Il était une fois, la cédille vit le jour sous la plume d'un poivrot ivre mort.
Elle grandit, s'amouracha du C qui la pris sous son aile, la soumis en esclavage, pour surfer sur les lignes, doubler son identité sonore à des endroits inattendus.
Il est temps de réintégrer la cédille à son rang de lettre à part entière et de la délivrer du servage qu'elle subit. Immonde C, lettre sans cœur, cesse immédiatement tes agissements bas et vils envers la plus illustre des non lettres sans laquelle tes sons ne seraient pas aussi variés. Salaud!
Hasta la cedilla siempre!
Tristesse que son sort lié à un tyran, despote.
Cédille, je te dédicace ces lignes.
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"Tu vas te manger un coup de poing dans ta sale tronche de merde, tu vas rien comprendre à ta sale vie de merde" (JSP)
"et sa truffe raclait le sol, dessinant un pentagone régulier de manière admirable" (Yun)