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. Cinquième étage

 
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Mikazuki
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MessagePosté le: Ven 13 Mar 2009, 9:33 am    Sujet du message: Cinquième étage Répondre en citant

Bonjour à tous !

Je ne suis pas superstitieux, mais la date du vendredi 13 m'avait inspiré pour vous montrer ce texte que j'ai achevé mercredi dernier. Ah mais mince, je viens de donner l'indice quant au thème... Smile
Bon, comme d'habitude, j'espère que vous éprouverez bien du plaisir à prendre connaissance de cette petite histoire pas très longue. Merci d'avance pour vos remarques, suggestions, critiques qui m'aideront, j'en suis convaincu, à progresser. Smile
Bonne lecture !



Cinquième étage


Baignés dans la lumière artificielle, les murs de la chambre se teintent d’une assez mystérieuse couleur bleue, entre le turquoise et le violet. Il est difficile d’affirmer dès le premier coup d’œil si ce ton est clair, ou foncé. Au contraire, il se revêt d’un aspect métallique froid, presque morbide. Je sais pourtant ces murs recouverts de jaune. Il est étrange de les découvrir sous une telle apparence. La source de cette lumière artificielle est un lumignon près du lit, continuellement allumé. Pour ma part, je pourrais certes actionner l’interrupteur mural, et provoquer ainsi l’illumination du grand luminaire, au centre du plafond. Mais je sais que je ne le ferai pas.

Je pourrais aussi m’étendre sur le lit et m’endormir sur le sommier confortable et moelleux propre à l’hôtel. Mais je sais que je ne le ferai pas non plus. La porte du balcon est demeurée entrouverte. Je m’en approche à petits pas, lentement, tout à fait lentement. Après quelques instants, voire quelques minutes en considérant la très faible vitesse de mes mouvements, me voici derrière une sorte de cage métallique, que l’on pourrait toutefois enjamber sans éprouver tant de difficultés.

Me trouvant aux étages supérieurs de l’immeuble, mon regard se porte naturellement sur la porte d’entrée du rez-de-chaussée. Elle est illuminée de tous les angles. Il y a beaucoup de nuances. Du rouge, du jaune, du blanc, et le bleu de mes murs. L’endroit est tout à fait attrayant pour qui ne connaît pas exactement les lieux.

Ce lieu, ce n’est pas seulement un hôtel. C’est un casino. Un casino-hôtel, comme on en trouve par dizaines du côté Ouest des Etats-Unis. L’établissement idéal pour quelque patron soucieux de retenir le plus longtemps possible ses clients. Avec le recul dont j’ai manqué il y a une semaine, je crois, je peux affirmer, convaincu, mais aussi avec dégoût et colère mêlés, que cet immeuble est tout simplement un piège monstrueux, la tour du pêché !

Je me suis également laissé prendre au jeu.

J’y ai même tout perdu.

Je suis arrivé dans cette ville en tant que directeur financier d’une grosse entreprise… Pourquoi ai-je été logé à pareille enseigne ? Pourquoi ai-je été tenté de miser le premier jeton sur un chiffre compris entre un et trente-six ? Et comment suis-je tombé dans cette spirale infernale du hasard ? J’ai perdu ma première mise ; j’ai donc été tenté de la regagner. Mais ma tentative fut de nouveau infructueuse. J’avais déjà perdu vingt dollars… Cela n’était encore rien à côté de ce que j’ai perdu, ce soir. Poussé par une rage de gagner, j’ai misé, encore une fois, j’ai allongé des sommes plus grandes les unes que les autres. C’est ahurissant, ahurissant de constater qu’il n’a pas fallu davantage pour que le démon de la roulette compte un esclave de plus. Et tout cela, au milieu de quelques hôtesses de charme qui avaient des liens avec le croupier. Ah ! Que je suis tombé bien bas : et j’ai honte, oui, j’ai honte !

Curieusement, mes souvenirs sont assez flous entre ma première et ma dernière mise, hormis le fait que, abusé, drogué par le jeu, j’ai vendu tout ce que je possédais, même ce que j’avais de plus cher, matériellement comme moralement. Ou presque. Il me reste une photographie de mon épouse et de ma fille – non, je me souviens, je l’ai vendue pour quelques centimes supplémentaires. Paradoxalement, j’ai conservé précieusement mon alliance. J’ai également gardé le costume nécessaire pour passer la porte de la salle de jeu, qui s’imbibe de jour en jour de sueur, ainsi qu’un stylo. Et mon destin. Mais quel destin, au juste ?

J’ai vendu et revendu. J’ai dilapidé mes économies, remis à zéro mon compte bancaire. Il fallait satisfaire ma terrible soif de jetons. J’ai perdu et je me suis perdu. Au commencement, j’agissais de manière à rembourser mes pertes, mais ensuite, c’était aussi, et surtout, pour les sensations grisantes éprouvées par le joueur passionné, pour les tensions que l’on ne ressent nulle part ailleurs que devant cette table, le suspense devant la trajectoire incertaine et hésitante de la bille sur le plateau circulaire noir…

En revanche, je me souviens avec précision de ma dernière mise. L’habituel « Faites vos jeux, mesdames et messieurs ! » lancé par le croupier. Le bruit des jetons qui s’amassent sur le tapis vert. Le regard concentré et crispé des badauds espérant, comme si leur vie dépendait de l’encoche dans laquelle s’enfoncerait la bille.

J’ai personnellement misé sur le cinq. J’ai moi aussi espéré, mille fois espéré, entendre l’homme en veston noir déclarer « Cinq, rouge, impair et manque ! ». Après le « Rien ne va plus ! » j’ai vu, comme à l’accoutumée, la petite balle blanche se mettre en mouvement. Je l’ai fixée. Mon honneur dépendait de cet ultime tirage. Et le tirage m’a condamné. J’ai pourtant sursauté à chaque choc de la bille contre les obstacles rectilignes qui se dressaient régulièrement sur le plateau. Mais à un moment, lorsque la vitesse faiblissait, j’ai compris que tout était perdu. Ce n’est qu’à cet instant que je me suis rendu compte de la misère que j’avais créée, autour de moi et pour moi, et de laquelle je ne peux plus ressortir.

« Zéro ! » clama le croupier.

La bille d’ivoire s’était en effet logée dans la seule encoche de couleur verte du plateau. Pas de gagnant, l’établissement récupère les jetons de tous les joueurs. Mes derniers cercles boisés s’éloignent de moi, happés par le râteau du commissaire. Je reste hébété. Zéro. C’est comme un signe du destin, à l’heure où l’on annonce la fermeture de la salle de jeu. L’intégralité des mises disparaît, j’y vois là un symbole. Au final, il n’y a jamais d’autre gagnant que le croupier, peut-être aussi les propriétaires des casinos.

Ce n’est pas un hasard si j’ai choisi le numéro cinq, lors de ma dernière mise. J’ai en réalité interrogé le destin. Je me suis adressé au démon de la roulette. « Que dois-je faire ? » Telle était ma question, celle d’un homme en perdition. Mais le démon ne m’a pas répondu. Le démon est parti. Il n’y avait plus rien à corrompre en moi.

Numéro cinq. Ma chambre d’hôtel se trouve au cinquième étage de l’immeuble. Sur ce balcon, je me trouve donc à un niveau supplémentaire du pavé citadin. Six au total. Cela représente, à raison de trois mètres en moyenne par étage en incluant le plafond, une hauteur de dix-huit mètres. Ce qui équivaut également à trente-six coudées, ou encore cinquante-six pieds. Que de chiffres, que d’abstractions ! Il faut parler de ce dénivelé plus concrètement. Je m’appuie au balcon du cinquième étage, et j’étudie ici même la fiabilité d’une solution qui, de cette hauteur, me permettrait de renoncer définitivement à mes responsabilités. Absolument toutes mes responsabilités.

Mes mains prennent appui sur la rambarde de l’espace. Je les sens tremblantes. Il fait nuit dehors, il doit être entre deux et trois heures du matin. Les délicieux rayons de la lune éclairent d’une douce lumière bleutée mes membres supérieurs.

Il fait aussi froid, bien que la saison soit belle et que je n’aie pas ressenti le moindre coup de vent.

Par la force de mes bras, mes pieds se soulèvent. Ils ne sont plus en contact avec les carreaux blanchâtres de cette petite place rectangulaire, désormais. Je ferme les yeux. J’étudie, je réfléchis. Quelque chose me retient-il encore ? J’ai interrogé le démon de la roulette. Il a finalement daigné me répondre. Il m’a dit : zéro. J’ai avalé ta fortune et je t’ai pris, toi. Je t’ai perverti grâce à mon invention. Je t’ai corrompu. Oserais-tu avouer tes faits et gestes à ta famille ? Plus rien ne te retient : saute !

Mais quelque hésitation me retient de produire ce spasme violent et décisif, qui aurait pour premier effet une renverse de l’autre côté de la rambarde. Je réfléchis à nouveau. Peut-on s’en sortir, si l’on se bat contre ses problèmes ? Peut-être. Quant à moi, je ne sais pas… Je manque certainement de courage.

L’esprit diabolique n’est pas parti. Je ne le vois pas mais je le sais présent. Il n’est nulle part, et partout à la fois. Je l’entends. Il a la voix du croupier. Il dit : « Trente-cinq, noir, impair et passe ! ». Il chante à tue-tête : « Trente-deux, rouge, pair et passe ! ». Il crie : « Treize, noir, impair et manque ! ». Cette voix me hante désormais. Va-t’en. Va-t’en ! Je t’ordonne de partir ! Mais il n’y a rien à faire. « Deux, noir, pair et manque… »

Je vois qu’il n’y a plus rien à faire. Je vois que je suis condamné. Je regarde en bas. J’ai peur. Vertige. J’ai le vertige. J’ai toujours eu le vertige. Le sol. Le pavé m’appelle. Il y a la fraîcheur. Ce souffle. Ton souffle. J’ai froid. Je tremble. Je claque des dents. Tout est étrange, tout est hostile, tout est terrifiant. Je tremble et mes mains tremblent. J’ose encore. Regarder en bas. Je vois. C’est un tourbillon. Un dangereux tourbillon. Le tourbillon m’emporte. Condamné ! Je suis condamné !

Je sens ton souffle. Tu es devant moi. Tu es en dessous de moi. Je sais. Je sais qu’un jour ou l’autre nous nous ressemblerons. Tout le monde me ressemblera. Tout le monde te ressemblera. Je le sais. Pourtant j’ai peur. Ah ! Et devant moi, il ressurgit, le démon ressurgit ! Je le vois ! Il ouvre la bouche, je ne veux pas ne veux pas l’entendre ! Je le vois ! Il a le visage du croupier ! Il a le sourire du croupier ! C’est le croupier ! Va-t’en ! Va-t’en ! Pars !

J’ai peur. Je tremble. J’ai si peur. Mais en bas… Il y a tes bras. Je regarde tes bras. Je cours vers tes bras. Je tombe dans tes bras.

J’ai vraiment tout perdu.
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Saharienne
Sennin


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MessagePosté le: Sam 14 Mar 2009, 9:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

5ème étage.

Idée de couleur interessantes, quelques phrases se perdent :
ma part, je pourrais certes actionner l’interrupteur mural, et provoquer ainsi l’illumination du grand luminaire

Pareil, bonnes idées/phrase mais quelques formulations qui me semblent maladroites
: Après quelques instants, voire quelques minutes en considérant la très faible vitesse de mes mouvements,

-la tour du pêché !
J'aime pas ce genre de mots xD

Mais l'idée de casino péché j'aime, mon frère a eut de gros problème de dépendance aux jeux ^^
La progression, pour m'y connaitre un peu donc, est un peu brutal, surtout que le jeu ne varie pas, reste la roulette, dommage.
Joli traitement des sentiments, y'a des phrases inutiles, qui apporte rien, qui choque pas, hors là le lecteur veut qu'on le choque un peu, une tite décharge, comme le joueurs.
Joli idée du retours au casino.
Sucide en vu, un peu cliché.
Jolis phrase de fin.
(l'avant dernière).

Alors mon avis général.
Contraste.

De jolies idées, tournures mais empêtré dans des lourdeurs et des clichés, tant au niveau de certains choix de mots que de la situation.

Tu peux faire mieux, tu l'as prouvé.

Le rythme lui n'est pas évident, y'a une bataille.
Entre le tiens que j'aime bien dans des textes comme 2019 et celui que tu as pris dans ton dernier textes rubrique exercice et qui n'est, à mon avis, pas le tiens quoique bien utilisé.

Un recherche, je penses que ce texte est un croisement et qu'au fond peu importe le sujet, c'est surtout une recherche de ce que seront tes futurs textes mais j'attend mieux au prochain ^^
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Mikazuki
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MessagePosté le: Dim 15 Mar 2009, 3:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ainsi, tu ne l'as donc pas aussi apprécié que "Leucocyte" ou d'autres textes récents ? Ah, dommage, je pensais pourtant que ce ne serait pas le cas, je me suis vraiment appliqué à le faire.
Au niveau des styles, oui, j'ai du mal à me décider. Entre le ton pris dans l'assassinat de Kennedy et "Cinquième étage", j'hésite. Le prochain texte, "Politique", sera plus dans mon rythme habituel, mais vu l'accueil reçu par la publication de mon texte de mardi dernier, je n'aimerais pas renoncer aux méthodes qui m'ont permis d'arriver à ce résultat. Smile
Merci de ton passage.
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Je sais pas
Criminelle du Verbe
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Localisation: T'es où ?

MessagePosté le: Dim 15 Mar 2009, 4:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah bah moi j'ai beaucoup aimé ce texte.
Certes : il y a des formules, des tournures maladroites et à retravailler ; cependant j'ai beaucoup aimé ce texte. Je l'ai lu et j'ai aimé le lire.
Ça m'a fait penser à un bouquin que j'ai étudié "Le joueur" - Dosto'.
J'aime bien les voix que tu introduis, les voix tentatrices et moqueuses et impitoyables.
Et l'idée de la roulette est excellente puisqu'elle s'apparente à la vie et au cercle vicieux du jeu.
Je voyais bien la bille comme une image du personnage malmené dans sa ronde.
'y'a aussi différents rythmes dans ton texte et c'est plaisant quand tu associes ça à des émotions tourbillonnantes.

Enfin bref, c'est sûr qu'il y a des choses à retravailler mais pour autant la lecture de ton texte est super agréable.

J'ai aimé cette phrase simple, tranchante et impitoyable :

Citation:
« Zéro ! » clama le croupier.

_________________
Fille du 17 octobre./ "Souvent, mes couplets dépriment/"

La morve est glacée d'effroi.
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Mikazuki
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MessagePosté le: Dim 15 Mar 2009, 5:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

"Le joueur", de Fédor Dostoïvski, le rapprochement était immanquable.
J'ai moi aussi lu le livre il y a ... trois ans, je crois, peut-être plus, et je me souviens surtout du personnage de la grand-mère, qui fait un peu comme le personnage de mon récit : elle essaie une fois, recommence, devient dépendante et finit par tout vendre pour jouer, déshéritant au passage le général. C'est quand même incroyable de voir qu'elle vend quatre de ses cinq maisons pour satisfaire le démon. En fin de compte, lorsque l'on arrête de jouer, c'est parce qu'on est fauché, c'est tout.
Je ne devrais peut-être pas te le dire. Mais il y a une chose qui est amusante, c'est que tu évoques des aspects de mon texte auxquels je n'avais même pas pensé : "Je voyais bien la bille comme une image du personnage malmené dans sa ronde" notamment.
Content que cela t'ai plu Je sais pas. Sincèrement content. Merci à toi. Very Happy


Dernière édition par Mikazuki le Mar 21 Avr 2009, 4:05 pm; édité 1 fois
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Tsoing
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MessagePosté le: Lun 16 Mar 2009, 11:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

De mon côté j'ai bien aimé ce texte. Smile

Au début j'ai eu un peu de mal à entrer dedans, notamment par les formules "bizarres" qui y sont placées. Un peu lourdes parfois. 3 petites fois, 3 petits détails.
("Je sais pourtant ces murs recouverts de jaune."
"que l’on pourrait toutefois enjamber sans éprouver tant de difficultés."
"Elle est illuminée de tous les angles.")
M'enfin je ne vais pas trop chipoter dessus. ^^

J'ai commencé à bien aimé ton texte à partir du 4éme paragraphe.

Ton image d'esclave et de démon, j'aime bien la manière dont tu t'es pris pour les écrire. Surtout le passage où le démon refuse de répondre parce qu'il n'y a plus rien à tirer de l'homme. Après lui avoir tout pris il le délaisse, j'adore ce moment du récit.

J'aime bien aussi le croupier. Nous on ne le voit que comme une statue qui sort des nombres et des couleurs, mais il représente tellement plus pour le personnage ! Presque une obsession, une hallucination ricanante. Vraiment j'aime beaucoup.

Sinon côté rythme du texte, je rejoins l'avis de Saharienne : on sent deux rythmes différents. Comme si tu hésitais entre celui à adopter. Personellement je trouve que la transition se fait sans heurts et est assez fluide, donc ça ne dérange pas. D'autant plus que tu as utilisé l'un et l'autre aux bons moments.
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Mikazuki
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Inscrit le: 17 Oct 2007
Messages: 1245

MessagePosté le: Lun 16 Mar 2009, 9:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à toi Tsoing. Je suis très content que tu aies apprécié ce texte également, d'autant plus que voyant ces commentaires, je pense aussi au plébiscite de "Leucocyte"... Ca me transporte sur une sorte de nuage. Smile

Je comprends maintenant où j'ai insisté et là où je n'aurais pas du le faire, grâce à vous. C'est là tout votre mérite : vous me faites progresser.

Tsoing a écrit:
Sinon côté rythme du texte, je rejoins l'avis de Saharienne : on sent deux rythmes différents. Comme si tu hésitais entre celui à adopter.


Sur ce texte, j'avais prévu les deux rythmes...
Mais sur les futurs textes - "Trafic ferroviaire", "Politique" et "Séisme" germent dans mon esprit" - je ne sais pas trop, en effet. Smile
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