. Ares - The Vagrant Soldier

[Hiei]

Hop, c'est reparti pour un tour (comprendra qui pourra ).

Ares
The Vagrant Soldier
떠돌이 용병 아레스



Type : Sonyun
Auteur : Geum-Chul Ryu
Genres : Action, Aventure, Drame
Nombre de tomes : 26

Synopsis
Nous sommes dans une époque médiévale et c'est la Guerre ! De nombreux royaumes ne cessent de s'affronter et au milieu : le royaume de Chronos. Ce dernier, dévasté par les affrontements des nations voisines, ne sert que de vivier pour recruter de nouveaux mercenaires, véritable chair à canon pour les royaumes dominants. C'est dans ce contexte que notre héros, Ares, se fait s'engage chez les Mercenaires du Temple, une troupe armée réservant ses services au plus offrant. D'autres jeunes épéistes et guerriers l'y rejoignent, certains pour y gagner de quoi vivre, d'autres uniquement pour le prestige. Après quelques missions de routine, la troupe va rapidement se retrouver au milieu d'un énorme conflit et les champs de bataille vont devenir leur quotidien.Face aux plus grands soldats des royaumes adverses, nos jeunes héros devront montrer toute l'étendue de leur talent et ne reculer devant aucune stratégie pour survivre et prendre le dessus sur des guerriers très expérimentés.Heureusement pour Ares, il est l'élève d'un héros légendaire et sa maîtrise du combat à l'épée va lui permettre de rapidement se confronter aux plus grands des adversaires et en sortir gagnant.

Mon avis personnel
Fort de son succès en Corée, Ares est pourtant arrivé tardivement en France ; la série est l'oeuvre d'un dénommé Geum-Chul Ryu, et elle à été prépubliée dans le Comic Bang. Elle s'est terminée (depuis un certain temps) en pas moins de 26 tomes. Le dernier projet en date de l'auteur est Muryong, un titre fini en 5 tomes, et qu'on peut retrouver chez le même éditeur français que pour Ares (c'est-à-dire, Booken Manga).

Se déroulant dans une atmosphère médiévale, la série propose au lecteur de se projeter dans un univers aux esquisses attrayantes et dissimulant une grande profondeur. Ce qui frappe premièrement dès la lecture entamée est l'aspect du combat, ce point là bénéficie d'un dynamisme et d'une mise en scène assez remarquable. Les différentes batailles qui frappent la région de Chronos sont fortes en intensité. Une bonne dose de stratégie, accompagnée d'un attrait violent et qui caractérise le bain de sang qui ressort de ces affrontements. Oubliez les super-pouvoirs et autres éléments de ce type, ici, on laisse plutôt place à une guerre dure, sale, presque effrayante, mais criante de vérité. Il n'y a pas de gentils ou de méchants. Juste des vainqueurs et des vaincus.

On peut aussi compter sur un grand nombre de références à la mythologie grecque. Et quant aux protagonistes, ils se révèlent très intéressants. Les trois personnages au centre de l'intrigue sont Ares, le héros de la série, qui est un peu fou sur les bords, mais qui à du répondant. Ensuite, il y a Baroona, un jeune garçon mystérieux qui fait toujours forte impression au moment opportun. Puis, il y a Michaël, l'homme posé et froid de la bande, et qui est souvent imprévisible. Des liens forts se créent rapidement entre nos trois protagonistes, faisant d'eux des compagnons d'armes, mais le destin risque d'en décider autrement.

Ce qui est fortement appréciable dans ce manhwa, c'est la vision à laquelle on accès à travers les mercenaires. Ils ne se battent pas pour des principes poussiéreux tels que l'honneur ou la défense du royaume. Et ils ne se battent pas non plus pour la gloire, ni l'argent. Dans un monde comme celui dans lequel ils se trouvent, l'argent est nécessaire, mais l'entraide l'est encore plus. Pour beaucoup de mercenaires, se rattacher à une bande c'est l'occasion de se trouver entouré, d'appartenir à un groupe. Ainsi, ça leur fait oublier l'éloignement de leur famille et de leur pays, ou pour d'autres, qui ont déserté à cause de leurs crimes du passé.

Graphiquement parlant, le titre est très particulier. Le coup de crayon de l'auteur peut sembler approximatif, mais non, il est surtout personnel. Les planches montrées n'en mettent pas plein la vue, ce n'est pas ce qui est recherché. C'est essentiellement sur les scènes d'action que tout prend un sens. Les combats profitent d'une bonne fluidité, ainsi que d'un dynamisme qui donne cette impression de "dantesque" et "d'épique" aux confrontations ; et les réactions des personnages sont très expressives.

Bref, Ares - The Vagrant Soldier rivalise facilement avec les plus gros shonen japonais, voir même, les surpasse. Une série qui regorge de qualités et qu'on suit avec intérêt tout le long. À lire sans une once d'hésitation.

[Zefyris]

Un bon petit manhwa (auquel les couvertures ne font d'ailleurs pas honneur imo). Le dessin de l'auteur est parfait pour rendre les mouvements (ce qui signifie donc que les combats sont vraiment vivants) et le trait dénué de fioritures de l'auteur sert en fait plutôt bien l'oeuvre au final puisque cela accentue la violence des scènes de guerre par leur brutale simplicité.
Servi par un certain nombre de personnages charismatiques (comme Mikael!), et par un scénario qui tient la route ( et qui fait intervenir de façon importante après un moment des composants dont il serait bien difficile de prévoir l'existence en jugeant juste sur le début du manga, comme la politique et la stratégie à grande echelle par exemple), c'est une oeuvre plutôt rythmée, qui se laisse lire avec plaisir d'un bout à l'autre.

En montrant la guerre vu par des mercenaires, l'auteur nous offre une vision crue et plutôt réaliste humainement parlant des conflits, où, au final, ce qui compte c'est moins de gagner ou de perdre, que de mourir ou survivre aux batailles.

[Isumi]

Cette fois, c'est le bon tour Daichi


Hum, je ne suis pas du même avis pour les couvertures ^^
Je trouve qu’elles collent vraiment au style de l’auteur et à titre personnel je leur trouve ce petit côté alternatif qui va bien.
Je considère à ce titre que Booken les rend beaucoup plus jolies que l’édition coréenne, avec ce papier granité noir et la colorisation plus sobre des sujets.
Mais chacun ces goûts
La 4 elle claque vraiment. La 7 va être une tuerie aussi.
J’ajouterai enfin que sans le gros coup de cœur sur les couv', qui m'a fait m'intéresser au style de l'auteur, je n’aurais peut-être pas envisagé de m’intéresser à ce manhwa.
Certes, il y a le sujet en lui-même qui me plaisait, mais je suis ultra méfiante vis-à-vis des histoire de mercenaires (c’est liée à une exigeance qui place la barre assez haut depuis la lecture de la Compagnie Noire. Dur de trouver aussi emballant, à fortiori dans un manga)


Et pourtant, Ares est mon coup de cœur de l’année (oui, je sais que cela fait déjà un an qu’il est sorti ^^). Comme quoi, attendre ça a du bon.
Donc j’ai pu lire la totale de ce qui est sorti en parution Booken.


Je suis amoureuse du style graphique de l’auteur, je me répète.
Je n’avais jamais vu un trait aussi original sans trouver ça peu convaincant. Je parle pour les manga. En bd, par exemple, ou dans les zines, ça me dérange pas vraiment, je suis même prête à dévorer du Chabouté sans broncher.
Bref, je sais bien que cet emballement ne fais pas l’unanimité, mais faire des perso aussi dégaine que ça sans que le style un peu croquis de lycéen qui se fiche pas mal de l’hyper réalisme ne fasse pas ridicule par rapport au thème, avec un pouvoir immersif pareil, je dis juste chapeau.
Je suis donc fan.

Tome préféré: le 4.
Persos qui claquent en plus de nos jeunes mercenaires: Icarius et bien sûr, Karnival.
Mon avis sur la Compagnie: j’attends plus. D’où la ref’ à un roman, exemplaire en la matière, qui est dans la même veine à savoir une Compagnie qui fait trembler des genoux, avec un package de badass et un étendard classieuseument funeste qui claque au vent.
Là, j’ai l’impression qu’elle est sur le retour, mais bon, j’imagine que nos trois héros sont précisément là pour véhiculer de la légende.
Et puis pour l’instant, elle est dans le lot d’une vaste campagne sous les ordres du très tactique Icarius.

Pour la suite, (à moins qu’entre temps je craque et cherche des scans):

Spoil: Vivement, car pendant la campagne de Minos, les hyènes ont décidé de se jeter sur Chronos, ça va être génial. En prime, comme le Roi est un malade, ça pourrait être l’occasion de l’éliminer et qu’il y ait une anarchie militaire, trop cool.

[Hiei]

Oui, je trouve aussi que les couvertures s'adaptent parfaitement au coup de crayon de l'auteur. Booken à fait un chouette boulot, que ce soit au niveau de l'ancrage, du papier ou de la traduction. En tout cas, Isumi, si t'accroches déjà autant à Ares, la suite ne devrait aucunement te décevoir.

Pour rebondir un peu sur le volume 5, il m'a beaucoup plu. Michaël et Baroona font face aux troupes de Bélisque, et Ares doit se coltiner les assassins de Nebuzzar. D'ailleurs, notre jeune Ares n'a pas d'autre choix que de dévoiler l'identité de son maître (et cela complique sa relation amicale avec Ariane, puisque cette dernière découvre l'âme du guerrier qui se trouve en Ares et la férocité dont il peut faire preuve).

[Isumi]

Spoil: Mais heureusement, la gardienne d'Ariane, qui avait plutôt les atours d’une psycho rigide a une réaction d’authentique guerrière qui a le sens de l’honneur et trouve les mots justes pour faire méditer sa jeune maîtresse. Enfin méditer, c’est un grand mot, car elle est plutôt impulsive la petite. Elle fuse vers lui au quart de tour, c’est mignon. Quant à Baroona, mais quelle classe ! J’avais hâte qu’il nous dévoile un peu son potentiel, Mikaël ayant de toute façon déjà eu ses heures de gloire (vs Karnival et vs le chef des troupes d’élite). Tiens, d’ailleurs, Mikaël a un profil très intéressant, il est capable de laisser la vie sauve à quelqu’un qu’il estime ou dont il a pitié. Et ses remarques cinglantes à l’adresse du Geom Seong sont franchement savoureuses. Lui, il a un potentiel monstrueux, car en plus d’être un combattant de haut niveau, il est stratège et maîtrise le verbe. Il est assez complet pour être un chef militaire de très haut niveau. Arès a pu aussi montrer qu’il ne plaisantait pas. Via ses Fb, nous découvrons son maître, qui ne plaisantait pas non plus.

[Tora]

J'ai commencé Ares et il ne m'a pas fallu plus d'un chapitre pour devenir fan.
Comme Isumi j'adore le dessin. Je le trouve en fait très rarement maladroit et plus souvent hyper maîtrisé, notamment dans la représentation du mouvement.

J'adore aussi les personnages, bien sûr, et la relation qui se noue entre eux. Je me demande ailleurs s'il arriveront à la préserver vu la diversité de leurs origines, de leurs personnalités et, probablement, de leurs objectifs.

La seule chose que je regrette, c'est qu'on n'ait pas plus de femmes, si possible puissantes, dans l'histoire. Héléna avait au départ l'air super forte et en fait, elle se fait méchamment remettre à sa place par Ares. Ariane est sympahique alors qu'elle aurait pu être puante mais ce n'est pas franchement un perso qui claque.

[Licran]

Plutôt bon choix.

Un manga (manhwa) possédant un style plutôt atypique,je précise j'accroche totalement au style, simple mais efficace. Les mouvements sont vachement importants dans ce manga et cela l'auteur a aucun mal à nous le retranscrire.

J'ai lu le manga pendant l'été, je lisais avec pour objectif de voir le héros Ares donc venger son maitre mais aussi égaler voir dépasser son maitre dans l'art de l'escrime (épéiste du vent).
Je me rappelle vaguement avoir été légèrement déçu par la fin, un peu précipité, j'en dirai pas plus.

L'histoire reste assez banale mais vraiment bien amené ou du moins ça reste agréable,il y a des moments un peu mou mais ça reste totalement lisible.

Un très bon manhwa.

[Arlia]

Eh ben... J'aime pas ! hahahaha.
Je viens de terminer le titre. C'est une excellente série, Ares est très bon dans son genre, avec des personnages aux personnalités détonantes, du combat en veux-tu en voilà avec quelque situation qui auront su me faire marrer ( Oh oui Baroona qui balance Icarus par la fenêtre en pleine bataille )

Mais le soucis étant que j'ai pas accroché au truc. Sans doute une overdose de combat en fait, c'est bataille sur bataille. Le titre est conçu pour cela évidement, néanmoins cela n'a pas réussi à réellement me plaire. J'ai trouvé que le final a été un poil rush. Quand on voit la différence de traitement entre tout l'arc sur Michael et à la fin la vengeance d'Ares, ça m'a fait un peu bizarre, m'enfin.

C'est très bon pour ceux qui veulent du carton avec des personnages qui ont la classe.

[Hiei]

Oui, c'est surtout une série dont les attraits principaux sont les grandes batailles, la philosophie de combat des personnages, mais surtout le rejet du manichéisme, et on ne voit pas assez souvent cela dans les shonen.

[Tora]

J'avais la flemme mais je poste pour contrebalancer les opinions de Licran et Kaen. ^^

J'ai adoré Ares et quand je dis adoré c'est vraiment vraiment adoré. Il a quelques défauts, bien sûr, mais rares sont les mangas parfaits (quand je dis parfaits, je me réfère, très subjectivement, aux mangas auxquels je ne changerais rien, dont le scénario et la narration sont sans failles et notamment, dont la fin est à la hauteur de l'histoire - et des mangas terminés que j'ai lus, il n'y a guère qu'Akira et Slam Dunk qui remplissent ces critères).

Après avoir fini Ares, j'ai ressenti la même impression qu'après avoir fini Dragon Ball ou Slam Dunk, par exemple : la joie d'avoir lu une excellente histoire mêlée à une vague nostalgie, à la tristesse de devoir se séparer des personnages qui ont fait partie de ma vie.
Cela m'arrive souvent après avoir lu une bonne histoire, surtout si la fin est douce-amère. Quand j'ai fini Le Seigneur des anneaux pour la première fois, notamment, je me souviens avoir passé quelques jours toute triste et désœuvrée.


'Fin bref, dans Ares j'ai adoré :
- le dessin, plus j'avançais dans l'histoire, plus il me paraissait évident et adapté.
- les personnages, bien construits, chacun avec son caractère bien défini, sans caricature. On les cerne petit à petit, peu est dit mais tout est montré.
- les relations entre les personnages (c'est toujours pour moi un critère déterminant de l'intérêt que je porte à un manga).
- l'histoire, toujours cohérente et en particulier les stratégies des généraux que j'ai trouvées sobres et réalistes.
- la fin

Spoil: (Elle n'est pas spectaculaire mais elle sonne juste, même si Baroona dit qu'Ares est le meilleur, on a l'impression qu'il a encore du chemin à faire.)

- le côté adulte de l'histoire. Dur de croire qu'Ares est un shônen. Par plein de côtés, on se rapproche du seinen.
- la narration, presque toujours subtile : tout n'est pas dit, tout n'est pas expliqué, beaucoup de choses sont suggérées, toutes les réponses ne sont pas données, des portes sont laissées ouvertes. En gros, on a la même différence entre Ares et un shônen classique qu'entre un film artistique et un film de Hollywood (oui, je caricature un peu) : dans le premier, le réalisateur suggère dans le second il martèle.


Points négatifs :
- quelques ratés de la narration :

Spoil: - j'aurais évité le gros flash-back explicatif après la mort de Michael ; la révélation de l'identité de Rai était en soi suffisante pour comprendre qu'elle avait été envoyée par Michael et il aurait suffi qu'un inconnu trouve la bouteille perdue par Gohu et lise le mot pour qu'on comprenne la vérité. Ça aurait été nettement plus subtil. - la fin est un peu rapide et surtout anticlimatic (pas trouvé d'expression satisfaisante en français). L'auteur n'a pas bien géré le dernier combat mais en même temps je ne vois pas bien comment il aurait pu faire autrement. Dur de retrouver un souffle épique après les révélations sur Michael.

- certains moments sont ennuyeux, on passe trop de temps sur des événements secondaires. Le tome 15, en particulier, m'a un peu soulée.
- Un personnage négligé :

Spoil: Kirus, qui avait un immense potentiel et qu'on a trop peu vu.

En résumé, Ares fait maintenant parti de mes mangas-manhwas ou mieux, de mes BD, préférés.

[Arlia]

Tu viens de pointer un truc important Tora concernant la fin du manga. Elle manque de saveur, parce que juste avant l'intrigue sur Michaël avait mis le niveau vachement haut même si le FB n'était pas forcément nécessaire. La moitié du manga est consacré à cela, et ne voir que deux tomes environ pour l'objectif de base d'Ares ça donne une légère impression de négligé et de précipitation.

[Zefyris]

le dernier arc donne plutôt une impression de long épilogue que de vrai dernier arc, en fait. Personnellement, cela ne m'aurait pas dérangé de voir le manhwa se finir sur la fin de l'arc de Michael.

Citation:

anticlimatic (pas trouvé d'expression satisfaisante en français).

"tomber à plat"?

[Tora]

Merci Zefy, bonne traduction !

Et pour l'épilogue, oui, c'est exactement l'impression que j'ai eue. Mais comme j'aime les épilogues (ils permettent d'adoucir la transition entre la vie dans l'histoire et le retour à la vie réelle) cela ne m'a pas trop dérangée.

Spoil: Finir après l'arc Michael ? Pourquoi pas mais je pense que l'impression d'inachevé aurait été trop grande, il y avait cette promesse qui n'aurait pas été tenue. Et puis surtout, ce dernier mini-arc a permis de faire revenir Michael et d'adoucir l'amertume de sa mort. C'était sans doute important pour l'auteur et c'est le genre de choses que mon cœur d'artichaut apprécie. En revanche, c'est certain que le manhwa aurait été plus adulte sans ce dernier arc. On aurait aussi pu imaginer un nouvel arc beaucoup plus long mais vu l'importance de Michael, il aurait été vide de substance, il aurait manqué de saveur, comme le dit Kaen. Un peu comme la dernière partie de Death Note.

[Isumi]

Of course I succumbed
Of course I read scans
Of course I am in love with this manhwa, in particular the drawing
Of course I the characters still trot in my head
Of course I agree with all that says Tora.

Spoil: Mais nous sommes bien tous d'accord, le dernier arc laisse une impression étrange de fin "à la va vite" cependant s'il en avait été autrement, nous aurions perdu de la saveur après l'arc Michaël. Il y n'y avait pas trente six solutions. Arès aurait pu régler sa vengeance pendant la guerre, au lieu de se farcir des duels perso pendant les combats, mais le problème aurait été dès lors de ne pas mettre assez en valeur cette résolution, de la noyer. Je comprends le choix de l'auteur. En prime, cela permet d'utiliser "le pouvoir de l'amitié de manière non niaise" avec une mise en avant de Baroona que je me sens tout à fait ravie d'avoir vue.

[Tora]

Je me demandais si tu résisterais. ^^
Et tu as raison pour le pouvoir de l'amitié. Les mangaka du Jump devraient lire Ares...

[Hiei]

Une nouvelle qui devrait décevoir une certaine personne (qui a dit Isumi ?), les éditions Booken Manga vont opérer un changement de papier pour les jaquettes d'Ares.

Ils ne vont plus utiliser le papier spécial réservé à la série, et ils vont se rabattre sur un papier plus standard. Cela est dû à des ventes insuffisantes. L'annonce a été faite sur leur facebook, et ils espèrent que ça ne dérangera pas les lecteurs.