles qui les auront connues et qui l’auront auquel cas incité à adopter un autre point de vue sur la situation que le mien. En d’autres termes, Itachi, si Neko n’est pas morte et que tu as simulé d’être blessé et que sa « mort » est fausse, vous serez tués tous les deux ainsi que votre entourage. (Il disparaît.) |
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Poirepi Aspirant genin

Inscrit le: 06 Mar 2008 Messages: 238
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Posté le: Jeu 20 Mar 2008, 8:25 pm Sujet du message: |
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Désolé de mon manque de commentaires, mais voilà.
Alors franchement j'hallucine, j'aime, mais trop trop trop ta fiction ! Tu écris splendidement bien, excellent lexique, très peu de fautes et j'en passe !
J'aime beaucoup Kisame, j'espère qu'il ne sera pas puni, je veux que Pein crève moi. =)
Enfin bref, bonne continuation, vivement la suite ! |
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KYUUBI-SAMA Étudiant à l'académie

Inscrit le: 22 Déc 2007 Messages: 53 Localisation: En enfér avec Sarkozy entrain de jouer au Shoji
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Posté le: Jeu 20 Mar 2008, 8:42 pm Sujet du message: |
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j'ai pas trop aimé la dernière scène
Bref vivement la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee |
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Mikazuki Dramaturge des forums


Inscrit le: 17 Oct 2007 Messages: 1245
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Posté le: Ven 21 Mar 2008, 9:03 pm Sujet du message: |
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Ah, la dernière scène ne t'a pas plu, Kyuubi-sama ?
Ah, je suis déçu... Enfin bref, tu as laissé un commentaire, ça m'est (presque) égal. Merci à Poirepi, aussi.
Bon, voici la première scène du dernier acte !  Allez, ne soyez pas triste parce qu'il ne reste plus que... cinq scènes, en comptant celle-ci.
ACTE IV
Scène 1
Personnages : Sasuke, Suigetsu, Karin, Juugo
L’action se passe en forêt, à l’aurore.
Suigetsu : Un autre jour se lève… Rien n’arrête le cours du temps.
Sasuke : Le temps, selon moi, mon temps, est arrêté depuis que mon frère a massacré mon clan tout entier il y a huit ans de cela, et aussi à partir du moment où il m’a moi aussi laissé à demi-mort, en ayant usé sur moi du Tsukuyumi, un sort d’illusion absolument atroce. Il m’a fait revivre cette scène de massacre pendant un instant dans le temps humain, mais pendant trois jours selon celui qui subit ce sort. Pendant trois jours, j’ai vu la lame d’Itachi, je l’ai vu perforer le corps de mes parents, et mon frère, dans cette dimension apocalyptique, m’a fait contempler cette lame souillée. Pendant trois jours ! J’avais huit ans à l’époque, crois-tu que j’ai oublié des moments si horribles ? Non, c’est impossible, il est impossible d’oublier quelque chose de si affreux : mais ce que j’en retiens encore davantage, c’est mon frère. Il me demande si je veux son pouvoir… Ce pouvoir… Et me dit que si je veux l’obtenir, il me faudra pour cela tuer mon meilleur ami. Et quand je l’aurai, il me demande de venir à lui. Pour le tuer, à mon tour…
Karin : Et qu’as-tu fait ? Toi qui ne cherches plus qu’à le tuer, comme tu ne cesses de nous le répéter depuis le temps que nous sommes ensemble, tu l’as vraiment tué ?
Sasuke : J’ai été à deux doigts de le faire… Mon meilleur ami se nommait Naruto, et j’ai justement été à un rien de prendre sa vie avant de me dire, au dernier moment, que cela m’ennuyait d’obéir à une directive aussi absurde sur ordre de mon frère. Tout cela n’était qu’une fadaise, finalement, un simple procédé on ne peut plus ignoble pour me pousser à la haine, m’enfoncer encore un peu plus bas dans ce précipice aux parois tachées de sang. C’est au dernier moment que je l’ai compris. Et puis, Naruto était le seul ami que j’aie jamais eu. Avant le massacre, mon ami était Itachi, et après, je n’ai pas eu d’ami qui comprenne ma souffrance. Naruto était le premier. C’est lui qui était véritablement mon frère…
Karin : Pourtant, tu t’abaisses à son niveau en faisant cela. Lui, c’est ta famille qu’il a tuée, et toi, c’est ton frère que tu veux abattre. C’est un peu pareil, à mon idée.
Sasuke : Mais Karin, combien de frères compte une famille aussi nombreuse qu’était le clan Uchiha ? Qu’est-ce qu’un frère aussi insignifiant que lui, car il n’était moralement pas le mien, à côté de toutes ces mères, pères, tantes, oncles, et tout le reste ? Et même si je le tue, qu’est-ce cela me fera ? Aucun lien d’amour ne nous relie, il n’y a plus que des chaînes de haine entre nous. Et c’est Itachi qui les a voulues, ces chaînes ! Le sang que j’aurai fait couler était impur. Lui, ce sont des fontaines de sang pur qu’il a renversé. C’est ma vengeance ! Et j’ai le bon droit derrière moi, j’ai mes parents qui me regardent et qui me disent : « Vas-y, Sasuke, venge ton honneur et ta souffrance ! »
Juugo : Sasuke, tu nous parlais tout à l’heure que cela t’ennuyait d’obéir à ton frère… Mais pourtant… Le fait de le tuer, c’est aussi un de ses ordres, non ? Et puis lorsque tu évoques tes parents, ce n’est pas leur fils qu’ils te regarderont tuer ? Ne crois-tu pas que cela ne fait que grandir leur peine ?
Sasuke : Des bons parents s’émouvraient plutôt de la souffrance qu’Itachi m’a causée depuis toutes ces années que de la vie de ce fils indigne, de leur meurtrier. Ils m’encouragent, j’en suis sûr, Itachi n’est qu’un être dénué de quelconques sentiments ! Et puis, même si mes parents qui me regardent aiment Itachi malgré tout, qu’ils soient heureux, (cruel, cynique et glacial) je vais l’envoyer les rejoindre ! Ah, mais c'est vrai, un tel monstre ne peut aller qu'en enfer.
Suigetsu : Sasuke, cette fois-ci, c’est toi qui endosses le rôle du fils indigne. (Silence) Mais à la fin, que sais-tu d’Itachi ? Tu ne l’as pas revu depuis huit ans, sauf un jour dont tu m’as parlé il y a quelques temps déjà, et lui-même, avant la tuerie, ne se confiait jamais à toi…
Sasuke : Où veux-tu en venir, Suigetsu ?
Suigetsu : Au fait que tu ne connais rien de ses motivations, Sasuke. N’importe quel homme, en tant normal, ne commettrait jamais un tel crime. Je n’ai jamais entendu parler de personnes qui tuaient avec une telle précision, qui étaient si précisément dans le massacre. Il y a certes déjà eu des cas un peu partout dans le monde, mais Itachi est le premier que je connaisse pour aller si loin dans le patricide. Admettons que le clan Uchiha ait compté cent membres : Itachi serait le prototype de celui qui pense « Pas quatre-vingt-dix-neuf, cent » ? Il irait de si bon cœur dans le massacre ? Premièrement, Sasuke, un homme ne peut pas se défaire de ses sentiments, et Itachi a éprouvé, éprouve ou éprouvera des regrets. Secondement, il y a la malédiction du dernier membre. Nous avons eu le cas avec Kimimaro Kaguya il y a trois ans : il était le dernier membre du clan Kaguya encore en vie et la maladie l’a emporté. Si Itachi tenait vraiment à la vie, il n’aurait pas tué tant de monde. Il ne t’aurait pas demandé de le retrouver et de l’assassiner. Pourquoi ne t’a-t-il pas tué, toi aussi ? Il t’aimait peut-être, malgré tout. Et s’il t’aimait, sachant ce paramètre, il sait que tu mourras en prenant sa vie. Il aurait ainsi programmé l’extinction de tout son clan et de lui-même, c’est inimaginable. Combien y a-t-il de membres encore en vie, Sasuke ? Deux ?
Sasuke : Itachi, il y a huit ans, m’a parlé que si j’acquérissais une pupille comme la sienne, nous serions trois personnes sur Terre à jouir de ce pouvoir. [Il y a donc un troisième membre, il se nommerait Madara même si je ne sais par quel miracle il aurait survécu au poids des années.] Et Itachi parlait qu’ « il aurait bien fait de m’épargner » si j’y parvenais. Donc, ce troisième membre…
Suigetsu : A été volontairement épargné. A moins qu’il ait été forcé de l’épargner. Et c’est là où j’en viens : c’est peut-être celui-là même qui a commandité le massacre, et Itachi n’a été que l’exécutant. Si c’est le cas, alors il a un intérêt à ce que vous deux restez en vie. Itachi t’a révélé la clef de ce pouvoir, mais cette prétendue course à la haine était-elle vraiment la bonne réponse ? Tu n’en sais rien, car tu n’as jamais essayé. Et il t’a aussi demandé de le tuer : n’est-ce pas là la preuve qu’il avait pris contact avec lui, que ce « lui » voulait du pouvoir pour réaliser quelque projet infâme, et qu’Itachi aurait voulu faire capoter celui-ci. Parce qu’il est bon, tout simplement.
Sasuke : Tu dis n’importe quoi, Suigetsu. Si ton hypothèse était exacte, Itachi n’aurait pas pris la peine de faire usage de tant de violence sur moi.
Suigetsu : Parce que tu crois qu’il allait te demander bien gentiment de le tuer ? Il fallait quelque chose de suffisamment fort pour te pousser à obéir à son geste, c’est là l’utilisation du Tsukuyumi. Qu’est-ce qu’il allait faire de a vie, à ce moment-là ? Madara est venu le voir, il l’a menacé de mort… Sa vie était déjà finie à ce moment-là. S’il refusait, Madara allait le tuer et de toute façon, il choisirait une autre personne pour accomplir la même tâche que lui. Des guerriers d’élite, ce n’était pas ce qui devait manquer dans ton clan, non ? Et s’il acceptait, il serait le pire des assassins. Au niveau du résultat, c’est du pareil au même.
Sasuke : Mais tu racontes n’importe quoi, Suigetsu. Cela ne te ressemble pas. Itachi est justement ce qu’il est, un assassin. Je veux venger ses crimes, rien d’autre.
Suigetsu : Il n’empêche que tu devrais réfléchir plus sérieusement à ce que tu veux faire.
Sasuke : Et pourquoi donc ?
Suigetsu : Tu pourrais perdre un frère. (Silence. Les autres regardent Sasuke.)
Sasuke : De toute façon, qu’est-ce que cela peut vous faire, tous les trois ? C’est moi qui irai tuer mon frère, non ? Qui est-il, pour vous ? Personne ! Vous ne l’avez jamais vu. Alors, je le répète, qu’est-ce que cela peut vous faire ? (Il sort)
Suigetsu : Il ne me comprend pas, le pauvre. Ce n’est que devant le cadavre de son frère, devant les larmes qu’il versera, qu’il me comprendra enfin. Mais trop tard, malheureusement.
Dernière édition par Mikazuki le Lun 24 Mar 2008, 8:04 pm; édité 1 fois
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Suigetsu-san Civil

Inscrit le: 22 Aoû 2007 Messages: 36 Localisation: :-) Boulet.
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Posté le: Ven 21 Mar 2008, 9:30 pm Sujet du message: |
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Comme d'hab', c'est nickel.
J'attends la suite, avec un peu d'action je l'espere  _________________
" Amour ... Quel drôle de mot ... "
Fc Itachi ... Fc Kakashi |
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Poirepi Aspirant genin

Inscrit le: 06 Mar 2008 Messages: 238
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Posté le: Sam 22 Mar 2008, 8:21 pm Sujet du message: |
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Au risque de me répéter, j'adore ta fiction, et ton écriture et ton sens de la déduction me fascineront toujours..
Juste, une erreur que je dois te dire. Comment Suigetsu sait-il qu'il s'appelle Madara ? Enfin je veux dire, il parle d'un troisième membre en évoquant le nom de Madara, il n'est pas censé le connaitre, vu que même Sasuke ne le connait pas.
Bref, franchement je veux la suite, et même si tu arrêtes cette pièce, fais-en une autre sur-le-champ, parce que...parce que j'ai envi.  |
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Tsoing Aspirant genin

Inscrit le: 08 Fév 2008 Messages: 204 Localisation: Entre le ciel et la mer
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Posté le: Sam 22 Mar 2008, 8:40 pm Sujet du message: |
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Ohhhhhh la faute ! Enfin Poirepi l'a vu alors je ne vais pas en rajouter une couche. ^^
Bien mené ! Tu as résumé en une page plusieurs mois de débat.
Vraiment c'est bien !
Sasuke se rapproche .... se rapproche et se rapproche. Il va y avoir confrontation à la fin ? (curieuse curieuse !^^)
Vivement la suite ! |
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Mikazuki Dramaturge des forums


Inscrit le: 17 Oct 2007 Messages: 1245
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Posté le: Lun 24 Mar 2008, 8:02 pm Sujet du message: |
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Ah oui... Tout à fait... L'erreur ! Cela ne me ressemble pas, pourtant. C'est vrai, Suigetsu connaître le nom de Madara alors qu'il doutait de l'existence d'un troisième membre deux répliques plus tôt, ça fait tâche.
Je corrige. C'est ce qu'il y a écrit entre crochets.
Merci pour les commentaires !  |
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Poirepi Aspirant genin

Inscrit le: 06 Mar 2008 Messages: 238
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Posté le: Mar 25 Mar 2008, 10:00 pm Sujet du message: |
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Je sais pas si c'est hors-sujet d'en parler sur ce topic, mais je me demandais, ton domaine de prédilection, c'est plutôt les scènes ou les romans ?
Et, est-ce que tu écris depuis longtemps, t'as toujours été passionné etc.. ? |
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Mikazuki Dramaturge des forums


Inscrit le: 17 Oct 2007 Messages: 1245
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Posté le: Mer 02 Avr 2008, 4:58 pm Sujet du message: |
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Mon domaine de prédilection... Hmmm... Ce serait plutôt les scènes de théâtre (vois mon grade), mais cela dit, il y a pas mal de fanfics que je préfère écrire sous forme de romans.
Je n'ai pas toujours été passionné par l'écriture, loin de là... Il y a trois ans, j'étais en quatrième et d'une nullité affligeante en rédaction. L'année dernière, par contre, je me suis amélioré, et j'ai eu 17/20 à une rédaction que j'inclurai un des ces jours à une de mes fics (ça se sentira...).  Et c'est depuis novembre que j'écris des fanfics.  D'ailleurs, je ne fais jamais de brouillon pour mes fics...
Bon, cela dit...
Scène 2
Personnages : Itachi, Kisame
Le décor est le même qu’à la scène précédente. Itachi arrive après un moment de silence complet.
Itachi : J’ai tout entendu, Sasuke. (Il marche de long en large sur la scène pendant quelques instants) Mon message de haine, d’il y a huit ans, n’est que trop bien passé. (Silence) Tu es ma mort, Sasuke… Tu ne vis que pour cela. Que c’est triste qu’un humain ne vive que pour accomplir un tel crime. (Autre silence) Cependant, qu’il est dommage de voir que tu es si enfoncé dans celle-ci, au point de ne même plus écouter tes compagnons de fortune. Le plus regrettable est que ceux-ci ont raison, Sasuke… Je n’ai pas su mettre ma vie en jeu pour vous protéger, bien que le résultat, de toute façon, ait été le même… Un clan massacré. Mais qu’il est dommage que tu…
Kisame, en voix-off : Et bien, Itachi, tu parles tout seul ?
Itachi, se retournant vers Kisame qui arrive : Que fais-tu ici, Kisame ?
Kisame : Rien de grave, Itachi. Ne suis-je pas en droit de m’informer sur ton état de santé ? Et visiblement, Itachi, tu as l’air d’aller beaucoup mieux, cela va faire plaisir à Pein !
Itachi : C’est lui qui t’envoie, n’est-ce pas ?
Kisame : Pein ne donne presque jamais d’ordre sur la question de la fidélité d’un membre… Tout simplement parce que dans ces cas-là, il préfère s’assurer de celle-ci lui-même. Comprends-tu, il se considère comme le seul être incorruptible sur Terre.
Itachi : Oh, Kisame, ce n’est pas ton habitude de parler de Pein ainsi… Dois-je comprendre qu’il t’a accusé de dissimuler une éventuelle trahison de ma part ?
Kisame : Plus ou moins… Et toi, que fais-tu ici ?
Itachi : J’accompagnais Shuu, qui est partie en ville. Elle est allée se procurer quelques vêtements.
Kisame : Pour elle, ou pour toi ?
Itachi, après un silence d’exaspération : Pour elle.
Kisame : Très bien. (Silence) Je vais te faire une fleur, Itachi : je ne m’assurerai pas de la vvéritable coquetterie de l'autre fille, cette Shuu… Pein m’a tellement vexé que sur ce coup-là, je n’ai même pas envie de vérifier que tu ne mijotes pas quelque affaire derrière son dos et celui de Zetsu. En attendant, Itachi, puisque tu es sur pied, je te demande de me trouver demain, à l’aube, ici même.
Itachi : Demain, à l’aube ?
Kisame : Parfaitement. Pourquoi, cela t’ennuie ? Tu as quelque chose à cacher ? Tu es devenu trop lâche et fainéant au point de ne plus vouloir rejoindre nos rangs ?
Itachi, remonté : Un lâche, moi ? Tu oses m’insulter de lâche, après tous mes coups d’éclat au sein de l’organisation ? Je ne tolérerai jamais que l’on parle de moi ainsi. Alors c’est d’accord, Kisame, je serai ici demain à l’aube, au pied de cet arbre. Tu pourras alors juger du fait que je sois lâche ou pas. (Il se retire)
Kisame : Comme c’est étrange, Itachi, ce n’est pourtant pas ton habitude de perdre ton calme de la sorte. Cette fois c’est certain, il s’est vraiment passé quelque chose au cours de ton repos dans cette chaumière de Kaminari no kuni… (Silence) Mais tu ignores, Itachi, que Pein a trouvé une personne pour s’assurer de la justification d’un si long repos… Et si tu nous as menti, Itachi, si tu as fait quelque chose d'interdit pas nos lois, il t’en cuira… (Il éclate d’un rire cynique et sort.)
Dans la prochaine scène, l'intensité dramatique arrive à son sommet avec la scène qui donne son nom à la pièce... Entre Itachi et Neko, bien sûr...
Une pièce que je vais d'ailleurs rebaptiser selon la toute dernière scène... C'est pour ça que je ne peux pas vous en parler !  |
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LizzieWeir Aspirant genin

Inscrit le: 12 Jan 2008 Messages: 162 Localisation: In Tenebris =)
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Posté le: Mer 02 Avr 2008, 5:09 pm Sujet du message: |
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Génial !
Je suis carrément fan du style *___*
Impatient de voir cette scène, j'en pleure déjà l'avance c'est injuste ! |
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jirayalover Aspirant genin

Inscrit le: 08 Fév 2008 Messages: 158 Localisation: sources d'eau chaude
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Posté le: Mer 02 Avr 2008, 7:30 pm Sujet du message: |
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ca c'est du théatre comme on aimeraient plus en voir xD
vivement la suite _________________
le meilleur forum de bleach:
meilleur oeuvre littéraire de l'année:http://bleach-source.net/forum/publicite-pour-le-forum-t40.html
le paradis du batifolage |
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Mikazuki Dramaturge des forums


Inscrit le: 17 Oct 2007 Messages: 1245
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Posté le: Ven 04 Avr 2008, 7:23 pm Sujet du message: |
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Bon... Pour fêter mes vacances qui commencent ce soir, voici la scène 3 de l'acte IV, la scène de l'Adieu !
Au départ, c'était là que je comptais m'arrêter. J'avais dit à la fin, vous pleurerez tous !"...
On va bien voir votre réaction... En tout cas, je pense en faire frissonner quelques uns. Et merci pour les commentaires, au fait.
Scène 3
Personnages : Itachi, Neko
La scène se passe dans la maison de Neko. La nuit est tombée, on s’éclaire à la bougie. Itachi et Neko sont seuls, près d’un feu dans la cheminée. Ils sont installés dans une sorte de divan. On retrouve également un berceau dans un coin.
Neko : Seuls tous les deux dans une pièce, près du foyer de la cheminée… Je ne connais rien de plus agréable.
Itachi : Moi non plus, Neko.
Ils se prennent longuement par le bras.
Neko : Permettez-vous de me répéter ?
Itachi : Quoi donc ?
Neko, après un moment de réflexion : Vous avez bien changé, Itachi. Avant, vous étiez lointain et froid, peu enclin aux discussions intimes, et maintenant, vous me prenez spontanément par le bras…
Itachi : Oui, j’ai bien changé. C’est grâce aux bons soins, que tu m’as procurés tout le temps que j’étais ici. Mais j’ai peur que cela se remarque.
Neko : Vous voulez parler de votre organisation ?
Itachi : Oui… (Silence) Neko, j’ai revu Kisame au matin.
Neko : Votre compagnon ?
Itachi : Effectivement, Neko. (Autre silence. Itachi et Neko se regardent intensément) Il m’ordonne de me rendre demain matin à l’aube à l’endroit où je l’ai rencontré. Je vais devoir partir, Neko. Tu m’en vois affligé.
Le regard de Neko se détourne de celui d’Itachi. Elle regarde amintenant le sol.
Neko : Je m’y attendais. (Silence, au cours duquel elle regarde de nouveau Itachi) Ainsi, c’est notre dernier soir. Profitons-en, alors. Je préfère vous voir partir que mourir. Nous devrions nous endormir tous les deux, main dans la main, épaule contre épaule, devant ce feu qui brûle et qui brûlera encore, symbole d’un indéfectible amour. Je sais bien que vous êtes contraint à partir… Seul, vous n’auriez jamais pris cette décision.
Itachi : Je vois que je n’ai pas besoin de m’expliquer, Neko. (Il se blottit un temps contre Neko, puis se lève et marche vers le berceau) Ah, Mikoto, j’aurai tant aimé te voir grandir. Je suis ton père, et tu ne me retrouveras pas. Je prie pour que tu ne gardes pas à cause de mon départ de la haine pour moi. Je sais combien il est difficile d’être seul, car je me suis justement servi de cette solitude pour dresser mon frère contre moi… Je te souhaite de vivre une vie heureuse, Mikoto. Une vie plus heureuse que la mienne bien qu’un peu plus gaie, mais dans un espace de temps malheureusement trop éphémère, par ta naissance, une vie plus heureuse que ton enfance sans père. J’ai une autre faveur à te demander, Mikoto, et j’espère que si tu devais choisir entre celle-ci et ma demande de pardon, il faut que tu choisisses l’option que je vais te dicter. Ta mère te dira, sans doute plus tard, que tu portes le prénom de ta grand-mère paternelle. Je l’ai tuée. Avec ton grand-père. Pardonne-moi de ce crime horrible et infiniment crapuleux. Et je le regrette. J’étais forcé. Forcé. (Il baisse la tête un temps, puis la relève) Ainsi, ma mère se nommait Mikoto. Je ne m’en suis rendu compte que trop tard, mais elle était d’une gentillesse jamais égalée envers moi. Et ta propre mère est faite du même métal, quoique ce terme soit un peu trop dur. Ce sont deux fleurs multicolores dans un mois de mai. Ressemble-leur, Mikoto, sois digne d’elles, je t’en conjure. (Il se penche vers le berceau et embrasse l’enfant) Si tu ne dois retenir qu’une chose de moi, il faut que ce soit ce que je viens de te dire.
Itachi quitte le berceau, et revient maintenant près de Neko qui est à présent entrée dans le sommeil.
Itachi : Ah, Neko, le sommeil t’a fait perdre l’esprit. (Silence. Itachi s’asseoit maintenant devant Neko, de manière à pouvoir à chaque instant la regarder.) C’est mieux ainsi, Neko. (Il détourne la tête.) Je vais partir maintenant. Je ne me sens pas le courage, cette chose dont j’ai trop souvent manqué, de pouvoir vivre une nuit avec toi tout en sachant que c’est la dernière. Tu me trouveras lâche de te quitter alors que tu dors. Je le reconnais, c’est infâme. J’ai vu tant de jeunes filles, du temps où j’habitais encore Konoha, ma ville natale, pleurer à la disparition à l’aurore de l’amant d’une nuit. C’est triste, parce que tu verseras encore plus de larmes que celles-ci toutes réunies. Mais je veux t’éviter ces pleurs qui creuseront tes joues si parfaites et qui abîmeront ton si joli visage en me voyant m’éloigner à l’horizon avec la pensée que tu ne me verras plus. (Il se retourne vers Neko) Je suis sûr que tu comprendras ça, Neko, même si ton esprit sera dans un premier temps écartelé par la douleur, oh ! une douleur dont je te conjure de me pardonner. (Il se rapproche. Maintenant, Itachi va parler très lentement, et marquer un temps d’arrêt à chaque signe de ponctuation.) A présent, endors-toi, Neko. Endors toi, sombre dans ce sommeil si profond qu’ont les chats lorsque ceux-ci ronronnent paisiblement. Je voudrais que tu connaisses la même sérénité. Merci pour tout. J’ai vécu ici même les plus beaux mois de mon existence. Je ne peux que t’en remercier, et j’aurai voulu le faire part un autre moyen que celui de t’abandonner maintenant en pleine nuit. Moi aussi, je suis déchiré par l’injustice. De quel droit ces hommes qui n’ont jamais connu l’amour peuvent-ils décider de celui des autres ? Que c’est triste, infiniment triste. Tu t’es tant dévoué pour moi… Tu t’es tant efforcé de ramener mon esprit à la raison, de me faire quitter ce cercle criminel qui me reprend malgré moi… (Encore un long silence, Itachi garde le même rythme d’élocution.) Le savais-tu, Neko ? Les femmes aux hommes leur dernier espoir, leur dernier printemps, leur dernière fleur, leur dernière chance. Ce sont des étoiles qui illuminent le ciel d’un homme plongé dans l’obscurité. Mais je crois que tu le savais, Neko. C’était l’amour. (Itachi embrasse Neko.) Qu’est-ce ceci ? J’ai la gorge nouée. J’ai mal aux yeux. Je pleure ? Comment cela se fait-il ? Des larmes… (Itachi essuie son visage.) Cela ne m’était plus arrivé depuis si longtemps. Depuis le jour où Madara est venu me voir en m’ordonnant de tuer ma propre famille. C’est avec cela que j’ai débuté ma vie de bandit de grand chemin. Mais mon Dieu, ne troublons point ton sommeil avec le nom de ce scélérat qui ne mérite même pas d’être prononcé. (Il embrasse de nouveau Neko, très doucement et délicatement) Neko, mon amour ! Merci. (Il parle maintenant les larmes aux yeux.) Je t’aimais, Neko. Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai.
Itachi se lève et rajoute des braises dans le foyer de la cheminée : Puisse ce feu dont tu as évoqué le symbole à jamais brûler. (Il se retourne.) Adieu, Neko.
Itachi revient vers Neko, et l’embrasse une dernière fois, en déposant une autre larme sur son visage endormi, puis quitte la scène sans se retourner. A un moment, [au bruit d'une poterie qui se brise,] Neko entrouvre les yeux, essuie cette larme et se rendort.
Et je rappelle que contrairement aux apparences, il reste encore trois scènes !
Edit 23 avril : j'ai édité quelque chose en toute fin de scène. C'est ce que vous voyez entre crochets. Excusez-moi ! 
Dernière édition par Mikazuki le Mer 23 Avr 2008, 6:42 pm; édité 1 fois
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LizzieWeir Aspirant genin

Inscrit le: 12 Jan 2008 Messages: 162 Localisation: In Tenebris =)
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Posté le: Ven 04 Avr 2008, 7:33 pm Sujet du message: |
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o_O
Je suis tout simplement bluffée !
Totalement, je crois que c'est la meilleure scène, ou du moins ma préférée, je n'ai rien à redire, c'est magnifiquement beau et très poétique, ca force au respect et à l'admiration.
J'adore quand Itachi parle à sa fille, c'est vraiment...incroyable !
Je suis conquise ! |
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Poirepi Aspirant genin

Inscrit le: 06 Mar 2008 Messages: 238
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Posté le: Ven 04 Avr 2008, 9:38 pm Sujet du message: |
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Scène avec Kisame-Itachi -> Très bonne scène ! Kisame garde toujours son air acerbe, j'aime ça.
Dernière scène -> Tout simplement la plus belle que tu n'es jamais écrite. Franchement, j'adore ça, Itachi qui pleure, la tristesse. Le mieux, c'est quand il parle à sa fille, c'est fantastique. Heureusement qu'il y a d'autres scènes, parce que t'as pas le droit d'arrêter une fiction comme ça, c'est trop beau pour être vrai.
Bravo.  |
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jirayalover Aspirant genin

Inscrit le: 08 Fév 2008 Messages: 158 Localisation: sources d'eau chaude
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Posté le: Sam 05 Avr 2008, 1:58 am Sujet du message: |
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snif snif
non mais sérieusement si tu avais finit de cette facon personne ne pourrait t'en vouloir mais maintenant que tu dit qu'il reste trois scenes c'est encore mieux.
ps: desolé poirepi j'ai lu ton post après avoir ecxrit le mien donc n'y voit aucune référence a ce que tu as ecrit _________________
le meilleur forum de bleach:
meilleur oeuvre littéraire de l'année:http://bleach-source.net/forum/publicite-pour-le-forum-t40.html
le paradis du batifolage |
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Petite Lune Étudiant à l'académie

Inscrit le: 13 Fév 2008 Messages: 117 Localisation: Euh Ch'Nord
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Posté le: Lun 07 Avr 2008, 3:56 pm Sujet du message: |
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Je suis impardonnable car je n'ai pas laissé de commentaire sur cette fic -_-
Mais... je suis bluffée, cette fic est superbe. Moi qui ait énormément de mal à voir Itachi en couple... cette fic est une exception ^^
Bonne continuation pour la suite  |
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Tsoing Aspirant genin

Inscrit le: 08 Fév 2008 Messages: 204 Localisation: Entre le ciel et la mer
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Posté le: Sam 12 Avr 2008, 4:27 pm Sujet du message: |
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oooooooooooooooh !
Tu t'es surpassé Mikazuki. Vraiment magnifique.
Apnée durant toute la lecture : j'avais le souffle coupé.
Émouvant et merveilleux.
Itachi penché sur le berceau de sa fille puis pleurant sur son amour endormi .... o_O
Et puis la fin Francis Cabrel (l'une des dernières phrase m'a irrésistiblement faite penser à cette chanson) .
Contente que tu ne t'arrêtes pas sur cette scène. |
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