Index du Forum
ActualitésNaruto FAQ Rechercher Liste des Membres Groupes d'utilisateurs Arcade Chan IRC
Profil Se connecter pour vérifier ses messages privés Connexion Boîte à flood CarteCarte
S'enregistrer

. ma tite nouvelle

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet     Index du Forum - Littérature
Voir le sujet précédent - Voir le sujet suivant  
Auteur Message
marge83
Civil


Inscrit le: 24 Sep 2008
Messages: 5
Localisation: Toulon

MessagePosté le: Ven 09 Jan 2009, 2:00 pm    Sujet du message: ma tite nouvelle Répondre en citant

salut tt le monde! g une nouvelle a écrire pr le lycée j'aimerai bien savoir ce ke vs en pensez. ça sera présenté à un concours en février. n'hésitez pas à me dire ce qui va pas je pense qu'il y a encore du boulot à faire Wink Bon la voilà: (c un peu long avis aux flemmards! Razz )

ECHEC ET MAT

Le soleil pointait à l’horizon. Assis sur un banc, Will avait les yeux fixés sur l’enceinte de la prison et se laissait dorloter par les doux rayons qui le réchauffaient en ce mois de décembre. Il ferma les yeux et les rouvrit presque instantanément, comme s’il imaginait que tout ceci n’était qu’un horrible cauchemar. Il pensa à la plage, aux vacances, aux filles,… et dire qu’il ne connaîtrait plus cette ambiance, et dire qu’il n’entendrait plus le doux rire de ses copines, et dire qu’il ne mènerait plus une vie normale, paresseuse, de joie et de folie qu’il menait si pleinement quelques mois auparavant… Will poussa un long soupir et se leva, résigné. « COUPABLE ! » : ce mot résonna dans sa tête, tel un cri perçant, qui l’obligea à se boucher les oreilles comme pour empêcher que ces souvenirs ne surgissent à nouveau dans son esprit. L’Arrestation. Trop tard. Il y pensait déjà. L’injustice ! Il revoyait alors le procès, la lâcheté de ses parents. La sentence arriva si vite qu’il ne put que l’accepter, avec soumission. Will, innocent, devait à présent vivre dans les conditions les plus déplorables, dans une prison aux murs gris, à l’intérieur fade, aux portes rouillées et aux gardes plus cruels les uns que les autres, pendant trois longues années et aux côtés d’affreux condamnés qui regardaient ce frêle garçon comme la proie facile pour assouvir leurs pulsions meurtrières. Will se tenait alors la tête dans les mains, et, pris d’une légère convulsion, commença à sangloter, dans le silence le plus profond. Il aimait se tenir à l’écart, être seul et passait le plus clair de son temps à rêvasser et à penser au passé, qui lui paraissait si loin. Il s’essuya rapidement les yeux de peur qu’une brute le voie et se leva, péniblement. Le ciel se couvrit alors, comme les pensées de Will, qui ne se coloraient que de gris et de noir. Il lui fallait regagner sa cellule pour terminer cette journée morose de la façon la plus maussade qui soit : regarder la pluie tomber qui s’abattit soudain au-dessus de la prison.

Le jour se leva, radieux, sur la prison. Will s’étira et réveilla son compagnon de cellule, un japonais haut et jaune, ce qui lui valait le surnom de ‘nem’.
« Hé ! Le nem ! Réveille-toi tu m’entends ? On va être en retard au travail !
-Hai ! Je me lève ! »
La vie n’était pas rose à la prison. Les prisonniers devaient travailler. Ce n’était pas du cassage de pierre comme dans les vieilles prisons célèbres comme Alcatraz mais des travaux « pratiques et pédagogiques », comme le disaient les gardiens. Ils travaillaient afin de ‘remplir leurs esprits de choses intelligentes qui permettent la réinsertion dans la société, en toute simplicité et de la manière la plus utile qui soit’. Foutaises ! Will savait très bien que tout ceci n’était que mensonge ! Le travail durait beaucoup plus longtemps que prévu et poussait à la concurrence et à la haine entre les prisonniers. Celui qui travaillait le mieux était exempté de travail le jour suivant, ce qui n’accroissait que le taux de méfiance et de jalousie entre les prisonniers.
Will et Yuuki se levèrent alors et se postèrent devant la porte, attendant que le gardien veuille bien leur donner l’autorisation de sortir.
Ouf ! Un brin d’air les revigora. Will aimait le froid alors que Yuuki le haïssait. Yuuki ne dévoilait jamais son passé, il disait simplement qu’il venait d’Hokkaido, l’île la plus au nord du Japon et où il fait le plus froid. Ils se tenaient dans l’enceinte de la prison sous un arbre où ils pouvaient apprécier leur courte pause. Il faudrait bientôt retourner travailler… Will avait à peine fermé ses yeux qu’une voix retentissante la ramena à la réalité : « Les prisonniers sont priés de se réunir au bâtiment extérieur Z pour une information spéciale ! ». Yuuki poussa un long soupir et Will se leva péniblement pour rejoindre cet endroit totalement inconnu tant la prison était grande. Ils se perdraient encore, inévitablement ! Après tout ce ne sont que de nouveaux prisonniers ne connaissant rien à cette nouvelle vie de labeur et de sacrifices.
Après une quinzaine de minutes, ils trouvèrent enfin le bâtiment en question. C’est alors qu’une merveilleuse idée germa dans l’esprit de Will.

Qui aurait pensé une seconde que la prison pouvait être synonyme de liberté ? C’est pourtant ce en quoi Will cru lorsqu’il vit le petit portail vert situé derrière ce grand bâtiment. Will et Yuuki n’étaient jamais venus ici auparavant. Ils s’assirent hâtivement sur une chaise des plus inconfortables, dans le fond de la salle, afin d’écouter -à moitié- les propos du directeur de la prison. Will avait la tête ailleurs, son esprit bouillonnait comme une vraie cocotte-minute tant les idées fusaient dans son esprit. Enfin ! Il avait enfin trouvé un moyen de se sortir de ce monde horrible de la prison, de connaître à nouveau le bonheur, le vrai bonheur ! Un véritable plan d’évasion se forma dans la tête de ce génie.
A la sortie du bâtiment Z, un brouhaha s’éleva au milieu des prisonniers. Le directeur de la prison venait de leur annoncer une suppression d’installations sportives et de clubs avec, en plus, une « restructuration interne », comme il l’affirmait. Ce qui, en somme, signifiait que le nombre de prisonniers par cellule doublerait. Les détenus criaient, juraient et entonnaient des chants de manifestation avec leurs grosses voix graves et rauques. Un seul parmi ce troupeau de ténors semblait indifférent à ce spectacle. Will ne parlait pas, à vrai dire, il ne regardait même pas les autres bagnards mais fixait avec une profonde attention le petit portail vert. Puis, d’un mouvement brusque, il leva la tête et regarda le toit du bâtiment Z : un gardien. Son regard se tourna alors sur son bâtiment, là où il dormait. Enfin, il observa de nouveau le petit portail. Il ferma les yeux, plissa le front et fronça les sourcils, réfléchissant profondément. Yuuki, s’étant aperçu que son ami ne manifestait pas comme tous les autres, lui donna une légère gifle, comme pour le tirer d’un long sommeil. Il lui demanda : « Ben ! Que t’arrive-t-il ? Ça ne te révolte pas ce nouveau grand changement ?, avec un accent asiatique très prononcé.
- Si, bien sûr que si ! J’ai juste eu…euh… une sorte d’absence.
- Ah je comprends avec tout ce bruit ! Il faut que tu manifestes aussi ! Allez ! On se réveille ! »
Will n’avait alors qu’une hâte : retourner dans sa cellule pour mettre au point son plan. Les idées fusaient à une telle allure dans son esprit qu’il ne devait pas en perdre une seule. Il s’extirpa en douce de la manifestation, sans être vu par Yuuki, et se précipita dans sa cellule.

De retour dans sa cellule, Will s’installa et commença à dessiner son plan. Le travail fut simple pour cet expert en stratégie et en échecs. Il traça d’abord le chemin le plus sûr, puis calcula le temps qu’il lui faudrait pour traverser la cour sans se faire prendre. Il estima que la fuite ne devait pas excéder les quinze minutes car un gardien surveillait l’entrée Z du petit portail tous les quarts d’heure et l’évasion devrait se faire pendant l’heure du déjeuner, par prudence. Il devait donc être minutieux et précis sur son plan. Il examina toutes les solutions possibles, en prenant en compte toutes les situations. Un affreux mal de tête le prit soudain. Il s’extirpa de la chaise, demanda la permission au gardien d’aller à l’infirmerie. Conduit par celui-ci, il entra et fut installé sur un lit en fer jaunâtre. Par la fenêtre, il observa la foule en délire qui tenait de larges pancartes devant l’entrée principale. Il leva les yeux vers le ciel. La liberté. Tout à coup il se mit à rire, bêtement. Il était heureux, simplement. Mais ce rire laissa peu à peu place à une anxiété des plus totales pour Will. Il avait omis un détail pourtant primordial : allait-il en parler à Yuuki ? Il s’endormit presque aussitôt. Quand on le réveilla, il était midi. Il se rhabilla et partit au réfectoire. Il avait toujours sommeil.

La sieste fut tourmentée. Un horrible cauchemar hanta Will. Il se voyait le lendemain, entrain d’escalader le petit portail quand soudain un gardien haut comme trois pommes mais étonnamment laid et féroce, le tapait à coups de gourdin dans les mollets. Il avait beau se dire que ceci n’était qu’un simple cauchemar, il ressentait la douleur. Il se réveilla en sursaut, en hurlant « AU SECOURS ! », ce qui provoqua l’hilarité générale et un regard furieux du gardien. La douleur il sut ce que c’était : Yuuki le tapait avec une règle pour le sortir de son sommeil agité. Yuuki lui dit alors : « Ben t’étais passé où ? Pendant la manif’ je t’ai cherché et impossible de te retrouver !
- Je suis allé à l’infirmerie directement parce que j’avais un horrible mal de tête, précisa Will sans raconter le fait qu’il avait eu le temps de rentrer dans sa cellule pour préparer son plan.
- Ah ok je comprends. Bref, t’aurais dû être là. On a failli forcer la porte principale ! Les gardiens nous ont retenu et nous ont renvoyé dans nos cellules. Par contre, ils ont dit qu’ils allaient renforcer la sécurité dès demain et surveiller toutes les entrées, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, répondit Yuuki.
- Oh non ! Tout mais pas ça !, s’exclama Will horrifié par cette annonce.
- Ouais c’est sûr ! On pourra pas manifester demain ! »
Mais Yuuki n’avait pas compris du tout. Will se contrefichait des manifestations, de la restructuration et de tout ce tas de déchets inutiles. Son plan allait échouer. Les larmes lui montèrent aux yeux. Ses lèvres tremblèrent. Il ravala un sanglot en criant : « Rien ! Tu ne comprends rien ! » et, avec l’accord du gardien, il courut droit vers l’infirmerie. Yuuki resta assis, droit comme un i et ouvrit la bouche. Aucun son n’en sortit. Il contempla la fenêtre, recouverte d’une petite plaque givrée et murmura : « Y a rien à faire, le froid j’aime vraiment pas ça », en regardant son ami courir au loin.

Le dîner se déroula dans la suspicion la pus totale, Will se demanda même si Yuuki pouvait lire dans ses pensées. Dans son lit, Will se tourna et se retourna. Il avait l’impression de sentir le regard de Yuuki sur lui, il se sentit épié et ne parvint pas à trouver le sommeil. Il commença soudainement à douter. Est-ce que Yuuki sait ? Que va-t-il faire ? Will laissa la m éfiance l’envahir. Lorsqu’il arriva enfin à s’endormir, un odieux cauchemar le réveilla en sursaut. L’évasion n’allait peut-être bien ne pas se passer comme prévu.

Le travail fut repris normalement le lendemain. La « crise des prisonniers » fut estimée ‘passagère’ et personne n’y fit allusion. Néanmoins, on sentit un fort renforcement de la surveillance dans la prison. Leur petite dispute de la veille avait créé une atmosphère tendue entre les deux compagnons. Ils travaillèrent toute la matinée sans s’accorder un seul mot, un seul regard. Will avait déjà trouvé réponse à sa question : il n’en parlerait pas à Yuuki, c’était trop risqué pour lui alors qu’allait-il en être pour le nem, pas très agile ni discret d’ailleurs. Onze coups sonnèrent. Will paraissait plus troublé que jamais. Il avait décidé de tenter le coup. Son plan était prêt, il devait essayer, sinon, il aurait du regret le restant de sa vie. Cependant, il oubliait un détail qui pouvait paraître insignifiant mais qui ne l’était guère : Yuuki observait la situation et sentait évidemment que son ami était anxieux, anormalement anxieux. La sonnerie annonça l’heure du déjeuner. Will fila en un éclair.

Une petite ombre se faufilait entre les buissons gelés postés près du réfectoire. Le soleil était au zénith. La cour était déserte, tout le monde mangeait. Will sortit en un éclair des buissons et roula pour se poster derrière un platane. Il pouvait déjà apercevoir le portail de la liberté à une cinquantaine de mètres de là où il se cachait. Soudain, il entendit des voix derrière lui. Inquiet, il regardait de tous côtés pour trouver une bonne cachette. Les voix se rapprochaient. Que faire ? Il leva la tête, prêt à grimper à l’arbre : pas de feuilles pour le cacher on était en hiver ! Il se retourna alors, cherchant désespéramment une bonne planque. La tension monta. Les voix se rapprochaient. Pris de panique, il trouva un gros tas de sable non loin de l’arbre. Il se jeta précipitamment dedans. Les voix passèrent et Will poussa un tel soupir de soulagement qu’il avala du sable. Un énorme coup de vent balaya la dune. Deux secondes avant et il était pris. La chance semblait tourner de son côté. Il traversa hâtivement les bosquets de fleurs, toujours à surveiller ses arrières. Une façade grise et taguée se dressa contre lui : le bâtiment Z ! La liberté était si proche de lui. Il leva le nez en l’air : le gardien n’était pas sur le toit. Il regarda droit devant lui : le portail vert ne semblait pas gardé. Confiant, il se leva et couru vert le portail. Il le toucha, presque affectueusement. Prêt à l’escalade, il enfourna le portail lorsqu’il entendit dans son dos une voix trop familière pour lui : « Alors comme ça on veut s’enfuir sans moi ? ». Will descendit du portail, laissa tomber son sac à terre et se retourna pour croiser le regard pénétrant de Yuuki.

Il avait échoué. C’était fini. Tout espoir semblait vain. Tel un Roi piégé dans un affreux « Echec et Mat ! », il ne put qu’admettre son triste sort. De toute façon, l’évasion ne devait pas excéder les quinze minutes. C’était trop tard. Yuuki exigerait des explications donc aucun moyen de fuite ne fut encore possible. Tout cela à cause de Yuuki. C’était lui le meneur de la manifestation. C’était donc à cause de lui que la sécurité était renforcée et qu’un gardien arrivait d’ailleurs déjà en courant vers lui. « Que se passe-t-il ici ? Vous n’êtes pas au réfectoire ? Que faites-vous ?
- Il a tenté de s’enfuir, répondit Yuuki ».
Will le regarda, atterré. Yuuki le dénonçait ? Lui ? Son ami ? Apparemment, il avait mal pris le fait de ne pas avoir été averti de son plan secret. Will fut tout à coup horrifié de tant de lâcheté. Il se rappela alors que ‘Yuuki’ signifiait ‘courage’ en japonais. Quelle ironie ! Will esquissa un sourire. Dans un silence profond chacun regarda l’autre : le gardien fixait Will, qui lui-même fixait Yuuki, qui lui-même fixait le gardien. Plusieurs minutes passèrent ainsi. Will pensait, il pensait au passé, à son passé. La lâcheté et l’abandon il avait connu ça. Pendant l’arrestation, tout le monde l’avait oublié : ses parents ne l’avaient pas entendu, ses amis présumaient avoir ‘choisi une autre voie’. Et maintenant c’était le tout de Yuuki lui qui avait prétendu être son ami. Lui qui avait tout partagé avec lui depuis son arrestation, début septembre. Will ne comprenait pas. Le soleil brillait toujours. Yuuki baissa la tête pendant que son ami se laissait, sans protester, emmener par le gardien pour être jugé. Yuuki resta seul, immobile, toujours le regard fixé sur le couple gardien/accusé qui disparut à l’horizon.

La trahison d’un ami : quoi de pire ? Will, entouré de tous côtés par le directeur et ses adjoints, se retrouva étouffé par une sensation qu’il avait déjà connue : celle de la solitude. Seul. Il était de nouveau seul, abandonné par tout le monde et entouré de gens ne souhaitant que son malheur. La sentence il l’a connaissait déjà. Coupable. Impossible qu’il en soit autrement car ce n’était jamais autrement. Le procès dura une heure, qui parut interminable pour Will. En une heure, le destin de toute une vie est déjà tracé. Yuuki vint témoigner, sous le regard noir de Will. Will se mit à rire lorsque l’on qualifia son acte de ‘rébellion’. Tous les prisonniers ne s’étaient-ils pas rebellés lorsqu’ils avaient manifesté ? On remarque toujours la petite faille mais jamais la fosse. La sentence tomba tel un couteau tranchant sur Will : COUPABLE. COUPABLE. Encore. Les motifs : ‘tentative d’évasion’. Peine : ‘exclusion définitive de la prison. Le coupable sera transféré dans une école plus adaptée à son cas’. Will sourit. Pourquoi adoucir les faits ? ‘Une prison adaptée à son cas’ ne signifiait-il pas tout simplement qu’il irait dorénavant dans une prison aux règles plus strictes, aux activités inexistantes, aux travaux encore plus éprouvants ? Le procès se termina dans une atmosphère aussi tendue qu’a son ouverture. Emmené par les policiers, Will cria une dernière parole : « ABANDONNE TU L’ETAIS AUTREFOIS, ABANDONNE TU L’ES DEJA, ABANDONNE TU RESTERAS ». Toute l’assemblée frémit alors, Yuuki ferma les yeux et se mordit la lèvre jusqu’au sang, tant le remords l’avait pris. Will fut conduit dans une voiture, où il put à nouveau rencontrer ses parents, avec qui il n’échangea que de simples phrases, comme s’ils s’étaient toujours souciés de lui. Le moteur gronda, la voiture démarra et emporta Will loin de la prison vers un lieu encore plus sinistre. Will se retourna et fixa la prison qui s’éloignait peu à peu. Et sur un panneau, non loin de là, on pouvait lire en caractères rouges ‘LYCEE PUBLIC DE LA REGENCE-INTERNAT’.

FIN

_________________
La vie est comme un coquelicot, à peine éclose elle est fanée
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
marge83
Civil


Inscrit le: 24 Sep 2008
Messages: 5
Localisation: Toulon

MessagePosté le: Ven 09 Jan 2009, 11:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

lachez des com's siouplait!

_________________
La vie est comme un coquelicot, à peine éclose elle est fanée
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé MSN Messenger
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet     Index du Forum - Littérature Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum