. Les gens

[Poirepi]

Mon Dieu Sei ! Enfin quelqu'un qui pense comme moi !

Retravailler un texte, sauf cas spé', c'est nuire à la véritable pensée. Putain, ça me rassure quand même.
Je trouve qu'un texte à plus de charme quand il est écrit, d'un trait, sans correction autres qu'orthographiques.

La classe.

[DotA]

textes bien acides, plein a craquer d'amertume... comme dit le pétage de cable est proche et on l'attends meme si avec tes textes on (je) dirait plutot que tu vas finir par te résigner.


Franchement j'aime bien, surtout le coté un peu brouillon de tes textes, le coté pas très travaillé donne un effet de tas d'impressions prises sur le vif. On te sent réellement amer. J'crois qu'avec un texte plus travaillé et plus recherché ca t'aurait rendu plus distant, moins impliqué dans ce que tu dis ...


Et puis après ca me donne envie de faire la meme chose, chose que j'ne ferai pas, mais bon, juste pour dire que j'aime beaucoup quoi


critiques? j'suis hyper mauvais pour ca... j'sais pas écrire moi... euh... gueule plus ! x)

[Je sais pas]

C'est marrant comme tu peux passer d'un style à un autre.
(Je me rappelle de tes textes au style soutenu.)
Ça montre que tu manies la langue. C'est cool pour toi.

J'ai bien aimé lire tes textes et je suis curieuse de savoir jusqu'où tu vas pousser ça. Je ne parle pas du côté "trash" comme vous l'appelez. Mais d'autre chose.
Plus tu donnes des morceaux de textes et plus l'introspection va en gradation, en somme, plus on plonge dans les profondeurs du personnage. Un personnage très déplaisant, asocial, arrogant et humainement ordurier.
On est passé de l'aéroport à une rue etc. ; toujours dans une visée introspective, c'est bien foutu.
Parce que le lecteur a l'impression d'être un oeil intérieur qui regarde et le personnage ET les autres.

En bref, j'me demande jusqu'où tu vas aller. J'attends.

[Deblateur]

Mais merde, il n'y a donc que moi qui trouve que ça manque de subtilité quand il s'agit de conclure ?

[Je sais pas]

Euh.
T'as l'air d'être passé à côté de quelque chose : depuis le deuxième texte, il y a une nouvelle tournure : le "je" s'ouvre plus et les morceaux de textes postés se suivent : c'est une suite. D'où le fait qu'il n'y a pas vraiment de vraie conclusion à la fin de chaque texte.
Je me trompe peut-être dans ce que je dis, à Sei d'infirmer ou de confirmer.

Quant à la subtilité dont tu parles, je ne saisis pas.
Explique-toi.
De quoi parles-tu quand tu parles de "subtilité" ?

[Saharienne]

La beauté d'un texte tiens pas forcément à sa subtilité, y'a de la beauté dans les sentiments crus et parfois il faut plus s'ouvrir pour y voir de la nuance dans l'excès...
Sei jte commente ça demain promis, je voulais juste répondre à ça parce que c'est une idée de l'écriture qui me plait :p

[Je sais pas]

En tout cas, la subtilité serait très-très malvenue dans ce texte...

Sei a choisi un style familier.
Ses textes apparaissent comme étant des suites.
Donc à c't'heure-ci la subtilité... elle a rien à faire dans ce style de textes.

Tu peux pas demander de la subtilité dans ce cas-ci.
C'est brutal. Le ton employé est brutal. La subtilité serait donc une note discordante.

[Sei]

Tiens, un lectorat !


Bon, le temps est venu de faire confrontation ( avant d'aller prendre une douche, c'est vous dire l'effort de guerre)

@Déblatte.
J'ai pas envie d'y mettre de la subtilité. Faut que ce soit cru, tu comprends ?
Si je commence à mettre de la référence, du paratexte comme je le fais dans un blog, ou tout autre effet, ça sonnerait comme le dit justement JSP, discordant.
Et bon, c'est pas le but natürlich
Après, si tu veux dans la même veine, avec de la subtilité, peu importe la qualité inconstante, lis moi du Beigbeder.

@JSP.

Je pense que je vais pousser ça loin. Il s'agit de textes certes écrits depuis l'instant présent, mais je vous avoue avoir pensé un fond sémantion que. En fait, pour faire plus clair, j'avais déjà cadré le plan ( bon c'est qu'il n'y en a pas vraiment, mais la logique de mon sentiment évoluant était prévue. Arf et puis merde, tu m'as compris !)

Cela dit, ne vous attendez pas à ce que le perso tue quelqu'un non plus ou qu'il se suicide hein, ce serait bien trop simple, j'ai envie de la faire chier ce bonhomme !

La visée introspective est très naturelle cependant, je sais que je vais y aller en décrivant le sentiment, mais je ne sais pas comment ni à quel niveau/puissance. Et surtout pour cette série, si je mets de l'emphase sur quoi que ce soit. En l'occurrence, je n'ai pas mis cette dernière sur celui là.
Je pense le dire sur un ton tellement simple qu'il ne reflète que trop bien ce que je ressens, plutôt que de tomber dans des métaphores lourdes de sens ou d'autres fds.

Quant aux styles mélangés, j'adore ça, tout mêler au fur et à mesure du produit littéraire. J'aime autant changer ça que changer d'auteurs de temps en temps. A trop faire la même, on ne le fait plus pareil.
Et ça se ressent je pense.

@ Tous en même temps.

Mais pourquoi pensez vous tous que le perso va craquer ?
Je pense que si l'on y réfléchit, on pense tous tour à tour, à ce genre de choses là non ?
C'est pas que je veuille pas le faire craquer, je vais très certainement faire le contraire d'ailleurs, mais le raccourcis bien qu'étant compréhensible est je trouve trop rapide.


A plus tard pour de nouvelles aventures misanthropes !
Et merci d'avoir lu !

[Saharienne]

Tu voulais du com' tu l'auras :p

Alors même si je suspecte une bonne lampée d'autobio on va passer outre et ne pas plus en parler mouha-ha
Ton personnage déhambule, il marche, tu fais quasi aucune description et pourtant on voit très bien l'ambiance, ça c'est très agréable.
Le rythme est régulier, tu dis des choses bien crades mais à un rythme pantouflard dans mon esprit, ça calle ta vulgarité dans quelque chose qui ne choc pas autant qu'on pourrait le croire, disons que ça se suit sans heurt :p
Y'a quelque chose d'intéressant c'est l'attachement qu'on pourrait avoir, à force, avec ce personnage fufu
Parfois j'aimerais plus de... Substance tu vois ? Un peu de voc, un peu de réflexion, je sais pas, un truc à se foutre sous la dent et qui resiste un peu xD Sans pour autant être lourd et policié hein !

L'aventure m'interesse, vulgaire mais agréable, vive mais qui prend son temps pour se faire, on sent la progression, on s'interesse à son futur ti à ti... Le truc à éviter je penses, serait de te répéter, de dire dans chaque texte plus ou moins la même chose, un peu comme dans le canard enchainé tu vois ? Toute les semaines sla même chose (tabassage de politique) mais avec des textes différents...
Ca peut lasser mais jte fais confiance pour éviter ça :p

[Deblateur]

je sais pas a écrit:

Euh. T'as l'air d'être passé à côté de quelque chose : depuis le deuxième texte, il y a une nouvelle tournure : le "je" s'ouvre plus et les morceaux de textes postés se suivent : c'est une suite. D'où le fait qu'il n'y a pas vraiment de vraie conclusion à la fin de chaque texte.

Oui, merci Tata, j'avais remarqué, mais c'est pas cette image du texte dont je parle ...

Quand j'ai dis subtilité, j'aurais du souligner le quand il s'agit de conclure derrière.

elle sais pas a écrit:

Quant à la subtilité dont tu parles, je ne saisis pas. Explique-toi. De quoi parles-tu quand tu parles de "subtilité" ?

Ça rejoint ce que je dis la-haut, en fait, je trouve que Sei', fais très mal la transition, entre ces textes, rien n'introduit l'autre qu'il fera plus tard, ça me turlupine dans le coin du cerveau, je suis stréssé quand j'aperçois ça en fait.

La mandiante des livres a écrit:

La beauté d'un texte tient pas forcément a sa subtilité, y'a de la beauté dans les sentiments crus et parfois il faut plus s'ouvrir pour y voir de la nuance dans l'excès

Là encore Saha, j'ai jamais dis que les textes du prof' manqué de beauté, bien au contraire, si tu lis mes commentaires, j'ai étais agréablement surpris pour son dernier texte ... Et je lui dis haut et fort.

[Sei]

Ce soir, sans raison apparente, en tant qu'inconstant mental et hébéphrène notoire, je me sentais bien.

J'avais vu maintes fois des soirées passer sans la moindre émotion, sans le moindre mouvement et seulement emplies d'ennui.
D'ennuis. Plus ou moins incommensurables, passants, longs courts et en circonstances dépendantes forts ou faibles.

Mais ce soir était différent. Je savais que cette nuit ne durerait pas longtemps, ainsi décidais-je pour une fois depuis des ans d'apprécier le moment.
Je me faisias mon Carpe Diem à ma façon, chose que je suis incapable de faire en temps normaux.
J'avais plusieurs fois auparavant réussi à aimer ou à moindre mesure apprécier, mais ce soir était différent. Tout simplement normal pour le commun des mortels, risible de naïveté pour les plus sociables d'entre vous, mielleux même pour moi, pour faire court, j'aimais bien cette soirée.
Un chant martial en allemand pour fond sonore, mes quelques réseaux sociaux subsistants m'avaient ouvert des portes jusque là fermées.
Une petite brise presque estivale que j'arrivais peu ou prou à sentir depuis ma fenêtre fermée.
J'humais quand même l'odeur du linge de dehors, celui que j'avais mis à étendre tout à l'heure.
Je me sentais fort et haut, en forme et heureux, j'en profitais, pour une fois. Je ne me sentais pas sale et bas, ni harassé ou opprimé par le monde de tous les jours comme tous les jours. Et fait je n'y prêtais guère attention, je laissais pour une fois mes problèmes sur le paillasson avec lequel j'essuie mes chaussures.

Et j'attendais prêt à en découdre le matin de demain, où je perdrai tout ce qui m'est donné à ce soir.
Je l'avais retrouvée, celle qui ne m'a laissé qu'un seul regard, ou peut être deux qu'en sais je, elle était là, presque palpable, figée sur une photo que j'avais tant recherché, celle qui m'avait laissé un peu d'argent au creux de ma main tremblante, qui m'a décroché un sourire sincère, qui m'a rendu content de me faire marcher un peu, de me faire sortir et d'avoir la verve sociale, pour une fois.

Celle qui avait porté l'uniforme que j'aimais, le bleu de travail que je n'abhorrais pas cette fois là.
Elle était telle une statue figée dans un mouvement sec et enjoué, sincère et authentique. J'appréciais le moindre détail de la photo, que j'avais cherchée si longtemps, pour ne pas devoir croiser un vrai regard honnête avec les sentiments qu'il y aurait eu avec. Je constatais ce que je savais déjà, elle était très belle, grâcieuse et remarquable.
Alors que je ne connaissais même pas son nom, qui n'avait été inscrit sur un papier que j'avais immédiatement jeté, j'avais droit à toute sa vie rien que sur cette prise.

Je me suis dit, avec cette contemplation, de laisser le reste ailleurs et d'imprimer cette petite nuit dans ma mémoire.
De toute façon, je n'aurai qu'a aller traverser la rue d'en face pour aller la revoir. Je lui disais déjà à demain.
Et je me couchais, léger, tranquillisé et apaisé.
Pour une fois.

[Quentin29]

Pas évident, je trouve, d'émettre une critique sur un texte écrit par une personne ayant un niveau d'étude et des connaissances en littérature tels que les tiens, Sei ( pour des raisons de non compréhension du texte, du style, des effets recherchés...). Mais bon comme tu l'as dis, il me semble, l'écriture est une affaire de goût et aussi de qualité intrinsèque personnelle.
Alors... tu aura droit à mon avis. =)

J'ai mis du temps à lire ton texte, à le comprendre, et même maintenant je ne suis pas sur d'avoir saisi tout les éléments de l'histoire. Celle d'un homme instable mentalement, schizophrène, qui au contraire de d'habitude, pour une fois se sentait bien ce soir là. Il est chez lui. Il a retrouver une photo prise certainement à son insu ( c'est ce que j'en ai déduit ) d'une jeune femme, belle et souriante, sans doute une serveuse ou une caissière. Cet homme a une vie assez déplorable, navrante, puisque sa seule source de « bonheur » ou disons plutôt de bien être, c'est cette photo et les souvenirs qui y sont rattachés, autrement dit le paiement d'une addition ou d'un ticket de caisse.

Est-ce que j'ai bien compris l'histoire?

Sinon en ce qui concerne l'écriture, j'ai trouvé que le niveau de ton texte allait peu ou prou ( merci j'ai appris quelques nouveaux mots et expressions grâce à toi! ) crescendo. La première phrase est bien, mais le deuxième et la première moitié du troisième paragraphes sont je trouve plus médiocres que le reste du texte.

Je cite quelques phrases que j'ai trouvé pas mal du tout:

Citation:

Ce soir, sans raison apparente, en tant qu'inconstant mental et hébéphrène notoire, je me sentais bien.

Citation:

Je ne me sentais pas sale et bas, ni harassé ou opprimé par le monde de tous les jours comme tous les jours.

Citation:

Et j'attendais prêt à en découdre le matin de demain, où je perdrai tout ce qui m'est donné à ce soir.

Voilà, c'est mon texte préféré de ceux que tu as posté sur ce topic. Je le trouve plus recherché et beaucoup moins brouillon que les autres.

[Sei]

Tout est calme. Reposé.
Reposant. Plat. Rien ne bouge et tout se calme, il n'y a personne.
Seule une musique que j'ai choisie donne le ton sobre et profond de cette nuit pluvieuse.
Une soirée bien vivante, quand bien même elle serait sans rebondissement.

Une soirée où je ne pensais pas à maintes choses, où je n'étais pas soumis à mes frasques philosophiques et misanthropes habituelles, j'avais coutume d'haïr, j'avais ce soir une profonde indifférence naïve et pacifique.

Le bruit des choses qui sont sans vie à côté les anime. Le tissu porte un bruit sec dans le mouvement, j'adore le bruit du tissu, il est calme, distinct, sec, mais vivant. Il se pose et repose, perd toute vie et toute utilité s'il n'est pas porté, mais n'abandonne pas la douceur qu'il nous promet si l'on prend le temps de le toucher un peu.
J'arrive aussi à aimer le bruit de la nourriture, des touches frappées de mon clavier d'ordinateur qui viennent perturber le rythme enjoué de la mélodie qui tourne derrière.

J'aime rester tranquille ce soir. Pour une fois, je ne fais pas d'esclandre et sais rester allongé sans substance pilulisée.
Ce soir, c'est un bon soir. Il n'y a personne, et c'est tant mieux. Je ne suis pas dérangé au téléphone. On ne m'appelle plus depuis bien longtemps. Sauf quand il y a intérêt à défendre derrière. L'espèce humaine... Qui n'agit que par intérêts. De guerre lasse, j'avais bien fini par l'admettre, et au fil du temps ma foi, suis devenu comme eux. Comme vous. Et j'y ai gagné beaucoup, c'est vrai. Mais ce soir, je ne pensais plus à rien de toute façon. J'ai eu envie de manger un peu, je suis revenu m'allonger avec les mélodies sur mon lit d'un tissu chaud, blanc, doux, suave et accueillant.

Et le monde n'avait plus d'importance. Très sûrement jusqu'au lendemain, où j'aurai perdu toute trace de cette sensation.

[Deblateur]

T'es puissant ...

Dans le sens ou, tu retranscris une sensation bien souvent indescriptible en lecture, et c'est plus qu'agréable, c'est même vénerable.

Ce texte ne me pose aucuns soucis d'ordre " subtile "

Et j'aime beaucoup ton lyrisme, quoique pas trop poussés, mais fort apaisant à lire.

J'en veux encore Sei' !

[Sei]

Thank you.

Putain, je déteste me relire.
C'est pour ça que je suis incapable d'écrire un roman ( chose que j'ai toujours voulu faire), je déteste ce que j'ai écrit.
Faut que ça sorte sur l'instant, mais après, j'ai limite honte de ce que j'ai écrit.
Ce qui ne m'arrive pas quand je joue de la musique.

Mais c'est cool que tu aimes toi.

[Chakal D. Bibi]

J'viens de terminer la lecture de tes deux derniers textes et je les trouve...Apaisants^^ J'sors d'une interro à la con sur les NTIC (qu'est ce que j'en ai à branler?) et j'dois avouer que c'est plaisant de décompresser en te lisant

Enfin cette critique ne concerne que tes deux derniers textes, j'avais lu les premiers mais je m'en souviens plus, faudrait que je me repenche dessus ^^

[Sei]

Je regarde le monde et je vous vois.

Je regarde les hommes qui se détruisent et qui se complaisent dans leur déchéance. Je les vois s'entretuer et en être fiers.
Je regarde le monde, et me dis que les avancées que vous avez crées ne sont que des simulacres d'intelligence, des prétextes d'asservissement de vous mêmes.
Je vous regarde, avec votre technologie qui vous pollue et vous rend cons, je vous regarde dans une parfaite haine que vous méritez, vous êtes menteurs et ne conservez que vos intérêts.

Je regarde le monde, votre nature que vous faites semblant d'aimer, en y déversant des tonnes de vos saloperies, nature dans laquelle vous allez pisser au gré de vos envies. Je vous regarde vous foutre de vos propres gueules.
Vous ne valez pas mieux qu'une bouse et vous cachez derrière des principes de merde.
Vous vous battez au nom d'une religion qui vous fait battre vos femmes, qui vous fait les lapider ou les violer.
Vous n'êtes pas assez intelligents pour vous rendre compte de votre propre et profonde haine de vous mêmes et inventez l'immoralité sous couvert de son contraire.
Vous détruisez tout ce qui bouge moyennant l'injustice ou pire encore, la justice d'un dieu que vous prétendez connaître.
Les uns tant que les autres, êtes la vermine de votre monde.
Les poissons rouge ont encore fait mieux.
Vous faites chier le monde entier parce des imbéciles n'ont pas su écrire correctement un bouquin qui ne fait office au final que d'un torche-cul haineux que vous avez assimilé à son inverse, ce qui me conforte dans ma sous estime de vos trognes de fausse pureté.

Je regarde votre monde et votre exploitation de vous mêmes pour vous payer des conneries dont l'inutilité et la saleté vous sont acquises, vous savez qu'il en va de la santé de certains mais vous omettez d'admettre que quand c'est votre petite personne qui en a la responsabilité, ce n'est pas si grave au final.
Vos intérêts ne vous honorent pas et font de vous des sous merdes droguées de futilités aberrantes.

Je regarde le monde, je regarde l'humain, et je vous emmerde.

[Chakal D. Bibi]

Citation:

vos trognes de fausse pureté

J'kiff

Sympa comme texte, t'as repris l'thème classique du jugement de l'homme et c'est plutôt flex bien que tu t'attardes peut être un peu trop sur la religion ?

[Sei]

Ouais c'est un peu le but.
Je n'ai rien contre les religions, sauf peut être une en particulier, mais plus contre les hommes et de ce qu'ils ont fait.

Bref, merci du commentaire

[Yuu-chan]

Sei a écrit:

Je regarde le monde et je vous vois. Je regarde les hommes qui se détruisent et qui se complaisent dans leur déchéance. Je les vois s'entretuer et en être fiers. Je regarde le monde, et me dis que les avancées que vous avez crées ne sont que des simulacres d'intelligence, des prétextes d'asservissement de vous mêmes. Je vous regarde, avec votre technologie qui vous pollue et vous rend cons, je vous regarde dans une parfaite haine que vous méritez, vous êtes menteurs et ne conservez que vos intérêts. Je regarde le monde, votre nature que vous faites semblant d'aimer, en y déversant des tonnes de vos saloperies, nature dans laquelle vous allez pisser au gré de vos envies. Je vous regarde vous foutre de vos propres gueules. Vous ne valez pas mieux qu'une bouse et vous cachez derrière des principes de merde. Vous vous battez au nom d'une religion qui vous fait battre vos femmes, qui vous fait les lapider ou les violer. Vous n'êtes pas assez intelligents pour vous rendre compte de votre propre et profonde haine de vous mêmes et inventez l'immoralité sous couvert de son contraire. Vous détruisez tout ce qui bouge moyennant l'injustice ou pire encore, la justice d'un dieu que vous prétendez connaître. Les uns tant que les autres, êtes la vermine de votre monde. Les poissons rouge ont encore fait mieux. Vous faites chier le monde entier parce des imbéciles n'ont pas su écrire correctement un bouquin qui ne fait office au final que d'un torche-cul haineux que vous avez assimilé à son inverse, ce qui me conforte dans ma sous estime de vos trognes de fausse pureté. Je regarde votre monde et votre exploitation de vous mêmes pour vous payer des conneries dont l'inutilité et la saleté vous sont acquises, vous savez qu'il en va de la santé de certains mais vous omettez d'admettre que quand c'est votre petite personne qui en a la responsabilité, ce n'est pas si grave au final. Vos intérêts ne vous honorent pas et font de vous des sous merdes droguées de futilités aberrantes. Je regarde le monde, je regarde l'humain, et je vous emmerde.

J'aime vraiment. Ton texte fait vraiment réfléchir. Et à chaque phrase, j'ai de plus en plus la certitude que mon regard porte le même jugement. Très "coup de gueule". J'aime ce genre de texte.

N'étant qu'une petiote, j'ai du mal à établir une "véritable"critique et je dois avouer que celle-ci est bien pauvre. Je te prie de me pardonner ^^'.
Bref.