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kqtoN
Civil


Inscrit le: 29 Déc 2008
Messages: 2

MessagePosté le: Lun 02 Fév 2009, 8:53 pm    Sujet du message: Quelques nouvelles Répondre en citant

Une 'tite nouvelle‏ :

Rencontre et phénoméne bizarres


Voila que Julie sortait de chez elle comme tous les jours, le matin du 31 decembre, ça devrait être une belle journée. Il était 7h30, elle aimait se promener avant d'arriver à son travail qu'elle aimait tant : psychologue.
Quel bonheur d'aider les gens. En parlant d'aimer, Bigoudi aussi elle l'avais aimé; et voila qu'elle repensait à son écureuil qui venait de mourir, non non, il ne fallait pas qu'elle pense encore à sa petite bête perdue à vie! Bref, elle se ressaisit comme une grande. Mais elle était grande ... !
Ce jour-ci, elle décida de se rendre au 36, quai des Orfèvres, par chance elle trouva Daniel. Ah Daniel, son vieil ami, comme elle l'aimait. Mais là, il était occupé avec une jeune femme, après s'être saluer, il laissa Julie en compagnie d'un ami à lui qui se prénommait Olivier. Après une simple présentation, ils se mirent à discuter de tout et de rien. Julie avait le sourire aux lévres sans savoir pourquoi, quelle facilité que de parler avec cet individu ! elle le trouvait distinguait des autres personnes.
Daniel avait remarqué ces deux personnes bien occupées à discuter, alors il les salua à nouveau en se faisant discrét et les quitta avec la jeune femme qui l'accompagnait.
Voila un moment qu'ils parlaient. De fabuleux points communs ces deux là! Au bout d'un moment, ils se donnèrent congé et se quittèrent.

Julie sortait de son boulot! ah quelle demi-journée. Elle pensait à Olivier Sthéthocap, étrange nom de famille qu'elle adora. Cet Olivier lui avait donné rendez-vous au park cet après-midi là! Elle avait accépté avec joie. Cette personne qui était aussi bizarre et originale qu'elle-même.

Vers 15h, elle se rendit à l'endroit prévu. Une fois arrivée, elle s'assit près d'un escalyptus à terre. Sentant l'air fraic lui carresser le visage, comme si le vent lui apportait un baisé de Olivier ... c'était une réveuse Julie !
En attandant son arrivé, elle sortit une feuille de son sac et se mit à écrire ce qui lui passait par la tête. Quelques minutes plus tard, Olivier arriva et ils continuèrent leur discution du matin. Elle apprit qu'il collectionnait les sthétoscopes, qu'il avait un adorable hamster nommé Mickey et ce qui lui a vraiment plu, c'est qu'il travaillait avec de vrais magiciens !
Ca l'avait toujours intrigué les magiciens alors elle demanda un tour de magie, n'importe lequel ...
Alors il sortit de sa poche un affreux noeud papillion, peut être cela était indispansable. Elle ne demanda rien, elle se contanta d'ouvrire bien grand ses yeux et de regarder.
Et d'un coup, Olivier se mit à dire des mots incompréhencibles, et voila que Julie se trouvait avec lui à l'interieur d'un cercle de feu, cela était horrible ! Subitement, un balai jaillit de nulle part et frappa Julie en plein tête. Elle perdut connaissance.

Abracadabrantesque, elle se retrouva sur son lit, non, non, elle n'a pas bougé. Tout cela n'était qu'un simple rêve. Il fut comme même amusant, malgés la peur.Elle s'y était cru vraiment.
Une fois sortie de chez elle, ce jour, le 31 decembre, le même que celui de son rêve, au même endroit aussi, 36, quai des Orfèvres, un jeune homme vient lui parler, et c'était Olivier ...

Texie :


Il est 20h13, un beau Samedi du vingt-quatrième jour du mois de février. Tout peut arriver à cette heure-ci, et justement, c’est à ce moment là que débute notre histoire …
Parce qu’au moment où ce rat entre dans son trou, au même instant une fourmi se fait écraser et immédiatement après la population augmente de trois nouveaux nourrissons. L’un d’eux étant de sexe féminin et qui sera le sujet de notre suite …
Voilà quatorze ans que Texie appartient au monde des mortels sur la planète Terre : elle aime bien donner ce détail là. Ses parents lui ont donnée cet étrange nom, et on ne sait pourquoi. Un jour, elle avait posé la question :
" -Pourquoi ce prénom ?
-Il ne te plait pas ?
-Si au contraire …
-Alors ne pose pas trop de questions de ce genre. "
Voilà comment sa mère lui avait répondue, Texie ne put apprendre rien de plus sur l’origine de son prénom. Mais elle l’aimait tant ! Elle ne connaissait aucune personne ayant ce même prénom, et aucune personne la connaissant ne connaissait quelqu’un d’autre l’ayant aussi … et ça, elle en était fière sans savoir pourquoi … Enfaite, cette adolescente aimait les choses rares, les choses qui pourraient la différencier de certaines personnes ... Texie aime tant de choses. D'ailleurs à 18h36, elle pensait aux souvenirs qu'elle avait eux et qu'elle avait aimés ...
Elle se souvenait que lorsqu'elle était petite, elle trouvait l'obligeance de fermer la porte à clef à certains endroits, parce que pour elle, on pouvait la voir ... qui ? elle n'en sait trop rien. Elle se sent souvent observée. Mais c'est juste des sensations, elle n'y croit pas vraiment ... comme elle ne croit pas vraiment à l'amour ...
Elle se souvient aussi de la fois où elle avait passé une mauvaise journée, <la> comme elle appelait ces genres de jours, là où toutes les tristesses se rassemblaient en une seule journée et qu'elle déprimait ... bah ce jour là, elle trouva son bonheur ou plutôt son porte-bonheur, même si à ça aussi, elle n'y croyait pas vraiment ... elle se trouvait au parc, un endroit qu'elle aimait bien, et elle marchait, tête haute comme toujours, et voila qu'elle mit le pied sur quelque chose de dur, ça devait être une pierre, pourquoi s'en inquiéter, mais elle prit la peine de s'arrêter et de voir, après tout, autant voir plein de choses, même les plus banales. Finalement, ce qu'elle crut être une pierre allait être son nouvel objet, son nouveau collier

Un monde :


On s'était occupé de tout. C'était la première fois que cet évènement avait lieu :
" - Vas-tu au bal Quatre-Vingt-Douze ?
- Bien sûr! tout le monde y va, c'est un évènement merveilleux et nouveau. "
Tout le monde parlait de ce bal, depuis que Zéro l'avait déclaré. Bien sur, les nombres ne savaient pas comment cela allait se passer et c'est pour cette raison qu'ils l'attendaient avec impatiente.

Voici le jour arrivé! Les nombres arrivaient l'un après l'autre. L'endroit était très vaste et pouvait accueillir tous les nombres. Ils étaient tous très enthousiastes, parlaient, commentaient ... On mit de la musique et quelques nombres se mirent à danser. Plus tard, Zéro prit la parole :
- Bonsoir amis du soir, je ne ferais pas long. Juste, passez une belle soirée !
Des applaudissement jaillirent et les danses reprirent de plus belles. Apparemment, tout se passait à merveille.
" - M'accordez-vous cette danse Mille-Et-Sept ?
- Avec plaisir Soixante-Dix-Sept ! ".
L'un dansait avec l'autre. On entendait des éclats de joies. C'était réussit!
On voulait rendre la fête un peu mieux. Donc on entreprit de bien observer les nombres.

" Voila la soirée qui s'apprête à s'achever, déclara Zéro, mais avant, je voudrais vous informez que les responsables ont proposé des caractéristiques à certains d'entre vous les voici : toi Un, qui est arrivé le premier, tu aimes bien dirigé et tu es assez égoïste. Trente-Et-Un est le plus élégant

Nouvelle :


- Ouvre cette porte ! je ne te le pardonnerai pas, ouvre-la !
- Que crois-tu donc Carla ? que je l’ouvrirai parce que tu cris plus fort qu’un chien enragé ! seulement, c’est moi qui ai l’avantage, et c’est moi que tout le monde admire. Entre nous, on l’a toujours su, je suis la préférée, les gens m’aiment et moi je les hais ! telle est la vie. Toi, tu n’es que la sale doublure, l’imparfaite, alors que moi, la gloire est à mes pieds !
- Tu penses vraiment ce que tu dis Sephora ?! demanda timidement Carla alors qu’elle connaissait déjà la réponse.
Sephora avait toujours eu cet air méchant et arrogant. Cependant, elle avait toujours été la pour Carla, et c’est pour cela qu’elle l’aimait tant. Elle s’avait que Sephora était malade, et qu’elle ne se contrôlait pas à certains moments. Elle lui pardonnait toujours, même après les pires choses qu’elle lui faisait.
- Bien sur que je le pense ! crois tu que je suis comme toi à parler pour rien. Lorsque j’ouvre la bouche moi, ce n’est que pour dire la vérité, et crois le bien, tu n’es rien. Rien d’important ! une sale villageoise de plus qui ne sert strictement à rien. La vie est injuste, je le sais. Mais pour moi, elle est belle. Je suis celle avec qui a tous les mecs à ses pieds, celle qui se fait envier par tous les filles … celle dont tout le monde rêve quoi ! mais je vais te dire un secret : personne n’est comme moi, et personne ne le sera jamais ! c’est moi la plus parfaite, j’incarne la perfection en personne. Moi seule pourrais contrôler le monde. Mais le monde est trop bête, et malheureusement, tu fais partie du monde ma chérie, malgré tout, je traine avec toi ! vois-tu à quel point je suis bonne. Je n’aime qu’une seule personne, et celle-ci c’est moi ! je me demande comment tu te supportes Carla. D’ailleurs, je te pose la …
- Ça suffit Sephora ! toi et moi savons très bien où est la vérité, je te prie d’ouvrir cette porte, nous devons rentrer, n’oublie pas que …
- Oh mais moi je n’ai aucune envi de rentrer ! ma chère mère a tellement confiance en moi, que je n’ai pas de couvre feu, je suis libre contrairement à toi Carla. Dis-moi, as-tu peur de ta mère au point de rentrer à l’heure ? ne trouves tu pas bonne idée le fait de rentrer plus tard que prévu ? et peut être que la, les gens t’aimeront, tout comme moi. Depuis le temps que tu traines avec moi, les gens devraient commencer à t’aimer. Après tout, bêtes comme ils sont, ils t’aimeront très vite vu que tu es ma copine.
- Cela me fait plaisir que tu me considères comme ta copine. Cependant, les gens ne nous voient jamais ensemble, tu t’arranges toujours pour partir au moment où ils viennent, ou bien tu empreintes des chemins différents, qu’ils ne connaissent pas eux …
- Je te l’avais bien dit qu’ils étaient bêtes les gens. Tu ne dois pas les aimer. Admires moi, aimes moi, écoutes moi … et tu auras aussi la gloire à tes pieds. Carla ! Carla ! pousses toi de la porte, je commence à étouffer ici, on manque vraiment d’oxygène la dedans.
A ce moment, la grande porte du hall claqua. Un long vent souffla et fit vibrer les grandes fenêtres poussiéreuses. L’aube approchait et Carla devait sortir de la. Elle savait que ce château était hanté. Elle avait beau venir passer ses longues après midi ici, une fois l’aube arrivé, elle craignait l’incroyable. Après s’être écartée de la porte, elle attendit Sephora. Cependant, aucun bruit ne sortait du placard, et Sephora ne sortait pas. Carla se mit à paniquer. Pris de panique, elle me mit à crier.
- Sephora ! Sors de la je te prie ! Sephora ! Sephora ! Nous devons entrer ! Sephora …
- Carla ! où es tu Carla ! Carla !
La porte du hall avait claqué à nouveau. Carla sortit en courant et heurta brutalement quelque chose.
- Carla ! qu’as-tu donc à courir ainsi. Je suis venue te chercher, partons ! Il se fait tard.
- Texie ? c’est toi ? je suis si heureuse de te voir ! je commence à paniquer. Vite ce château est hanté, nous devons sortir au plus vite.
- Ne t’inquiète pas Carla ! ce château n’est pas hanté, mais nous devons nous presser tout de même. Ta mère t’attend.
A ce moment, Carla se rappela de Sephora qui était bloquée dans le placard. Pendant un instant, elle pensa à la laisser la bas, elle avait du étouffer depuis un moment. Après tout, Sephora était très méchante et peu de gens la voyaient, donc si elle disparaissait …
- Carla ! tu viens s’il te plait. Je n’arrive même pas à ouvrir la porte. As-tu la clé ?
- Euh … Texie, il y a Sephora bloquée dans le placard, nous devons la chercher, c’est elle aussi qui a la clé je crois.
- Une personne est en train d’étouffer ? montre moi où !
Etant une fille très sensée, Texie accéléra le pas pour venir à cette fille qu’elle ne connaissait même pas. Arrivée au lieu même, elle se rendit compte que ce placard avait toujours été fermé.
- J’ai beau frapper et crier, Sephora ne répond pas. Juste avant, elle m’avait dit qu’elle avait du mal à respirer ! Au quel malheur ! C’est à cause de moi, je lui courrais après
...‏ :

Sa douleur était infernale. Il lui était impossible de se coucher, de bouger, même de rigoler ce qui était sa plus grande activité. Cela l’a désolé, elle était triste. Triste pour elle-même, elle se faisait pitié et n’avait pas envi qu’on la voit dans cet état. Elle n’aimait pas les malades, cela lui faisait trop de mal de les voir. Elle n’a point envi de faire mal aux autres, non aucun désir. Sa nouvelle résolution: ne plus rigoler du malheur des autres. Elle n’avait jamais imaginé qu’un torticolis puisse faire si mal, puisse être si dur à supporter. La douleur la paralyse. Elle est privée de tout, même tousser et elle ne peut pas. Cela est tellement affreux et si douloureux. Elle comprend toute personne ayant eu un torticolis ou ayant souffert aussi, parce que, même évitant de se plaindre, elle se plaint. Mais elle croit savoir pourquoi tout ça lui arrive. Elle est trop heureuse, en y réfléchissant, elle mène une très belle vie. La seule chose qu’elle voudrait de plus à sa vie, c’est plus de liberté!

Lorsque la douleur l’atteint, elle respire très fort et bien difficilement, elle se pince pour éloigner la douleur ne sachant comment cela s’explique. Elle a la tête penché du coté gauche et ne peux plus la remettre en place, à moins d’avoir une douleur infernale, mais elle veut tout de même essayer: elle penche sa tête de la plus grande douceur, elle a mal tout de même, elle respire fortement, se pince, fait des grimaces … mais rien ne marche, la douleur est trop forte et la maladie gagnante.

Le coté gauche, elle l’a toujours aimé. C’est pour cette raison que sa tête se penche de ce coté. Oh comme elle pense souvent à ces choses la. Que tout est en relation, que le mal qui nous arrive est dû à un mal qu’on fait, qu’après trop de bonheur, un malheur arrive … tout ce rejoignait pour elle. Elle a pris des médicaments, ça allait mieux. Mal mais mieux. C'est toujours mieux. Peut être que prendre des médicaments n'est pas une très mauvaise idée. Elle ne les avait jamais aimés, elle aimait guérir naturellement, avoir confiance. Cependant, ça l'avait aider à aller mieux, donc ça pouvait être une bonne chose les médicaments, qui sait !


Ce sont les nouvelles que mon ex-petite amie avait écrit, ça a une certaine valeur sentimentale pour moi, merci de les juger et d'y porter attention.
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Allen
Chuunin


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MessagePosté le: Ven 06 Mar 2009, 5:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a des idées mais dommage qu'elles soient gâchées par le manque de vocabulaire et de tout ce qui fait que l'on sait écrire.
Ouais des trucs intéressants...d'ailleurs c'est rare que je lise tout un topic comme ça XD
Y a un côté farfelu qui me plaît bien, mais je reste sur "dommage"

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