. Devenir Prof.

[Sei]

Yuyu. a écrit:

Perso j'te conseille pas prof d'Histoire =S Et si tu veux devenir prof ! Fais en collège !

J'ai envie de te dire non.
Prof en collège, c'est se taper plein de petits marmots onano-libidineux, qui font chier les profs toute la journée... Moyennement pour moi.
L'avantage du lycée est que, au moins, tu vas dans le plus élaboré en terme de pédagogie, développes tes propres grilles de corrections ( bon, je me comprends, l'EN te les impose, mais libre à toi d'être sévère) et ton programme est carrément plus intéressant.
Qui plus est, tu peux te permettre - grâce au acquis plus ou moins bons des élèves- de proposer des cours interactifs, loins des cours magistraux ennuyeux.
Somme toute, y'a bon être en lycée.
Ensuite, ça dépend où tu es muté, Saint Denis ou Brest, la différence va se faire sentir ( et j'ai mes idées sur le pourquoi du comment m'enfin).

[noorvensen]

D'accord avec Sei. Je ne conseillerais pas le collège, ni l'école primaire, tout simplement parce que certains gosses sont des monstres et si on n'est pas soutenu par ses supérieurs dans l'autorité, on peut simplement pas faire cours.

Le mieux, à mon avis, c'est encore le lycée, où les personnes comment à peu près à devenir matures sur certains plans, où tu as plus de liberté en termes de planification des cours, aussi parce que les lycéens sont un peu plus volontaires que des collégiens qui n'arreteront pas de faire le bordel.
Les deux plus grandes difficultés dans le métier de prof c'est :

* le rapport avec les élèves et surtout l'autorité qui sra assez souvent sapée. Faut savoir doser entre être cool et serrer la vis quand ca part en live. Et faut savoir se faire apprécier de sesélèves tout en sachant suivre le programme.

* Les parents, qui sont parfois des ennemis plus que de simples personnes car : ils peuvent protester pour diverses choses (notations, sanctions disciplinaires) sans chercher a voir plus loin, et ils sont parfois les derniers a voir et a reconnaitre que leur enfant a des problemes, en croyant connaitre leur enfant (vous savez, quand ils disent "mon enfant ne ferait jamais ça! Je le connais" et qu'ils tombent des nues quand ils réalisent enfin que leur gosse par exemple se drogue, par exemple parce que cet enfant justement ne se sent pas compris et pris au sérieux par ses propres parents). Et des parents qui refusent de reconnaitre les problemes de leur gosse, c'est très chiant pour un prof car ca se répercusse sur ses performances scolaires et son intéret pour l'école.

* Il faut aussi supporter certains "collègues" de travail ou certains de l'administration qui dans certains cas peuvent être de vrais connards (n'ayons pas peur des mots). Et ça aussi, c'est difficile.

Voila mon avis....
Moi, je suis une formation de prof de français pour enseigner à l'étranger, j'ai pu enseigner au lycée, à la fois en france et en norvège, à part qelques cas, ça s'est plutôt bien passé avec les élèves.
Mais comme l'a dit Sei, c'est aussi une question de chance, par rapport à l'endroit où tu tombes...

[Tammy]

Moi je vais tenter de faire prof d'anglais lol ^^
Oui c'est clair c'est tendu d'être prof au collège, avec des petits collégiens immatures qui ne te respectent pas tz

[Arlia]

Admirez un peu la technique du remontage de topic vieux de six mois. Je sais vous êtes ébahis.

Bon, je me pointe pas ici pour rien hein

Voila donc ma présente situation :

Je suis actuellement en seconde année de Bts Tpil. Mesure Physique, en gros. J'ai choisi cette orientation un peu au hasard il faut dire, car jusqu'à présent j'ai jamais été foutu de choisir un métier.

Bon, il s'avère que la brume disparait peu à peu. Et je me dis que devenir Prof n'est certainement pas si mal. Mon objectif serait donc de devenir professeur de physique-Chimie ( Fort étonnant n'est-il pas ? ), en collège ou en lycée.

Mais, ahaha. Je ne sais pas du tout ce que je dois faire. C'con hein ?
D'aprés ce que j'ai pu comprendre d'après divers site internet ( Je vais me rendre au Cio dans l'après midi, quand la flotte arrêtera de tomber ), il faut passer un Capes pour cela.

Donc si j'ai bien compris, le Capes est un concours, débouchant si on l'obtient aprés avoir abattu les autres candidats sur une année de formation au terme de laquelle il est possible de devenir professeur.

Arrêtez moi si j'ai dis une connerie pendant les lignes précédentes.

On en vient donc à ce que je suis censé faire pour l'an prochain. Le capes serait donc un concours auquel on peut s'inscrire quand on a le niveau Licence ? Il me faudrait donc faire, dans mon cas, une license dans la physique ou la chimie ?

D'après ce que j'ai pu voir dans le merdier des forums que l'on trouve sur Google, des changements à ce propos serait prévu à partir de l'année 2010. Des informations la dessus ?


Si quelqu'un prend la peine de me lire et me réponde, il aura le droit à mes remerciements qui sont sans doute la meilleure chose qui puisse arriver à toute l'humanité

Je repasserais plus tard

[Isumi]

Jusqu'ici, tout va bien.
Pour enseigner la physique chimie, il te faut bien un capes du même nom ^^
Tu peux faire une prépa', selon certaines conditions (les places risquent d'être plus "chères", ou le passer en "candidat libre" (même si on est bien d'accord, il te faut une prépa' perso du type CNED par la fac...)

Bref, après, tu as tué tes concurrents tu as ton concours : tu es donc en formation (les Instituts Universitaires de Formation des Maîtres ne sont plus des organes "indépendants", la formation est maintenant assurée par l'université seule et pour 2 ou 3 jours de "théorie" tu as encore ton "stage en situation" dans un collège ou un lycée, avec un prof tuteur, des "inspections conseil" de tes formateurs, un mémoire à faire, ect...)

Là où ça se complique, c'est au niveau de l'accessibilité au concours.
Il y a en effet une réforme en cours pour que du niveau licence, on passe au niveau master !
De bac +3 à bac +5 donc...

J'espère que tu es déjà en licence, car dans ce cas, tu passes entre les mailles du filet, dans une session dite transitoire.

Bon, des infos plus claires ici

Voilà voilà...

[Uzuki]

Tout a été dit plus haut, cependant il te faudra au préalable faire une demande de validation d'acquis pour déterminer en quelle année de fac entrer selon ton niveau, dossier à effectuer en général aux alentours du mois de Mai dans l'université que tu souhaites intégrer.

[Arlia]

Merci à vous deux de vos réponses.

C'est effectivement ce qu'on m'a dit aussi, quand j'ai pris contact avec l'université pour la demande de validation d'acquis. Faudra donc que je corrompe du monde vers la fin de l'année scolaire.

Sinon je ne suis pas encore en licence, ce qui fait que je vais bien devoir aller jusqu'à bac + 5.... ( Je ne m'étendrais pas sur l'utilité d'aller jusque là pour enseigner au niveau collège ou lycée... )

Si j'intègre la seconde année de licence, ca sera déjà bien

[Numara]

Et après il te faudra ensuite réussir le concours... encore du pain sur la planche et pour ceux et celles qui penseraient qu'être prof, c'est la panacée, étant moi-même compagne d'un prof, j'ai une profonde admiration pour le corps enseignant ! En effet, on commence en général à 18h dans un collège ou Lycée pourri (de préférence en ZEP puisque les affectations sont aux nombres de points obtenus avec les années d'expérience et que les derniers arrivés sont les moins bien servis...) et ses fameuses 18h sont juste les heures de présence devant élèves. Il faut compter le double de travail chez soi. Ensuite, si le salaire n'est pas trop mal, si on fait le calcul, finalement, les profs sont les cadres les moins bien payés. et enfin, les obligations professionnelles comprennent également les corrections des examens (en juillet), les salons étudiants le week-end du type "studirama", les réunions parents-profs le samedi, les conseils de classe en dehors des heures prévues de présence dans l'établissement... bref, un grand lot de joyeusetés... Evidemment, cela n'en reste pas moins un très beau métier mais en aucun cas il faut le considérer comme une voie de garage car il demande de l'investissement personnel et une véritable motivation à vouloir transmettre son savoir et, il faut le dire, à garder nos gosses pendant la journée (lol). En bref, prof, c'est un véritable sacerdoce :p Il faut donc vous intérroger sur le "pourquoi je veux devenir prof". Voilou ^^

[Mikazuki]

Considérons tout de même qu'il y a des avantages à devenir enseignant... Même si je me doute que celles-ci ne se déroulent pas intégralement sur une plage, les profs jouissent de deux mois de congés en été, plus les sept semaines et demi pendant l'année. Je trouve que c'est déjà un point particulièrement intéressant.
Et puis, tout ce qui est préparation de cours, etc, ne nous voilons pas la face : à moins que le programme change ou que l'on se retrouve avec des classes de différents niveaux d'année en année, il n'y a que lors d'une seule année où l'on doit préparer l'intégralité des leçons hein !
De plus, ma prof' de philosophie de l'année dernière m'a affirmé qu'elle et tous les autres profs faisaient des heures supplémentaires lorsqu'il y avait des conseils de classe, mais qu'il y avait tout de même une prime à ces occasions.
Je l'admets, enseigner en ZEP ne doit pas être facile.
Mais bon, ne venons pas pleurer sur le sort des professeurs non plus... Ils ne sont pas tous miséreux (en particulier les profs de classes préparatoires mais chut).

[Kotus]

Mikazuki a écrit:

Considérons tout de même qu'il y a des avantages à devenir enseignant... Même si je me doute que celles-ci ne se déroulent pas intégralement sur une plage, les profs jouissent de deux mois de congés en été, plus les sept semaines et demi pendant l'année. Je trouve que c'est déjà un point particulièrement intéressant. Et puis, tout ce qui est préparation de cours, etc, ne nous voilons pas la face : à moins que le programme change ou que l'on se retrouve avec des classes de différents niveaux d'année en année, il n'y a que lors d'une seule année où l'on doit préparer l'intégralité des leçons hein ! De plus, ma prof' de philosophie de l'année dernière m'a affirmé qu'elle et tous les autres profs faisaient des heures supplémentaires lorsqu'il y avait des conseils de classe, mais qu'il y avait tout de même une prime à ces occasions. Je l'admets, enseigner en ZEP ne doit pas être facile. Mais bon, ne venons pas pleurer sur le sort des professeurs non plus... Ils ne sont pas tous miséreux (en particulier les profs de classes préparatoires mais chut).

Mikazuki, je ne te connais pas encore bien, donc je vais éviter de me permettre de te juger. Cependant, j'ai l'impression que tu nous sors un bon gros cliché des fonctionnaires et de l'educ' nationale, là.
Le coup d'une année où on doit préparer l'intégralité des leçons, j'ai envie de te dire oui et non. Cela dépent vraiment des matières, en histoire, voir plutôt la géo, les chiffres, les données sont sans cesse réactualisées, les programmes changent souvent. (Intervalle de 3-4 ans)
Alors c'est sûr, dans des matières comme le latin ou autre langue morte, c'est sûr que réactualiser tes cours...Bref.
Et puis être prof' franchement, en plus d'avoir des copies à corriger des cours à préparer, c'est aussi un boulot d'éducateur! Faut pas préparer ton capes en te disant, je vais préparer mes cours et puis basta.
Les jeunes profs sont plus souvent mutés en Île-de-France dans des établissements difficiles que dans des etablissements "sympa".
Faut pas se voiler la face, et dans tout ça je ne parle pas du salaire d'un prof, car même si celui ci est moyen en début de carrière, la fin est souvent aisée et je ne parle pas des profs de prépa, etc...
Et puis, le mythe des profs que ne font pas beaucoup d'heures etc...Il faut déjà passer l'aggreg', et réussir!

[Mikazuki]

Les devoirs à corriger, je suis d'accord, c'est le lot de toutes les années. D'autre part, je n'exclus pas la possibilité d'un changement de programme, mais les bulletins officiels de l'Éducation Nationale ne changent pas du jour au lendemain. S'ils se produit des modifications, même dans le cas du prof' d'histoire-géographie, l'ensemble de ses polycopiés ne devient pas désuet, et je maintiens donc ce que j'ai dit précédemment à ce sujet, le gros du travail personnel est à fournir lors de sa première année avec une classe d'un certain niveau.
Maths, Physique-chimie, SVT, Histoire-Géographie... Il n'y a qu'en langues vivantes ou en Français-Littérature que cela n'est probablement pas le cas.

Kotus a écrit:

C'est aussi un boulot d'éducateur !

Si tu penses à l'attitude du prof', je précise que je n'ai jamais affirmé qu'un enseignant devait se contenter de réciter une leçon, pour ainsi dire, devant une classe et qu'il y avait une manière pour captiver son auditoire.
Mais si ce n'est pas cela, alors que veux-tu dire par là ?

Ceci dit, je tiens à préciser également que je ne considère pas le métier d'enseignant comme la planque idéale par les avantages - indéniables - qu'induit la profession...

Je désire moi-même devenir prof', mais certainement pas pour une question d'argent. Ceux qui me connaissent dans la vraie vie savent bien que ce serait pas du tout ma préoccupation majeure au moment de choisir une carrière. Si j'aimerais enseigner, c'est pour le contact permanent avec des élèves intéressés (quand bien même ils ne seraient que trois dans une classe de trente), pour le sentiment de contribuer à la formation des citoyens de demain.

C'est en cela que je le redis, l'enseignement c'est une belle carrière, et je préférerais mille fois mieux être à la place d'un prof' malgré tous les moments de lassitude que cela pourrait éventuellement induire, qu'à la place d'un ouvrier ou d'un technicien, forcé de travaillé dans le bruit, la saleté, etc...

[parpaing]

Mikazuki a écrit:

Si j'aimerais enseigner, c'est pour le contact permanent avec des élèves intéressés (quand bien même ils ne seraient que trois dans une classe de trente), pour le sentiment de contribuer à la formation des citoyens de demain. C'est en cela que je le redis, l'enseignement c'est une belle carrière, et je préférerais mille fois mieux être à la place d'un prof' malgré tous les moments de lassitude que cela pourrait éventuellement induire, qu'à la place d'un ouvrier ou d'un technicien, forcé de travaillé dans le bruit, la saleté, etc...

Tiens c'est drôle car j'avais exactement la même motivation que toi Mika. Moi aussi l'argent n'était pas une de mes préoccupations principales, et c'était plus pour le côté humain / tous les jours différents, que je voulais devenir prof. Dans mon esprit, les profs sont des gens qui portent une lourde responsabilité: l'éducation des nouvelles générations ce n'est pas rien.

Après il faut relativiser un peu. Tu verras que dans la pratique ce n'est pas aussi simple, et il est parfois très difficile d'avoir la moindre emprise sur certains élèves. L'an dernier j'étais prof principal, j'ai tendu X fois la main à certains élèves qui ne l'ont jamais saisi ou qui ont fait semblant de la saisir pour la laisser retomber par la suite, et ça je peux te dire que c'est extrêmement frustrant.

Pour les grandes vacances, on est d'accord, c'est assez royal. Pour toutes les petites vacances par contre je ne suis pas vraiment d'accord car ce ne sont jamais des vacances. Tu verras, la plupart des profs font un max de contrôles juste avant et passent leurs vacances à corriger. Tu dois aussi bien évidemment continuer à bosser tes cours.

Honnêtement, je me sers un peu du manuel, mais majoritairement de cours que je prépare moi même (ce qui est plus stimulant pour moi, comme mes élèves). J'ai en effet réutilisé quelques séquences faites l'année dernière et je continue à en faire de nouvelles. Les raisons sont multiples:

Même niveau mais classe au résultats complétement différents. Par exemple ma 4ème LV2 de l'année dernière était excellente. A ce moment de l'année ils connaissaient déjà le prétérit. Ceux de cette année sont nuls à chier et de petits branleurs. Bah tu peux te douter qu'il a fallu que je revoie entièrement mes plans et ma progression.

Après, je suis peut être une grosse merde en tant que prof, mais toutes mes préparations se déroulent pas à la perfection (étrange hein? ) donc si je m'en ressers tu peux être sûr que je revois ce qui n'a pas marché, j'essaie de changer des choses, apporter des corrections etc.

J'aime bien mon boulot et j'aime bien travailler pour mes élèves. Quand j'ai une classe que j'apprécie avec laquelle je peux bien bosser, ça me boost, et donc ça me donne encore plus envie de leur concocter des trucs aux petits ognons. Du coup la je me suis lancé dans la confection d'une séquence sur l'espionnage avec mes 5ème, avec travail sur un trailer de James Bond, un travail sur l'histoire de 007, puis sur tous les gadgets possibles et inimaginables etc. Tout ça pour qu'ils finissent par me créer de toute pièce un agent secret avec ses propres gadgets, son code de conduite à respecter etc. Bah rien que la recherche de supports à exploiter, ça prend un temps fou,e t après il faut encore tout mettre en oeuvre.

Alors après c'est sûr qu'un prof de maths, il peut potentiellement ressortir le couvert tous les ans. Mais quand moi je prépare un truc sur l'élection d'Obama et McCain, forcément, je sais très bien que toutes les heures que j'ai mis la dedans, ce sera pour une seule séquence que je pourrai mettre à la poubelle à la fin de l'année car elle n'aura plus de sens si je la refaisais l'année suivante.

Bref, je pense pas voler mon salaire, et je pense que j'ai étudié un peu plus durement qu'un ouvrier qui bosse à la chaîne, donc je m'estime clairement pas privilégié.
Quand on rentre le soir, on est encore obligé de bosser, et le problème c'est que plus ça va et plus on demande aux profs de s'impliquer, de donner de leur temps libre, etc, et évidemment, juste pour la gloire, sauf que dans ce métier, que tu sois un prof de merde où un excellent prof, finalement, ça changera pas grand chose à ta carrière et ça ne changera que très marginalement ton salaire.

[Wang tianjun]

Je suis assez d'accord avec Mika sur le fait que les programmes ne changent pas radicalement chaque année.

Il est vrai qu'il y a des débats d'historiens sur bien des points, mais els grandes lignes de l'Histoire qu'on enseigne ne changent pas radicalement.

C'est pas demain la veille qu'on apprendra en cours que C'est la Pologne qui a envahi l'Allemagne Nazie

Il faut rester honnête, les cours d'histoire géo de l'éducation nationale restent superficiels dans la mesure où on va à l'essentiel, et où on ne rentre pas trop dans les détails, sinon, il serait impossible de boucler le programme.

L'Histoire peut être très riche, et tu sais comme moi que travailler sur la simple Histoire de l'URSS (donc un seul pays sous moins d'un siècle),pourrait requérir une vie entière de travail sans que ça ne soit suffisant pour tout traiter tellement le sujet est vaste.

Regardons tout les ouvrages divers et variés qui existent sur le IIIe Reich sous tout ses aspects, alors que ça n'a duré que 12 ans !


Bref, pleins de détails changent, mais les grandes ligne de ce qu'on souhaite apprendre aux élèves reste le même.
Quand je compare mon manuel d'histoire avec un des années 80, c'est essentiellement le même programme.



par contre Mika... si tu souhaites enseigner à des élèves motivés, tu pourrais être déçu.
Les math, c'est une corvée pour beaucoup (dont moi) et si les élèves sont en cours, ce n'est pas toujours réellement par choix...
Putain, si on m'avait laissé la possibilité de ne pas aller en Physique et que j'avais la peur de la note à la fin, je n'aurai eu aucun remord à sécher.

[Bro]

[Kenshiroh]

J'ai tenter l'agreg d'économie gestion... et c'est tres tres loin d'etre donner, il faut au minimum un an de préparation, le passer avec une session intensives de quelques mois ne suffit pas.

Par contre j'avais réussi la PLP2, mais bon ca c'est pas du tout compliqué, par contre c'est pour enseigner en lycée pro.



@au posteur initial : qu'est ce qui te plaît pas en compta (simple curiosité) ? est ce une voie de garage que tu avais choisi ?