Nouvelle N°1 : Homme et Femme
Quand j'évoquais le terme de liberté dans le quatrième de couverture, je voulais parlé de possibilité de choix, autant matériel que spirituel. Et le fait que je prétende que nous ne choisissons en rien notre évolution est due au fait, qu'à mes yeux, nous sommes formatés dès la naissance par "la matrice"...
Pour vous citez le premier exemple me passant par la tête, la plupart des parents influencent (involontairement car dejà eux-même endoctrinés) leurs enfants via des couleurs bien prédéfinie vis à vis de leur sexe; ainsi, ils associeront le bleu aux garçons et le rose aux filles, que ce soit pour les vétements ou pour la couleur de leurs chambres.
Il en va de même pour les jouets : Plutôt que de donner à l'enfant des jouets unisexes, on axera les garçons sur des petites voitures et des figurines d'hommes viriles tandis que les filles sur des poupées, de la dinette ou des accessoires de beauté factices.
Comment alors ne pas prétendre que leurs dévellopements futur est dejà tracé à ce moment là ? La suite est facile à deviner...
A l'adolescence les garçons voudront obtenir un véhicule à moteur et chercherons à correspondre à l'image que leurs figurines leurs ont transmise de l'homme, les filles elles à celle transmise par leurs poupées, leurs accessoires de beauté aidant; le plus pervers dans tout ça est bien entendu la dinette qui les pousseras inconsciement dans l'idée que les tâches ménagères sont leurs rôles.
A l'âge adulte, ces mêmes adolescents auront atteint leurs buts en correspondant, totalement machinalement encore une fois, aux clichés qui leurs ont été transmis enfant.
N'allons donc pas nous étonner du machisme qu'affirment certains hommes (même si loin de mon idée est le fait de défendre leurs causes) et de la superficialité de certaines femmes (que je ne peux leurs reproché non plus).
Ceci nous renvoie donc à ma prochaine nouvelle : «Qu'est-ce que le bien et le mal pour "la matrice" ?»
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