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. ~La ligue SOS~[interdit aux ames sensibles]

 
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Cloudf
Chuunin


Inscrit le: 06 Mai 2008
Messages: 716
Localisation: Au fin fond de mon lit..

MessagePosté le: Mar 06 Mai 2008, 10:31 am    Sujet du message: ~La ligue SOS~[interdit aux ames sensibles] Répondre en citant

Etant tout nouveau sur le forum mais grand adapte du site pourtant, je me questionne sur la nature de mon premier message ici ! Heuuu..Et merde ! NOOOOOOOOOOOOOOOOON. Censurez pas mon titre
s'il vous plait! My God, qu'est-ce qu'il est désagréable ce Note. (Non mais en fait ce titre n'est pas vraiment une insulte...
xD... En fait c'est une insulte mais en fait j'aime bien mettre ça...
Alors, souvent on le censure, mais... *Fait les yeux doux* Onegai, ne le faites pas!)XD sa marche pô...
Bon alors voici mon premier message ! Une fanfic que je suis entrain d'écrire ! Dites moi votre avis s'il vous plait ! J'espère qu'elle vous plaira xD
-->& voici la first part !

First Part >> Le jour du dénouement !

Alors que le soir venait tout juste de tomber, la pluie faisait une courte apparition créant la symbiose entre l'eau et la terre. Ce spectacle si rêveur devait cacher un tour de passe passe, tel fut la question que devait se poser Kazuma, jeune garçon de dix-sept ans, ayant des yeux bleus perçants et un corps apprécié par la plupart du public féminin de son école. Or, cette soirée allait bouleversée toute sa courte vie, tel un missile projeté sur un pétale lâché en plein en vol. Le choc allait être d'une telle violence, que la pression serait à la limite du supportable. Comme la vie devait être injuste, est-que Dieu avait tout prévu le jour de la création ? Le sang et les morceaux de chairs déchiquetaient reposés sur la façade du mur de sa maison, recouvrant la teinture d'un liquide rougeatre et puant. Les jambes de sa mère se trouvaient couchées sur le rebord de la fenêtre qui donnait vue à l'extérieur, les autres morceaux devaient certainement se trouvaient un peu plus loin..En entrant dans la maison, Kasuma regardait, terrifié, une bête qui se trouvait devant lui. La bête était en train de dévorer ce qui restait de la cervelle de sa mère, reconnaissable aux traces fines de cheveux blonds. Le bruit des coulis de morceaux tombant au fond du palet du monstre, résonnait dans le plus profond trou de l'âme de Kazuma. Le monde venait de disparaitre sous ses yeux. La faiblesse est-elle un péché selon les lois de Dieu ? Cette demeure venait d'être victime d'une injustice ? Afin d'arreter de trembler, Kazuma se mordit la main gauche au sang, provoquant un arret temporaire de son système sanguin à ce niveau. Ne pouvant retirer son regard apeuré de la bête, Kazuma espérait à ce moment mourir, afin d'échapper à ce spectacle macabre. La bête vint alors à sentir son odeur. Arrachant le dernier morceau de la pauvre tête de la défunte, elle se dirigeait désormais vers sa prochaine victime. Apeuré, Kazuma s'effondra sur ses genoux fébriles, mettant son crâne entre ses bras, comme pour se protéger. La bête fit deux cercles autour de kazuma, du au fait qu'elle était en réalité aveugle, et utilisait principalement ses sens tels que le toucher, l'ouïe le goût. La bête était recouvert d'un voile léger noir, de fait que l'on ne pouvait décrire son apparence. Posant ce qui devait être son museau sur la partie inférieur du cou de kazuma, un long couloir de fumée sortit de sa bouche, agrémenté d'un fil de chair venant de son dernier festin. Comme si le destin venait de sourire, des pas se firent entendre de derrière. Les pas se rapprochaient de plus en plus, comme le son de la faux de Mademoiselle La Mort approchant avec sa barque le jour crucial. La bête se retourna si vite que kazuma ne put le remarqué. Un bruit glacial de sifflement retentissaient dans la maison, suivis par des cris de douleur venus d'une autre dimension. Projetée à l'autre bout de la pièce, la bête se vit arracher sa patte droite. Se tenant sur ses deux pattes inférieures, elle poussa un terrible effroi qui brisa les dernières vitres qui avaient résistées. Prit d'un peu de courage,Kasuma releva la tête et aperçut son père, un
pistolet de gros calibre, avec fixé au bout un engin de type lance
roquette, à la main[b]. Pointant l'arme en direction de la bête démoniaque, le père de kazuma s'amusait à faire ricocher les balles de son arme sur les organes du monstre, éclatant de fait les points vitaux de la bête ! Faisant glissait son pouce vers le bas, il appuya alors sur un bouton de couleur blanc, dégainant à la tête du revolver un lancer de ce que l'on pourrait appeler un missile de petite taille. Le missile arriva à destination fixe, et fit exploser la bête de tout son être ! Le corps puant de ce monstre se solidifié par un procédé chimique, sans doute dû au mélange du soufre des balles et de la composition du sang de la bête.


Le corps fétide de la bête s'évaporait par un éclat de bruits aussi répugnant les uns que les autres. Essayant malgré tout de se tenir sur ses deux jambes, Kazuma apeurait son père, en sanglots, avec difficulté. "Pourquoi ? Qu'est-ce que cela, Maman..?" Le regard de mon père venait de changer à l'instant même où la bête mourut. Me regardant tel un objet de foire, il pointant son arme vers moi, m'interdisant de faire le moindre pas vers lui ! Le souffre des balles sentait encore et le goût de l'horreur était encore gravé au plus profond de mon palet. Un bruit assourdissant retentit, créant un écho frappeur ! Une balle venait de se blottir au niveau de mon mollet gauche. "Pourquoi ? Veut-il me tuer ?" A l'agonie, criant, le suppliant de m'épargner, je ne comprenais pourquoi il essayé de me finir de cette façon.
-"Hais moi tant que tu le peux encore fils ! La honte de notre famille se répandra au travers des millénaires à venir. Augmente ta force et devient plus fort, hais moi ! Hais moi ! Hais moiii !!"
-"Pourquoi ? Pourquoi père ? Et c'était quoi ce monstre, et maman dans tout ça, elle est morte sous mes yeux ! Répond moi !"
-"Tout cela n'était que l'action d'un yyur, une bête venu tout droit des profondeurs de la Terre, attirée par la mort elle même, ils recherchent la faim et l'affrontement."
-"Et toi ? Comment se fait-il que tu sais te battre ? Comment un petit menuisier peut-il faire cela ? Père..Répond moi je te prie !"
-"Hais moi. Deviens fort et rejoins nous ! La ligue SOS t'attends avec impatience, or cela n'était qu'une épreuve purgatrice pour toi. La haine doit devenir ton nouveau coeur, la violence doit devenir ton âme et la force doit devenir tes membres, fils !"
-"..! Pèreeee !!"

A ce moment là, j'étais persuadé que cela ne pouvait être qu'un simple cauchemar, et que dans quelques instants, la faim viendrait me sortir de ceci. Etais-ce vraiment un cauchemar ?

-->Fin de la first part !

Second Part :

Quatre ans plus tard >
Le temps n'avait toujours pas apaisé le remord de ce drame qui s'était déroulé dans le cœur de Kazuma. Après un exil au fin fond d'un Tibet prisonnier de la Chine, Kazuma avait subi un rude entrainement physique et mental par les plus grands maitres d'arts martiaux se trouvant dans la région de Kyô de ce recoin du monde. Notre Kazuma avait prit de l'assurance et la haine était devenue comme un point positif dans son âme. La mort de son père était devenu comme le seul lien le rattachant à la vie. Le temple où se trouvait Kazuma était d'une splendeur incontestable, des ponts faisant plusieurs mètres de hauteur, décorés par des peintures, ainsi que la verdure et les fontaines regorgeantes au travers de sentiers, faisait de ce lieu l'une des sept merveilles du Monde ! Une ville s'était construite à cet endroit, par des moines boudhistes, il y a de cela presque 1000 ans. Devenu désormais un lieu de pélerinage, Kazuma en avait fait sa nouvelle demeure. A cause de son passé, il n'arrivait pas à s'intégrer aux autres résidants, ne pensant qu'à devenir plus fort, il rêvait de tuer la ligue SoS, ne sachant précisément leur but. Apres de longue recherche auprès des moines, il avait appris différentes informations sur la ligue. Cette ligue était composée de cent membres classés selon leur potentiel. A vrai dire, cette organisation était un mystère immense dans ce monde. Certains disaient que les yyurs prenaient vie dans leurs laboratoires, et chercher à régner en imposant le chaos. Etais-ce leur but ? Un jeune du village avait informé le chef du village caché de la région de kyô la veille, de l'arrivée de cinq membres de la ligue SoS. Kazuma ne le savait toujours pas mais avait ressenti un élan de stupeur et de peur dans le village..il avait en fait tout perçu ! Prêt à se battre, il allait commençait son rêve dès aujourd'hui ! Prit d'un fou rire démoniaque, Kazuma ne voyait là qu'une partie de jeu en plein air. Qui étaient vraiment ces cinq hommes ?

Les cinq hommes arrivèrent au temple en fin de journée. Vêtus de capuchons et de vestes noir avec des éclairs jaunes dessus. Ils paraissaient plutôt normaux au vu des rumeurs qui avaient circulés durant toute l'après-midi. Le temple était un lieu Saint et de ce fait tous le monde pouvait y pénétrer sans aucune difficulté. La beauté du soir brillait de mille feu, la brise effleurait les rizières en terrasse comme une vague ridant les eaux, des lotus dressaient leurs énormes feuilles d'un vert de jade et des fleurs sauvages s'épanouissaient autour des champs dans une orgie de couleurs. Sous les derniers rayons du soleil, les murs blancs de la ville se teintèrent de rose et d'or. Cet endroit donnait une impression de bonheur, et le silence qui y régnait apaisé les consciences. Devant l'enceinte des grandes portes, les cinq hommes stoppèrent net leur progression et l'un d'eux sortit un parchemin de sa sacoche. Kazuma était posté dans les hauteurs sur une tour, afin d'observer ses adversaires et de récupérer le maximum d'informations possibles au sujet de la Ligue. L'homme qui avait sortit le parchemin s'asseyait sur le sol humide par la brise du soir, et juxtaposa les paumes de ses mains. Puis prononçai une formule :
-"Tirusami-Katon..Que le sceau déposait en ta faveur protège et condamne ce lieu."
Une brume sombre s'affaissa alors sur l'ensemble de la ville, empêchant toute tentative d'évasion.
-"Il crée leur propre toile désormais..AaahH Quels bandes de ringos ! Je vais en finir le plus vite possible", Murmura Kazuma.
Un moine arriva alors sur les lieux avec dans les mains un panier de lotus et de lait, symbole de prospérité de la ville.
-"Veuillez acceptez cette offrande comme une marque de bienvenu chers étrangers. Que cherchez vous dans un lieu si reculé ?"Lança le moine
-"Tais toi et va chercher ton chef au plus vite ! Nous avons à lui parler." S'écria l'un des hommes.
-"Etes vous de la Ligue ? Est ce la raison de votre présence ?" Dit le moine
-"Tu parles trop Moine ! Tu risque d'y laisser ta tête à force."
Bondissant comme un fauve, Kazuma atterris devant les cinq hommes et fit reculait le moine afin de le mettre hors-danger.
-"Qui es tu toi ?.."
-"Attends, ce n'est pas celui que l'on cherche ?"
-HeinnN..Mais..comment se fait-il qu'il soit ici ? Selon nos sources, il devait se trouver en Europe de l'Ouest."
-"Il faut croire que Dieu est avec nous aujourd'hui et que notre travail risque d'être plus court que prévu mes amis..AaahH"
Kazuma s'élança vers l'homme se trouvant le plus en face de lui avec une rapidité hors norme, et sortit en même temps un kunai qui trancha la gorge du malheureux. Le sang giclait sur le torse du blessé abondément. L'un des hommes essaya alors de stopper l'hémoragie. Posant ses mains au niveau de la blessure, il ne pouvait que constater la gravité de la situation. D'où lui venait une telle force ? Kazuma dégaina un sabre de son dos, qui trancha le bras droit de celui ci. L'homme essayait d'étancher le sang jaillissant du moignon de son bras, sans articuler un mot ni pousser un gémissement.Les autres restaient là, tremblant devant un tel massacre, incapable de bouger.
-"Que me voulait vous ? Et quel est le but de la Ligue ?" Cria Kazuma
Aucun mots ne sortis des bouches des hommes de la Ligue. Comme pour respecter un serment, ils préféraient mourir à la place d'avouer.
-"Arrete Kazuma !!"..
Une voix profonde et grave s'interposa entre Kazuma et les assaillants. Quelle était cette voix ?

L'interposant n'était autre que Kenshi, un moine qui était d'une certaine manière supérieur hiérarchiquement, et de ce fait contrôlait la ville Sainte. doté de grandes capacités d'analyses et d'un savoir sans limite, Kenshi était un adversaire redoutable et le maitre de Kazuma. Sévère mais juste, Kenshi savait dosé l'effort et n'avait aucun mal à faire respecter l'ordre au sein de la ville. Sa silhouette réfléchissait les derniers rayons de lumière encore présent, et la force qu'il dégageait paralysa tous ceux qui se trouvait autour de lui, même notre Kazuma.
-"Tu as encore perdu ton contrôle et tu t'es laissé envahir par la haine envers la Ligue. Quel est ta défense à ceci Kazuma ?" Rétorqua Kenshi
-"Aucune. Je n'ai aucun ordre à recevoir d'un vieillard tel que toi, je ferais bien mieux de tous vous achever maintenant et de me libérer de tes chaines."Ajouta Kazuma
L'ambiance qui imprégnait le lieu était tendu et à la fois mortuaire. Les deux hommes de la Ligue blessé gravement par Kazuma, l'un au bras, l'autre à la gorge, n'avait pas réussit à tenir le coup, et rejoignirent les Enfers. Entre Kazuma et Kenshi, le calme n'était toujours pas revenu. En réalité ces deux la ne s'aimaient guère mais se servait d'une certaine manière de l'autre, Kazuma pour devenir plus puissant et Kenshi pour tester un nouveau pouvoir.
-"Ne soit pas si arrogant envers tes ainés.."Dit Kenshi
La gravité s'empare du poids du corps et trace une parabole d'une certaine manière. Cette parabole se projette avec une force et un angle fixés selon une trajectoire constante et définie. Un corps homogène retombera donc toujours au même endroit. Mais Kenshi savait faire dévier le poids de son corps, utilisant la force de son propre centre de gravité sans le déplacer pour forcer la rétractation de son corps. Ainsi, avec cette technique, Kenshi pouvait aller à une vitesse imperceptible à nos yeux, et tuait ses opposants en une fraction de seconde.
Grâce à cette technique, Kenshi se propulsa derrière Kazuma sans que celui ci ne puisse bouger, et des gestes rapides des doigts, tapa la nuque de celui ci, lui faisant perdre connaissance.
-"Jusqu'à l'autre jour, je pensais que tout venait de mes poings. Je les envoyer toujours cogner pour briller en paraissant plus fort que les autres. Mais..je me suis trompé. La lumière s'est éteinte pour moi ce jour, seule la vanité est restée. Elle finira par disparaitre dans les ténèbres, sans cela je ne pourrais devenir suffisamment fort pour vaincre mon père. J'ai toujours cherché où se cachait la vraie lumière. Je l'ai toujours traqué..pour qu'elle ne disparaisse pas sous mes yeux. Je ne la perdrais plus ! Parce que qu'un jour je le vaincrais car j'ai trouvé ma voie.."Lança Kazuma tombant par terre avant de s'évanouir.
Couché sur le sol, il ne restait qu'un jeune garçon endormi et sans défense pour ses assaillants. Le moment opportun allait-il sonner la fin de notre héros ?
-"Fuyez maintenant ! Partez si vous tenez à vos vies et ne revenez plus jamais. Je serais sans pitié à notre prochaine rencontre" Lança Kenshi à la Ligue.
Prenant leurs jambes à leur cou, les trois hommes encore en vie partirent en détalant à toute vitesse, fuyant une mort irréductable.

Kazuma était allongé sur un lit disposé dans la salle d'audience de Kenshi. Après avoir dormi plusieurs heures,
Kazuma se réveilla, surpris de la situation, il ne savait plus trop ce qu'il
faisait là. Kenshi s'approcha de lui discrètement et lui dit à l'oreille :

-"Bon retour parmi les vivants Kazuma-San.
Je suis heureux de te savoir en bonne
santé."

Kazuma se leva en réponse à ces mots, près à en découdre avec celui qui l'avait vaincu. La
haine envers la Ligue s'était estompée depuis sa dernière défaite. Kazuma
avait compris que s'il voulait vraiment battre cette organisation, il faudrait
avant tout suivre sa propre voie, celle du bien et non du mal.

-"Kenshi. Il faut que tu m'aides à acquérir plus de pouvoir maintenant. Je
quitterai la ville dès que je pourrais vaincre la Ligue." Répondit Kazuma
-"Bien. Ce sont les mots que je voulais entendre de ta part. Suit moi." Répliqua
Kenshi

Kenshi emmena Kazuma dans un endroit restreint dans la plus haute tour de la ville. Après avoir monté plus de trois cent marches, ils arrivèrent devant une porte banale mais où il n'y avait aucune serrure. Seul Kenshi et les autres membres influents de la ville devaient connaitre ce lieu. Kenshi prononça alors une formule qui par miracle fit ouvrir la porte. Etais-ce un enchantement ? Ou tout simplement un tour de magie ? Pénétrant dans la pièce qui se trouvait derrière la porte, Kazuma fut surpris de sa grandeur. Le plafond atteignait des hauteurs jamais vu auparavant, on ne voyait qu'une fine partie de la fin. Les décors
somptueux faisaient apparaitre un endroit de rêve. Au bout de la pièce se
trouvait une fine éclaircit de lumière. Pourtant aucune sortie débouchant vers l'extérieur ne se situait à cet endroit précis. Kazuma fut si surpris en voyant ce qui se tramait par delà la lumière, qu'il n'arrivait plus à bouger. Devant lui se trouvait un lieu où toutes les imaginations des hommes se
rassemblent et ne forment qu'une et une seule entité magique. L'Edil Garden.
Les journées étaient encore brûlantes, baignées[b] dans la chaleur langoureuse de l'été qu'on a envie à la fois de fuir et de retenir, sachant que cette ardeur cruelle sera la plus dure à supporter mais aussi la dernière de l'année. Cela faisait un mois maintenant que Kazuma se trouvait dans l'Edil Garden en compagnie de Kenshi. Les fleurs de l'été se flétrissaient. La pleine lune allait et venait dans le ciel ardant de la saison. L'entrainement de Kazuma avait aboutit à un résultat inimaginable pour les simples aspirants d'une vie normale. Aujourd'hui, Kazuma se trouvait à faire face à un exercice de précision. Des mannequins étaient disposés autour de lui à une distance de plusieurs mètres. Six. Six mannequins au total faisaient face à Kazuma. En plus d'être un exercice de précision, afin d'affutée cela, Kenshi avait bandé les yeux de Kazuma. Celui sortit
alors cinq lames de son dos. Il les posa délicatement dans sa paume de sa main gauche puis lança lame après lame avec sa main droite vers les cibles. Touchant parfaitement les cibles prédisposées par Kenshi, Kazuma arriva à un enchainement complexe. Il ne lui restait qu'une lame pour deux mannequins. Posant la lame sous son pied, Kazuma utilisa sa grande force et tordit légèrement la pointe de celle ci. Comme pour faire l'effet d'un boomerang, Kazuma lança avec de l'effet la lame qui toucha les deux cibles restantes.

-"ClapClapClaP ! Félicitation Kazuma.
L'initiative de ton dernier coup était parfaite. Mais à partir de maintenant tout va changer." Dit Kenshi
-"Changer ? Comment ça ? L'entrainement
est achevé n'est-ce pas ?"
-"Au contraire il ne fait que commencer !
Connais-tu le flux de ton énergie spirituelle ? En prenant en compte celle ci tu peux vaincre n'importe quel adversaire."
-"De l'énergie ? Je ne comprends guère ce que tu veux me dire Kenshi !! Explique-toi !"
-"Désormais nous allons nous attarder sur ton énergie. Sans cela tu ne pourras battre la Ligue."

Fin de la second PART !

Troisième Part :

Après de long mois d'entrainement avec Kenshi, Kazuma était devenu un être puissant. Kazuma avait désormais du charisme, un certain charme naturel. Malgré tout, une certaine mégalomanie lui était parvenu au cerveau. La puissance lui avait monté à la tête et la vengeance d'autrefois avait refais surface. Kenshi devait certainement l'avoir perçu, et la crainte d'un affrontement devenait de plus en plus réel. Ce matin là, une très belle journée de printemps s'offrait à Kazuma. Il observait les fleurs, les tiges se balançant face à une légère brise moite. Respirant le bonheur de vivre, respirait le Soleil qui l’illuminait, "AaH", quelle splendeur triste. Il se sentait mélancolique, dans cet univers de bonheur, effaçant ses souvenirs de regrets. Il marchait silencieusement, à travers les multiples coquelicots. Des buissons parcouraient un petit sentier, se dessinant en légères courbes. Une nature brute, sans construction humaine, que de la verdure. Kenshi se trouvait en face du sentier qu'avait emprunté Kazuma. Les deux hommes se retrouvèrent face à face.

-"Bonjour ! Comment vas tu ce matin Kazuma ?", lança Kenshi

-"Pas besoin de te forcer vieux sénile ! Aujourd'hui est le jour de mon départ tu sais. Et de ce fait je devais t'offrir un présent pour te remercier.",dit Kazuma

-"..Pourquoi ? La haine que tu éprouves vis à vis des autres ne t'as jamais quitté n'est ce pas ?",répliqua Kenshi

-"Je vis pour tuer Kenshi ! Et mon cadeau d'adieu est la mort, NiarkNiarkNiark ! Te tuer ! Oui, te tuer ! Voilà ton cadeau."

------------------------------------------------------
La suite plus tarD

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Dernière édition par Cloudf le Jeu 26 Juin 2008, 9:08 pm; édité 15 fois
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Mat
Jûbi


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MessagePosté le: Mar 06 Mai 2008, 8:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Déjà tu peux modifier la couleur de ton post ? La couleur c'est pour les modos , les admins... donc tu peux faire la retouche stp ?

Mat.
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Cloudf
Chuunin


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MessagePosté le: Mer 07 Mai 2008, 7:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oki pas de problème ! Et que penses tu de l'histoire ?

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naoko
Jounin


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MessagePosté le: Mer 07 Mai 2008, 9:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

Clouf, ton histoire est...comment dire. Un peu embrouillé pour moi, je e comprend pas toute tes métaphores, toutes tes description,

-"elle se dirigait désormais vers son plus simple appareil" simple appareil veut dire, vêtement léger, la bête se dirige vers sopn vêtement léger ou vers le garçon?

-"Les pas se rapprochaient de plus en plus, comme le son de la faux de Mademoiselle La Mort approchant avec sa barque le jour crucial" très jolie phrase, mais pas cohérente.

-"Prit de courage peu farouche.."

Je t'es mis que quelques exemple, mais ton texte est truffé de non sens. Ne le prend pas mal surtout, mais franchement sa donne du mal a comprendre et lire le texte.
( un mélange de plusieurs mangas et infos?)

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Mat
Jûbi


Inscrit le: 13 Fév 2008
Messages: 5451

MessagePosté le: Mer 07 Mai 2008, 9:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour le changement de couleur.

Pareil qu'Orca je trouve que c'est un peu embrouillé et je ne comprends pas toutes les métaphores que tu fais.

Et tu pourrais aérer un peu ton texte en sautant des lignes ? Ca le rendrait plus "appétissant".

Sinon, tu ne crois pas qu'il aurait plus sa place en section littérature ?

Mat.
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Cloudf
Chuunin


Inscrit le: 06 Mai 2008
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MessagePosté le: Mer 28 Mai 2008, 2:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

naoko a écrit:

( un mélange de plusieurs mangas et infos?)


Merci déjà .. Donnez moi plus d'infos sur les défauts svp car je souhaite réellement l'améliorer si possible.
Sinon nan je n'ai aucun mélange de manga et d'info, juste mon imagination et un plan structuré fait durant les cours =D

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Tsoing
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Messages: 204
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MessagePosté le: Mer 28 Mai 2008, 5:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bon alors.
Accroche-toi si tu veux lire la suite de mon commentaire.
J'ai repris le texte phrase par phrase et essayé d'expliquer les couacs.


Citation:
symbiose des corps de nature tels l'eau et la terre


"Symbiose entre l'eau et la terre" c'est mieux.

Citation:
Or, cette soirée allait bouleversée toute sa courte vie, tel un missile projeté sur un pétale laché en plein en vol. Le choc allait être d'une telle violence, que la pression serait à la limite du supportable.


L'emploi de "or" c'est bizarre. Utilise plutôt "mais".
"laché en plein vol" la formulation est maladroite. Si le pétale est lâché alors c'est une chute et pas un vol.
Incohérence entre "choc" et "pression". Un choc est bref, une pression l'est moins (là je reconnais que je pinaille un peu trop. La phrase est acceptable ne t'inquiète pas !).

Citation:
Entrant dans la maison, Kazuma-San regardait terrifié une bête se trouvant devant lui, comme si elle était le point de naissance de sa nouvelle vie.


Stop avec l'utilisation du participe présent à tort et à travers !
"En entrant dans la maison, Kasuma-San regardait, terrifié, une bête qui se trouvait devant lui (ou devant lui tout court)"

Citation:
La bête était en train de dévorer ce qui restait de la cervelle de sa mère, reconnaissable aux traces fines de cheveux blonds, caractéristique d'elle même.


Enlève "caractéristique d'elle même". Le "reconnaissable" suffit et "caractéristique d'elle même" ne veut pas dire grand chose.

Citation:
Le bruit des goulis de morceaux tombant au fond du paller du monstre, résonnait dans le plus profond trou de l'âme de Kazuma-San


Je suppose que tu voulais dire "coulis" et "palais" ?
Fais gaffe alors car un coulis est liquide et les morceaux sont solides. Utilise "tombant au fond du gosier" ou "le long de l'œsophage" car le palais n'est pas une cavité suffisamment grande pour que quelque chose tombe dedans.
"Le trou de l'âme" ? Euh ... si tu veux ...

Citation:
Ne pouvant retirer son regard mélancolique de la bête,


Je doute que ce soit un regard "mélancolique", regarde le dictionnaire sur ce qu'est un regard "mélancolique". ^^

Citation:
elle se dirigait désormais vers son plus simple appareil.


Bon.
Quand on dit de quelqu'un qu'il est vêtu de son plus simple appareil c'est souvent qu'il est nu.
La formulation correcte de ta phrase serait "elle se dirigeait désormais vers lui dans son plus simple appareil". Mais côté sens ... ça ne voudrait pas dire grand chose car je doute que ton monstre s'habille (et donc préciser qu'il est nu ... bref !) ! ^^

Citation:
Kazuma-San [dans l'histoire kazuma-san sera traduit par ks]


Très moche. Flemmard ! Je rêve quoi ! (indignation ^^)
Le -san au japon est une marque de politesse. Pas la peine que tu l'utilises pour ton personnage, à moins qu'une autre personne s'adresse à lui.
Donc utilise Kazuma tout court (et tous les artifices de la langue française (il y en a plein) pour éviter les répétitions).

Citation:
s'effondra sur ses genoux fébriles


Mouais ... flageolants c'est mieux que fébriles.

Citation:
comme pour se protéger d'une intempérie inhabituelle


Euh ton monstre n'est pas ce qu'on pourrait appeler une "intempérie inhabituelle". Ta comparaison est déplacée. Il prend sa tête dans ses bras pour se protéger point ! Les comparaisons sont là pour aider à te faire comprendre ou pour illustrer. Là il n'y en a pas besoin : c'est compréhensible qu'il se protège la tête !

Citation:
La bête fit deux cercles autour de ks, signe qu'elle devait en réalité être aveugle, et utilisée principalement ses sens tels que le toucher, l'ouie le goût.


Je ne vois pas trop en quoi les cercles sont le signe qu'elle est aveugle. Et encore moins qu'elle utilise ses autres sens à la place.

Citation:
Posant ce qui devait être son museau sur la partie inférieur du cou de ks, un long couloir de fumée sortit de sa bouche, parcouru d'un fil de chair venant de son dernier festin


Un couloir de fumée ?!
C'est un peu gros comme image non ? Enfin ... si tu veux.
Par contre "parcouru" ... bof bof ... "agrémenté" c'est mieux. Et "provenant" au "lieu de "venant".

Citation:
Les pas se rapprochaient de plus en plus, comme le son de la faux de Mademoiselle La Mort approchant avec sa barque le jour crucial


Faut savoir : elle marche ou elle vient en barque. Dans le premier cas tu as des pas dans l'autre non. Et puis une faux ne marche pas, et donc le bruit de pas il vient de la mort si tu veux, mais pas de sa faux. Ne fais pas trop de personnifications !


Citation:
Un bruit glaciale de sifflement retentissaient dans la maison, entrainé par des cris de douleur venus d'une autre dimension.


On sait que le sifflement est un bruit: " Un sifflement glacial retentit ..... etc" et point.
Et puis "entrainé" ? tu voulais dire quoi par là ? que le sifflement est suivi par le cri de douleur ou qu'il provient dudit cri ?

Citation:
Projetée à l'autre bout de la pièce, la bête se voyait arrachée la partie droite son bras. Se tenant sur ses deux pattes inférieurs, elle poussa un terrible effroie qui brisa les dernières vitres qui avaient résistées.


Et l'emploi des temps hein ? Sapajou !
Plusieurs fois que tu utilises l'imparfait alors qu'il aurait fallu le passé-simple ! (re-indignation ^^)
"la bête se vit arracher la partie droite de son bras" (au fait c'est quoi la partie droite du bras ? tu parles du bras droit, du radius ou de l'humérus ?)
C'est "un terrible cri D' effroi."

Citation:
Prit de courage peu farouche, ks levant la tête, apreçu son père, tenant à la main un pistolet de gros calibre avec fixait au bout un engin de type lance roquette.


Bon, même en littérature "un courage peu farouche" ... c'est carrément une lapalissade ! Grr ! Regarde ce que tu écris saperlipopette ! (indignation (encore ! ^^) ).
Et puis c'est quoi tout ces participes présent ?
" En relevant la tête Kasuma aperçut son père qui tenait ..." ou bien "Kasuma releva la tête et aperçut son père, un pistolet de gros calibre, avec fixé au bout un engin de type lance roquette, à la main." ou tu peux tourner ça de plein de façons différentes !

Citation:
Pointant l'arme en direction de la bête démoniaque, le père de ks s'amusait à faire ricocher les organes du monstre à l'aide de balles, éclatant de fait les points vitaux de la bête !


Ce sont les balles qui ricochent sur les organes et pas l'inverse ! Bref ta phrase ne veut rien dire tournée comme elle est !

Citation:
Malgré les apparences, le missile arriva à destination fixe, et fit exploser la bête de tout son être ! Le corps puant de ce monstre se solidifié par un procédé chimique, sans doute dû au mélange du souffre des balles et de la composition du sang de la bête.


Pourquoi "malgré les apparences " ?
"exploser la bête de tout son être" c'est mal-dit, mal-formulé, maladroit ...
" Le corps puant [...] se SOLIDIFIA ... mélange DE soufre ( un seul "F" à soufre puisqu'il s'agit de l'élément soufre S) des balles et du sang de la bête."

Citation:
Le corps fétide de la bête s'évaporé par un éclat de bruits aussi répugnant les uns que les autres.


Tes temps sapristi ! "S' EVAPORA dans une multitude de bruits aussi répugnants les uns que les autres"
Et puis d'ailleurs il faut savoir : le corps du monstre se solidifie ou s'évapore ?

Citation:
Essayant malgré tout de me tenir sur mes deux jambes, j'appeuré mon père, en sanglots, remollant des tirades de supplice à mon sauveur.


(l'indignation arrive à son point culminant ^^)
Pourquoi subitement le récit part sur une narration à la première personne du singulier alors qu'elle avait débuté à la troisième ?
Et puis il EST apeuré mais n'apeure pas son père ! (enfin je n'ai pas l'impression ^^)
"remollant des tirades de supplice à mon sauveur" Bon là c'est clair et net : ça ne veut RIEN dire !

Citation:
Me regardant tel un objet de foire, il pointant son arme vers moi, m'interdisant de faire le moindre pas vers lui !


Encore un problème de vocabulaire.
Plonge toi dans un dico pour zyeuter la signification de l'expression "regarder qqun comme un objet de foire".

Citation:
le goût de l'horreur était encore gravé sur ma peau.


Incohérence dans le sens où le "gravé sur ma peau" fait référence au toucher et tu utilise le "goût". Ce n'est pas très joli.

Citation:
Une balle venait se blottir au niveau de mon mollet gauche.


"venait DE se blottir au ...."
ou
"vint se blottir au ... " mais la première est mieux.

Citation:
Criant à l'agonie, et le suppliant de m'épargner, je ne comprenais pourquoi il essayé de me finir de cette façon.


Vla la conjugaison ! (grrrr)
"A l'agonie, criant, le suppliant de m'épargner [...] il essayait de me tuer".

Citation:
-"Tout cela n'était que l'action d'un yyur, une bête venu tout droit des profondeurs de la Terre, attirée par la mort elle même, ils recherchent la faim et la fuite."


Bizarre c'te bestiole ! "apportant la mort, satisfaisant leur appétit" ok mais sinon ... à moins que tu voulais dire "envoyées par la mort elle-même" ?
"Recherchent la fuite "???



Conclusion:

- fautes d'orthographe (pas grave tout le monde en fait)
- fautes de vocabulaire ( mouais mais regarde avant d'utiliser une expression ou autre)
- fautes de temps ( très grave : tu es au moins au collège non ? alors tu as dû apprendre l'alternance imparfait-passé simple dans une narration)

Ne met pas de métaphores n'importe où et n'importe comment. Ni n'importe lesquelles.
Ce n'est pas parce que tu utilises des jolies phrases que le sens est bon. Un texte ce n'est pas qu'une succession de figures de style !

Courage ! Si tu fais attention à tout ça ce sera nickel !

Pardon si je peux sembler chiante (et dure sur certains commentaires ! ^^).
Ah oui : je n'ai pas corrigé les fautes d'orthographes (j'suis une grande flemmarde).


Bonne chance pour la suite !

PS: je regarderai la partie deux plus tard.
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Cloudf
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MessagePosté le: Mer 28 Mai 2008, 6:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un grand merci à ton travail et je vais de ce fait corriger tout cela et changer certaines formulations. Je suis vraiment content que de tels personnes comme toi me fasse des compliments =D
Ps: je vais passer en term ^^et toi ?
J'ai édit mon oeuvre et écrit une suite

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MessagePosté le: Jeu 29 Mai 2008, 7:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cloudf a écrit:
Un grand merci à ton travail et je vais de ce fait corriger tout cela et changer certaines formulations. Je suis vraiment content que de tels personnes comme toi me fasse des compliments =D


Compliments ???
Je ne suis pas sûre de t'en avoir fais beaucoup ( parmi toutes les indignations diverses et variées ) ^^

Contente que ça t'ait aidé !

PS : fac de sciences.
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Cloudf
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MessagePosté le: Jeu 29 Mai 2008, 7:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Voici une nouvelle partie de l'histoire
------------------------------------------------
j'espere que tu pourras encore m'aider. Car sa m'a vraiment apporté.

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MessagePosté le: Lun 16 Juin 2008, 2:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

PaS D'AviS ?

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MessagePosté le: Lun 16 Juin 2008, 4:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avis ?
Avis !
A vis.
A vu.
Du verbe voir.
Ouvrez vos mirettes.

La suite donc :


Citation:
Le temps n'avait toujours pas apaisé le remord de ce trame qui s'était déroulé dans le cœur de Kazuma.


Et ça commence !
Nom de nom relis-toi !
Trame ?
Drame !

Citation:
L'homme qui avait sortit le parchemin s'assaillais sur le sol humide par la brise du soir, et juxtaposa ses paumes de ses mains.


Assaillais ?
Du verbe assaillir ?
A moins que tu voulais utiliser le verbe asseoir ... dans ce cas c'est "s'asseyait".
Et 'pis il y trop de "ses" : "juxtaposa les paumes de ses mains."

Citation:
Kenshi savait dosé l'effort et n'avait aucun mal à faire respecter l'ordre au sein de la ville et de ses apôtres.


Mouais...le mot "apôtre" ne convient pas vu que tu parles de moines tibétains.

Citation:
La gravité s'empare du poids du corps et trace une parabole d'une certaine manière. Cette parabole se projette avec une force et un angle fixés selon une trajectoire constante et définie. Un corps homogène retombera donc toujours au même endroit. Mais Kenshi savait faire dévier le poids de son corps, utilisant la force de son propre centre de gravité sans le déplacer pour forcer la rétractation de son corps.


Navrée mais là j'ai eu beau relire plusieurs fois ... je ne comprends pas ce que tu as voulu dire. A la limite demande à quelqu'un d'autre si lui comprend, mais moi non.

Citation:
Prenant leurs jambes à leur cou, les trois hommes encore en vie partirent en détalant à toute vitesse, fuyant une mort propice.


"Propice" ne convient pas trop. Généralement on dit "une mort certaine" mais tu peux trouver des synonymes.

Citation:
Kenshi. Il faut que tu m'aides à acquérir plus de pouvoir maintenant. Je
quitterai la ville dès que celui ci sera achevé.


Fais gaffe à tes phrases !
Qu'est-ce qui est achevé ? Celui-ci. Or ton "celui-ci" se rapporte au pouvoir. Au final ça donne :"je quitterai la ville dès que le pouvoir sera achevé". Bizarre non ? ^^

Bon sinon je trouve que tu t'es énormément amélioré ! Bravo !

Sauf en orthographe ou c'est un peu la cata (excuse ma flemme de corriger les fautes ! ^^). Relis-toi et utilise Mister Bescherelle si tu doutes !

Ce qui m'a un chouia déçue dans ton histoire c'est que Kasuma change d'avis trop vite. D'un coup il se débarrasse de sa haine hop! comme si de rien n'était.

Encore félicitations ! Et continue comme ça !

PS: pourquoi "interdit aux âmes sensibles" dans le titre ? ça n'y était pas au début.

PS2: tu peux enlever ton commentaire de "l'honneur d'un ninja" stp ? tu ne l'as pas mis au bon endroit et maintenant KHS a une bonne excuse pour ne pas poster la suite de sa 'fic. ^^
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Cloudf
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MessagePosté le: Jeu 26 Juin 2008, 8:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci de ton aide =)
J'ai corrigé mais ne t'inquiete
en réalité Kazuma n'a pas trop changé tu vas le voir dans la suite ^^

De plus j'ai commencé la partie 3

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