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Wane
Genin


Inscrit le: 12 Sep 2006
Messages: 300
Localisation: Surplombant le monde de sa presence

MessagePosté le: Lun 18 Sep 2006, 3:00 pm    Sujet du message: Fanfics Wane Répondre en citant

Ma première fic, j'espère j'ai bien suivi les consignes des Modos, je le dit maintenant y'auras pas de suite, je vais surement faire que des one-shot, peut être seront t'il remaniées ou arrangées par la suite mais c'est tout, y'auras aucune suite logique dans ce que vous lirez ici.

Celle là je l'ai écrite hier soir, j'espère que je n'ai pas laissé de faute d'Orthographe^^ J'ai eu du mal à lui donner un titre mais je l'ai quand même nommée:



SOMBRE NUIT


Il était là, seul comme toujours, devant moi, enfin à quelques mètres de moi. Je m'en rappelle encore, c'était un jeudi, la nuit était tombée, en silence.

Lui, il se tenait debout, debout devant cette éternelle solitude, debout devant cette étendue liquide, sinueuse, sans fond, ne remuant qu'au bon gré du vent.

Moi, tapis dans l'ombre, seul depuis ce temps, je l'observais, je l'écoutais, je scrutais tout ses mouvements. Je m'en rappelle encore, ce soir là il pleuvait, l'automne était passé, les feuilles étaient restées. Le crépitement particulier des gouttes de pluie qui tombaient sur les feuilles mortes, masquaient nos respirations mutuelles.

Lui, toujours immobile, dans l'immensité de la nuit, droit et fier, mais seul comme toujours, si sur de soi et si mistérieux. Il était là, comtenplant ses actes et se remémorant ses méfaits passés, souvenirs douloureux. Maintenant, il était debout au millieu de cette gigantesque flaque, sombre, l'unique détail de cette marée noire qui avancait toujours un peu plus vers moi.

Moi, qui avait toujours été dans son ombre, moi qui avait toujours voulu lui plaire, moi qui à son contact me sentait heureux, vivant. Nous avons été séparés, pour nous retrouvés encore seuls, seul comme avant, seul comme toujours.

Toi, qui as suivi le destin qu'on t'as imposé, sans te débattre, juste en l'acceptant ; nous sommes si semblables et radicalement différents à la fois. Aujourd'hui, tu te tiens devant moi, dans la pénombre, debout et seul, debout comme si tu voulais m'indiquer ta présence, debout comme le clou qui dépasse de la planche. La blancheur de la lune éclaire ton visage un instant, je vois une larme couler, non pas toi, sans doute une goutte de pluie, pleurer toi, non, non tu est comme moi, tu as déja pleurer toutes les larmes de ton corps. Tu vit, comme moi, en suivant ta voie, pour atteindre ton but, mais tu n'en a plus à présent, tu ne vit plus, tu est mort, pourtant tu est devant moi. La lame de ton sabre scintille sombrement aux éclats de la lune qui lui parvienne. Ce soir, nous sommes deux ici, mais tu est seul, seul comme toujours.

Moi, qui ait abandonner mon rêve pour toi, moi qui ait sacrifier ma vie pour toi, moi qui avait peur de ce que tu allais devenir. Moi, qui caché derrière ce buisson, oui celui qui t'intrigue, tu te sent épié, tu ne sait si c'est le souffle du vent qui vient de faire bouger les feuilles ou si c'est moi, oui tu sait que c'est moi. En d'autres temps tu m'aurait dit "Tu te planques Naruto, froussard", cette simple pensée me fait sourir, ces temps là me manque, mais tout est fini, bien fini. Tu sais que c'est moi, tu attend ce moment comme une délivrance à ta souffrance, nous qui partageons le même destin que nos senseïs, nous ne laisserons l'histoire se repéter. L'eau vient de toucher mes pieds, enfin l'eau et le sang de ton maître, tu as su prendre ta revanche, et ,à la fin de ta vie tu as su protéger ton village de sa plus grande menace, mais tu n'y reviendras pas, et tu le sait, tu viens de mener ton ultime combat, le dernier, seul.

Tu as atteint ton objectif, ton objectif si cher a ton coeur, mais tu as choisi la mauvaise voie, une voie sans retour. Tu viens de prendre conscience de ce que tu est devenu, et tu souffres, tu est rongés par les remords, tu veut rejoindre ton passé, seul, seul comme toujours.

La lune se reflétant dans l'eau, t'entour d'un halo doré, la bise glacée de la nuit caresse ton corps pour la dernière fois, le vent avec élégance ondule sur tes cheveux d'un noir de jais et porte a l'horizon ton kimono, blanc, blanc comme ta peau. Les étoiles brillent de milles feux au loin comme pour t'attirer vers elle. La nature à compris, elle te fait ses adieux Beauté éphémère d'une vie gachée...

Il n'y a plus que cette mare qui nous sépare maintenant, cette marre rouge, rouge comme le sang, rouge comme le feu, rouge comme tes yeux...je ne rêve pas tu pleure, tu saît...

Nous, nous sommes deux et nous sommes seuls, je vais t'aider, tu ne seras plus jamais seul, tu vas mourir et je serais seul, tout seul, seul comme toujours... Sasuke mon meilleur ami...

_________________


Monkey D Luffy, futur seigneur des pirates.
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Wane
Genin


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MessagePosté le: Lun 20 Nov 2006, 6:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cow boy



Me revoilà le seul floodeur, le pionner de l'ouest, grand solitaire chevauchant sa monture dans les contrées arides encore inconnus.
Recherché pour maintes déboires avec la justice, je mets fin au débat très rapidement. Mon nom fait frémir les plus innocentes gazelles, et terrorise les plus grandes gâchettes.

Ma vie se flood de ville en ville, dans chaque un de ses relais chevaleresques, ou je vais, le trépas n'est pas. Seule la joie anime les quartiers que je quitte, les saloons font souvent recette les soirs de mes départs, comme à mon accoutume, je monopolise toute les attentions. Même les cheveux dans le vent, au loin dans les vastes vallées, j'entend les troquets ripailler.

Ma légende attriste les moeurs, mon courage amuse les enfants, ma dextérité exergue les autres. Je ne suis qu'un voyageur, nomades de souvenirs. Grand solitaire, au milieu d'un monde trop politiquement correct. Ancienne gloire, abusé de sentiment mielleux et destructeur.

Profitant de mes dernières heures, je m'en vais s'en me retourner, tenant fièrement mon chapeau, je galope, et survole ses landes tel un rapace quittant son nid. A l'inconnu et à la découverte, tel est l'arrivée de ma course effréné contre le vent. Mauvais joueur dans l'âme, je déglingue ceux qui croisent mes yeux, après quelques échanges, je siège enfin à ma providentiel place.

D'un cillement les moins téméraires se retirent, seuls les piliers restent. D'un bâillement ou d'un cri leur pestilence m'agace, et dès lors les excuse n'ont plus droit. L'ennui m'ayant gâté, je bois ma bière et je file, la patronne réanime les derniers, je repars seul, grand solitaire. Mon fidèle compagnon, m'attend rassasié de sa soirée.

Les balles fusent mais jamais ne m'atteignent, comme une malédiction, mon chapeau lui, n'esquive pas si facilement. Le temps et la bravoure, mettent fin à l'existence de mon meilleur associé, la nuit brumeuse flambe avec parcimonie, et coup court la sobriété et l'élégance de chapeau, mon cheval. Comme un appel au larmes, le vent reviens nous narguer, et sèche mon visage. Au loin d'autre villageois arrivent et se penchent sur les corps inerte de leurs voisins, le révolver fumant c'est à mon tour de m'éclipser, de me perdre parmi les autres.

Malchance, l'arme est rouillé, le monde ne veut pas me lâcher, les divins présage ne le sont pas pour tout le monde, c'est avec regret et amertume que je continue ma virée, seulement portée par le vent, grand solitaire……….


Vous avez aimé le prélude? Vous risquerez vous à lire la suite, les tragédies de ce cow-boy sans nom, ce grand solitaire. La suite plus bas, mais vous êtes prévenu c’est à vos risques et périls.

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Wane
Genin


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MessagePosté le: Lun 20 Nov 2006, 6:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Havanna, la ville de tous les méfaits. Aha te v’la enfin ma belle, des journées à marcher sous la tiédeur du désert, mes six coups sont à sec et moi aussi, il faut avouer, direction le plus malfamés des taudis. Je m’appercois que mes fringues ne collent pas au décor, peu importe leur indignation, j’avance. Les regards m’épient, jamais de face, je les sens ils rodent autour de moi, comme des vautours attendant le dernier souffle de leur dîner.
Un autre jour la mer rouge serait monté, mais là je suis en deuil, un dernier hommage et puis s’en va.

Arrive enfin le plus crade tous les endroits, un immondice de bois, d’où sortent quelques austères, et encore l’intérieur est pire ça grouille, et ça se chamaille. J’entre, les discutions s’étouffent, les regards se tournent, l’endroit transpire la peur. L’atmosphère poisseuse et nauséabonde, dégoulinent sur les semblants de mur qui font tenir cette vieille bâtisse, la crasse dans toute sa volupté parcours les poutres suintantes de dégoûts Je suis en parfait raccord avec les ornements intérieur, quoique, je suis l’attention dans l’antre de la saleté. Leur étonnement me fait sourire, ils m’ont calculé, leurs mains tremblent au dessus de leur révolvers, un geste et c’est le carnage, ça m’excite. La raison me rattrape je me tourne vers le comptoir. Les regards insistent dans mon dos, ils m’observent, scrutent chaque un de mes mouvements, la serveuse arrive.

Joli brin de fille, pas dans l’adéquation de la baraque, mais rayonnante dans ses gestes, lumineuse dans sa démarche, une joli cerise sur le mauvais gâteau, son visage par sa douceur attirent les regards. La pression retombe, j’me pose face au comptoir, ses mains avec délicatesse pose mon verre, elle me sourit, je le lui renvoi. Ses yeux pétillants sont le meilleur accueil pour un homme de ma trempe, un autre l’appelle, elle s’en va, et dans l’inconfort et la poisse elle me laisse seul, grand solitaire… Je grave cette instant au profond de ma mémoire, et scelle à tout jamais le souvenir de mon ami disparu. Dehors la rue s’anime, les gens quittent le bar guidés par les mots résonnant dans la ville, je profite de l’agitation pour faire les poches des quelques malotrus qui me passent devant. Je suis le seul encore debout à l’intérieur, j’en profite et mange un morceau dans l’arrière salle, en fouillant, je fait aussi le plein pour mes deux partenaires, mes poches sont pleines. Je ressort, le bar est toujours aussi calme, la bouteille de whisky a demi pleine sur la table suffit à me rincer le gosier. Dehors les voix se font entendre de plus en plus, un mot se détache, un mot qui attisent les haines, « étranger » c’est-ce qu’ils disent. C’est l’œil a l’affût, que je finis la bouteille.

La porte s’ouvre en trombe, c’est la serveuse, elle est pas armée, mes mains relâchent peu à peu le percuteur. C’est pour moi qu’elle est là, elle me prévient qu’il faut fuir, dehors un lynchage se prépare ce sont ses mots. Mes yeux dans les siens, elle comprend que j’affronte mon destin, elle esquisse son dernier sourire, quand les balles se déversent à torrent à travers la salle, telle une pluie battante. Ses yeux dans les miens elle me quitte, elle s’en va dans un monde meilleur, son dernier acte resteras pour moi une preuve d’amour, pourquoi les balles ne l’ont elle pas épargnée. La haine et la colère monte en moi, mon hommage gâché par cette perte, je crie, je hurle au désespoir. La porte se fracasse sous l’arrivée de quelques bouseux, c’est du feu que je veut, surpris par mes paroles, ils pointent leurs pétoires vers moi, manque de jugeotte. Six et coups bondissent entre mes doigts, je me perds dans le bruit des coups de feu, telle un bataillon la pétarade embrume mes tympans, au fil des échanges je ne suis plus le même. Mes mains brûlent, je ne dit plus rien mes colts parlent pour moi, je m’amuse de cette situation, et les autres, leurs mines blafarde, leur air renfrogné m’indiquent leur concentration. Je jouis de ce moment seul, grand solitaire…..

Me revoilà, perdu dans un coin du bar, effroyablement seul, ma volonté d'acier à rester a l'écart, en marge des autres a payer, je suis ma voie tel que je le désire, seul une existence divines pourrais me contredire. Mais en ce bas monde, je suis le divin, celui qui apporte son jugement, je ne suis qu'un homme parmi tant d'autres, mais le destin ma choisi pour être l'esclave de sa raison d'être. Je ne peut lui échapper, il me contrôle, il nous contrôle, comment savoir si mes actes vienne de son envie ou des miennes, cruel dilemme. Je n'espère plus rien de la vie depuis quelques temps, mais alors pourquoi s'acharne t'il a me laisser vivre, non survivre.

Ma voie, sa voie, je ne sais plus, tout se brouille autour de moi, je ne comprend pas le processus de ses manifestations. le destin, mais qui est il?. Il va de lui a moi, descendant de mon cerveau a mon bras, aussi vif qu'un éclair il informe mon doigt, qui transmet se message a cette balle qui elle se loge dans son coeur a l'autre, oeuvre du destin ou de ma volonté. Je sais pas, je sais plus, tout se qui m'entoure devient flou, je n'es plus de raison d'être mais je sui encore debout. Mes esprits reviennent sous quel contrôle étais-je, six et coups fument comme c'est pas permis, les douilles rebondissent encore a mes pieds. Plus âme qui vivent, je suis las, debout, seul, grand solitaire...

Seules les quelques corps jonchent encore le sol, mes santiags trempent dans le sang, la place est rouge, on dirait bien que c'est mon leitmotiv, je sors. Dehors les plus curieux s'agitent, la pétarade a du attirer bien l'attention, devaient être douze, mes barillets sont vides. Quelques cris, quelques pleures, elles avaient qu'a tenir leur maris, personne n'a l'audace de me parler. De toute façon ils l'avaient bien cherchés, me refuser du feu pour mon hommage, y'en a qui doute de rien, bref a ta mémoire chapeau, une mémorable bagarre pour la postérité.

C'est la fumée plein les yeux, et la clope comme distraction que je m'avance dans la grande rue, seul grand solitaire….

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