. Le monstre et l'osier.

[Mr Canard]

Hum, Hello.

Chasser le naturelle, il reviens au galop. Puis ce qu'as chaque foi que je tente d'écrire se qui me passe par l'esprit, ça termine en texte abstrait et prosaïque. Ne soyez donc pas étonné par mon écriture pour le moins pas très compréhensible.

Ceci est un petit conte, une petite histoire, qui se veut volontairement enfantine mais pas trop. Si elle peut au travers du conte laisser ressurgir des problèmes contemporains (imagés certes) et pas du tout conté c'est voulue. Mais au delà de cette aspect (qui passerai surement inaperçus si je ne l'avais pas mentionné) c'est juste une petite histoire, comme ça. Pour imager.




Le Monstre et L'osier.



Ils sont une armée entière à s’avancer sous la neige frappante et lacérante, et chaque flocon semble messager de la rumeur folle d’un pays lointain. Ils sont une armée entière de pantins d’osier qui avancent face à un mur gargantuesque de vent et de flocons froids brillant comme des lames, comme des larmes. Larmoyant comme les autres Shati s’avance, petit automate tressé d’osier comme les autres. Il sert tout contre lui sa vieille carabine.

La horde des clopinant, armée de pétoires rouillés et de rapières tordues.
Derrière la neige enragé alors la foule d’osier arrivent à l’orée d’une forêt de chanvre. On ressert les rang, l’ennemi et proche, c’est sont domaine. Shati lève sont arme, osier soldat comme les autres il guette derrière le souffle sur le champ crépusculaire la bête qui rode, tout près peut être. La neige leur arrive jusqu’aux genoux, avent même que le combat est commencé elle les aura tous dévoré. Frêle petite armée d’osier dans l’ouragan.

Mais soudain voilas qu’elle arrive, un mugissement grave comme un navire au travers des flocons et irise les feuilles tout autours d’eux. Ca y est c’est la panique, tous se tournent mais reste braves, pas un ne déserte, tous tiennent courageusement en joue le vide. Résonne, puis doucement se perd dans la voûte étoilé. Alors pour la première fois vraiment depuis le début le silence se fait.

Il bourdonne aux oreilles des flocons sourds. Une seconde, deux seconde… les spadassins d’osier, maintenant dans l’écume glacé du blizzard jusqu’aux bassins, eux, sont tout. Ils interrogent le désastre de leur regards étranges. Trois seconde, quatre secondes…
Voilas, ça y est, bondi au milieux des rangs, arrache les bustes, déchire les petits fantassins tressés.

Shati ne vois rien, il vois tout : c’est un loup, immense, il est encore plus blanc que la neige. Il n’est qu’une mâchoire gigantesque d’ou jaillisse des flocons tranchants. Pris dans la neige jusqu’aux coup, la brave légion d’osier vas rejoindre le vent impalpable sous les griffe du monstre. Des tresse d’osier mortes dans le vent. Qui tournent et s’élèvent, haut.
Ne reste que Shati et le loup, la neige à recouvert toute la forêt et l’armée. Ne reste qu’un grand champ de neige qui s’étend à perte de vus sous et les étoiles et les lambeaux d’osier n’ont jamais finit de s’arrêter de tourner dans le vents. Shati cour, il à perdus sont arme et tout sont courage. Ressurgie derrière lui, terrifiante, semblable à la sphinx gardienne de Thèbes, La bête bondie sur le sommet d’une montagne de glace et rugis sont énigme dans le vent.

Shati ne l’entend pas, ne la comprend pas, ne l’entend plus, il ne vois plus rien. La face dans la neige il la sent juste résonner dans son dos. Il entend sont souffle, à quoi ressemblait elle déjà ? Peut importe c’est qu’un monstre, il aurai pus avoir cinq tête, des corne et cracher du feu ça reste un monstre. Un monstre au beaux milieu d’un festin d’osier. Shati peut entendre son haleine toutes proche. Il tend la main vers l’abîme.

L’ouragan s’estompe, petit à petit. Parcelles par parcelles les étoiles et la neige s’engouffre dans le noir. Shati est bientôt seul face au vide. Au fond du néant une porte. C’était quoi l’énigme du monstre déjà ? Il l’ouvre. Un long couloire, à reculons. Il avance à reculons dans un long couloire, tiré en arrière par un file d’or. Au fond une pièce. Au centre une femme lévite dans le vide, allongé. Est-ce Hélène, ou bien peut être Jocaste… l’énigme hurlé résonne derrière lui. elle est enceinte. Une fenêtre, un théâtre.
Les gens du peuple d’osier on pris place.
Ne t’avance pas sur scène.
Jamais sur scène.
C’est en coulisses que tu meure.

[afilion]

Je trouve ça super bien.
Au début, le texte avais l'aire longs, mais ça valais le coup. J'aime bien les textes imagés, alors je peux dire que ce que tu as écrit m'a apporté un peu de bonheur dans ma journée ^^

Sinon, au début on a un peu de difficulté à garder le fil de ton histoire, c'est un peu flou, alors, bon...