. [saharienne] My tralala

[Saharienne]

Hey hey ! Afin de montrer un véritable exemple et aussi pour me replonger avec nostalgie dans le passé voici mes créations passée à a venir :p

Fiction One shot :
Petit chose

Spoil: Un blondinet en survet' hochait la tête, droite gauche droite gauche, sur l'air de ses pensées. Tututiiii... Tatataaaaa... Il hésita un instant et fit valser son médiator entre ses doigts. Compta. Un cris, derrière lui : ET UN DEUX TROIS QUATRE !! Bras qui s'abat. Médiator qui tombe sans pitié sur les cordes d'une guitare d'apparence usée. Le hurlement plaintif du métal. Cris sur-aiguë des cordes alors que Naruto est pendus à sa mélodie. Il joue pas. Il joue plus. Il est. Sa main est comme un couperet qui impose une mélodie au public sous peine de mort. Il joue bien, le con. Un deux, trois quatre. Stop. Sa main marque un temps d'arrêt. Et sur les cordes, elle se fait... Caresse. Il est sensuel. Ce con. ... Y'a un truc, qui bouge. C'est une autre main. Sur d'autre corde. Plus épaise. Tam. Bam bam ... Ting... Une basse, la jeune femme au cheveux blond est en appuis sur ses jambes, l'échine un peu pliée. Les yeux fermés elle n'est pas soumise aux pulsions guerrière de la guitare. Elle prend son temps. Plaque ses notes. Une à une... Lentement... Avec assurance... Elle balance ses cheveux en arrière et adresse un clin d'œil au batteur. Basse et batterie on depuis toujours formé le duo clef d'un groupe de rock et se n'est pas prêt de changer. Elle se laisse aller en arrière et n'écoute même plus la guitare. Juste le rythme, entêtant de la batterie. Le châtain à la batterie affiche une moue morne et désabusé. Ta, ta, Tam, ta; ta, ta, tam, ta. Il joue quasi hypnotisé dans cette spirale. Ses mains savent le coups suivant avant même que sa tête y pense. Elles tiennent à peine ses baguettes, elles valsent entre ses doigts, quasi indépendantes, libres. Ses bras se découvrent des articulations inconnues. Ils sont quasi caouhtchouteux. Quasi. Il lève un instant le visage. Et vois une chewing-girls s'approcher du micro. Il soupire d'aise. Elle ouvre un instant la bouche. Se ravise, lance un regard apeuré aux autres qui la rassure par des notes plus fortes. Elle prend une vive inspiration toutefois profonde. Et ça y'est. Ferme les yeux, r'ouvre. Et ça y'est. Elle les voit. Les notes. Elles volent dans les airs. Son regard survole le public pour mieux les suivre. Y'a la musique, le public, et elle. Elle en peut plus, de ses pieds au sol. De cette putain de carie. Alors elle commence à chanter... Et elle s'envole. Touche les autres partitions de sa voix rauque. D'abord timidement. Préliminaire. Puis elle pénètre à l'intérieur même du morceau avec une sensualité et une tendresse touchante. Les rondeurs de sa voix accompagne aisément la frappe plus dure de la batterie derrière. La guitare semble prendre corps avec le chant pour former un ensemble mélodieux solide tandis que la basse, sans la snober, continus sans nuancer ses accords qui pourraient paraitre frigides s'ils n'étaient raccord avec une batterie tout aussi inflexible. La chanteuse regarde Naruto avec timidité... "On a tous, au fond d'son ame Un petit chose, qui nous titille ou qui s'pavane... " Fin. Note de fin de texte : Les personnages sont Naruto, Temari, Shikamaru et Sakura par ordre d'apparition, l'extrait de chansons est du groupe Tryo.

Mélodie sucrée, fin cottoneuse

Spoil: Il était une fois quatre touffes jaunes sur un crane, un gros éventail, une balançoire, voici le décors d'une tragédie qui, mes amis, se déroulent bien des années après la fin de la Guerre Ninja de ce siècle. Et cette histoire mes amis, avait une odeur. De sucre... Et de miel... C'était un jours ridiculement banal, ridiculement commun, qui ne marquerait ni les uns ni les autres, qui s'effacera dans un horizon tout aussi anodin, sans nulle autre forme de poésie. Mais dans l'air, y'avais comme une odeur... De sucre... Et de miel... Un corps sur une balançoire, qui tangue, et se redresse... Elle se souvient : "Accompagne ton mouvement de tes jambes, en avant, en arrière, voilà comme ça ! Tu vois, tu vas plus vite !" Et ce jours là était lui, tout à fait particulier... Avec un soleil, avec une odeur, avec de l'herbe bien verte, tout comme les jours exceptionnel, tout comme le paradis... A l'évocation de ses souvenirs, une larme uniques colle sur sa joue, suit le contours d'une improbable cicatrice et tombe à terre sur la glaise boueuse. Y'avais, dans ce jours banal, une douce mélancolie, la mélancolie, ce doux sentiment qui fond au bout de la langue... Comme... Comme... Le sucre... Et le miel... Elle lève les yeux doucement au ciel, la donzelle, remet en place ces quatre couettes, s'abaisse au sol et prend une poignée de sable, la laisse s'écouler doucement entre ses doigts, recommence, recommence encore... Puis s'allonge et fait l'ange, agitant ses bras dans ce bac à sable. Secoue, secoue. Dans ce sable chaud/brulant. Regarde un long moment les nuages... Ceux là n'ont rien de météorologique. Si elle se levait, elle le savait, si elle courbait un peu son dos douloureux, elle verrait les ruines fumantes du monde ninja. Elle fera la poussière. La crasse. La destruction. La mort. Elle pouvait, jeune, dire, poing levé : La mort j'ai pas peur ! Je suis ninja ! Mais la mort, c'était pas ça... La mort, c'est un père qui disparait, un jours en mission... Et puis un autre... Tous, mort. Jusqu'au dernier. Pourquoi ? A présent, aucune des survivantes ne s'en souvenaient. Soit la chose était au fond sans importance, soit elle avait disparue dans les décombres... Vivante ? Sur les ruines fumantes de Konoha, elles étaient... Elle, Temari. Sakura. Hinata, Ino. Les femmes, seules, les poings déchirés, ensanglanté. Le ventre désespérement vide... Les coeurs secs. Le regard mort. Et dans la bouche... Un gouts... De sucre... Et de miel... Aujourd'hui la mort leur fait à nouveau peur. Retour à la normale. La mort c'est moche. C'est laid. On en parle pas. On la craint avec un respect farouche. Les Hommes l'avaient oubliés, la Nature avec obstination leurs à rappeler quelques règles de bases. On ne rigole pas avec la Mort. On la fuis. Tel est son Nindo. Le Nindo de tout ceux restant. Car derrière la Mort se cache là plus pathétique, la plus banale des peines : la solitude... Que nul n'apaise. Plus jamais son frère ne se léverais en maugréant contre cette pute de femme de chambre qui s'obstinait à lui donner des tartines de miels et du corn flake trop sucré. Plus jamais il ne la supplierais de finir son plateau. Elle sourit tristement une dernière fois et monte sur la balançoire. Ajuste la corde. Sens le vent, son si précieux allié qui vient lui dire au revoir,contemple la baie de Konoha offerte; sanglante et misérable à ses yeux vides. Elle pend misérablement droite et figé dans une moue terne et sans émotion. "Tu vois, les jambes, avant, arri... Dit, tu m'écoutes quand je parles ?" Il est des morts, qui font moins de bruit que d'autre, c'est un peu injuste. Elle baisse une dernière fois les yeux. Regarde avec neutralité le sable à ses pieds. Un sable... A consistance de sucre. Et a couleurs de miel.

Disparition

Spoil: L'oiseau s'envola. L'oiseau ? Non ... L'ho... ----------- Puisque c'est comme ça... Alors... Je vais disparaitre. Sasuke regarda les étoiles longement avant de porter sa cigarette à ses lèvres. Puisque, je n'ai pas de raison d'être... Je vais me fondre dans le décor... Il inspira une longue bouffé. Sentit le goudron se coller à ses poumon. Un oiseau picorait au sol. Toi. Envoles toi. Je ne suis pas... Fréquentable... Je ne sais même plus ce que je veux alors... Tuer. Pour ne pas être tué. Mordre pour rendre une griffure. Poignarger pour rendre un coup. Tuer pour rendre... Une trahison. Finalement. Je ne sais même plus où j'en suis. Alors vraiment... Orochimaru. Kakashi. Itachi. Naruto. Je ne suis pas... Intelligent. J'ai toujours dit le contraire mais, à quoi ce fac similé d'intelligence si ce c'est pour obeir au ordre du vieu fou ? Nan vraiment... Je ne sert à rien. Je pourrais bien tuer Itachi. Mais après. Je serais seul. Puis mon corps sera offert à Orochimaru. Génial. Allez part ! Tu m'énerve ! Toi qui es libre. Ne reste pas ici. Profite. Moi je suis cloué au sol. Un jour. On m'a dit. Kakshi m'a dit, que je devais aspirer à des choses, beaucoup plus haute. Mais je ne peux pas. Désolé. Je suis figé par la vengance. Et après ce sera trop tard. J'aurais finit ma vie. Si je pouvais, je changerai le passé. Naruto serais mon frère, Kakashi un peu mon père et Sakura... Sakura... Sakura... Sa... Ku... Ra... Elle... Et ses cheveux. Elle... Et son odeur... C'est vraiment un beaux rève. L'oiseau sautilla jusqu'à Sasuke. Tu t'accroche on dirait ! En quelque bond il était sur sa paume. Il semblait frotter frénétiquement sa tête contre son pouce. Tu crois que l'on peut échanger sa famille ? Echanger son passé. Se décider à faire différement que la route devant sois ? Au fond, je pense que oui... Mais vraiment. Je suis juste un idiot qui rève un peu trop. Mais s'il te plait l'oiseau... Emporte moi. Loin... Très loin... Juste cette nuit. Juste jusqu'à demain. Pas plus loin que le levé du soleil. Près d'elle. Allez. Vole ! O tiens... Nan c'est idiot... Mais quand même... Il jetta un coup d'oeil inquiet. C'étais bon. Personne. Il s'agissait d'une vieille coutume de Konohoa. Profitant de la familiarité de l'oiseau, il pris un pinceau pour écrire rapidement un message qu'il fixa à la patte droite du précieux volatil. Sakura. C'est Sasuke. Je t'aime. L'oiseau, une fois à l'aise avec son chargement s'envola. Sasuke tomba dans un profond someil un peu étonné de son audace. L'oiseau battit des ailes assez longtemps... Très longtemps... Presque à bout de force, il se posa sur un grande porte, immense même. Du bec, il se nettoya les ailes. Juste en dessus, une voie joyeuse. Nigeïra, fressia, hortensia ! Fleur médicale venez tous par là ! Tsunade-hime est une tortionnaire ! Ceuillir des fleurs une nuit de pleine lune ! Je rève... Enfin... Oups ! Il va falloir faire attention. D'un coup trop vif, Sakura avait arraché un mètre carré de terre (entre autre). Elle passa quelque coup du dos de sa main pour dégager terre collé aux racines. Elle sourit en voyant un moineau Eh petit approche ! Elle tira de sa poche un gateau, déchira le plastique dans un crissement sonore et, une fois un peu émietté, tendis sa main vers lui. Viens ! N'ai pas peur ! L'oiseau, descendit de la porte de Konohoa et chassa le moineau peureux. T'es pas géné ! Oh, mais tu as l'air fatigué, tu as du faire une longue route ! Mange vite ! Je dois y aller ! Une fois l'oiseau rasasié, elle se releva, fit tomber les miettes de sa jupe et se prépara à rentrer. Tu me suis toi ? Tu es bien le seul... Tu sais, je n'arrive pas à retenir un seul homme. Tu dois être une femelle ! Pensé de l'oiseau : Ah bah ça merci bien ! Une femelle ! Pff... Moi, je suis vraiment... Inutile... Presque vide... Même Naruto se détourne de moi pour Hinata... Je me suis souvent dit que puisque c'était comme ça, alors je disparaitrais... Oui, un long et doux sommeil... Du bout de doigt, elle chercha une plante qu'elle connaisait pour ses propriété destressante. Elle la machonna pensive. Moi, je l'aime. Bien plus qu'à la folie. L'amour trihomphe toujours ? Quelle erreur... J'étais jeune... Eh ! T'es toujours là toi ! Eh ben ... Elle porta sa main vers le volatil aussi gros qu'un pigeon et entièrement noir. Celui ci monta vivement dessus. J'ai peur Sasuke. J'ai peur que ton souvenir s'envole avec cet oiseau. Si loin que je ne pourrais en rattraper que des vagues morceaux qui deviendront une image fausse,truquée. Reviens moi ! Je tuerai Itachi mille fois pour toi. Alors reviens. Moi, je t'aime alors je te cacherai de ton passé et puis de tout les reste. Naruto, moi et toi. Kakashi aussi. Ce sera comme une famille de jeune. Le vieu mis à part. Mais bon. Tu veux encore à manger ? Tiens. C'est bon ? C'est une graine excellent contre les coup de fatigue ! Elle sortit les clef de sa poche. Zut, mon portefeuille ! Une photot tomba au sol ... Naruto ? C'était sa photo, au sol. C'est si triste. Je ne t'aimerai jamais. Et pourant. Toi oui. Mais je suis heureuse ! Grâce à toi j'ai changé et de plus, je vois que tu aimes Hinata de plus en plus... Tu ris, tu joues. Suis-je la seul à regarder en arrirère ? Apparement. Tout changes. Mais moi j'en suis imcapable. Elle la fis rentrer dans la serrure. Une fois à l'intérieur elle faillit fermer la porte. Tu sais que tu devient chiant ? Bon allez, rentre. Mais pourquoi tu me suis comme ça ? Elle se posa à la fenêtre. Tu pense à moi ? Rien qu'un peu ... Elle l'ouvrit. Juste une seconde par jours seulement ! J'ai un peu changé depuis mais je devrais encore plus te plaire... Enfin j'espère... L'oiseau, sur son bureau piallia. Mais quoi ? Qu'est ce que tu veux franchement ? Il bougeai tellement qu'un livre tomba au sol : Conte et tradition de Konohoa par Jiraya. Ca ? D'accord ... La page ouverte était : Laisser un message à un oiseau, il le portera à travers le temps. Mais j'écris ? Quoi ? Sans réfléchir elle laissa courir sa main sur la feuille de riz. Sasuke, je t'aime. Rejoint moi. Elle l'attacha à une patte. Vole ! Et, s'il te plait... Emporte mon coeur avec toi... Près de lui... Juste cette nuit... Juste une seconde... Encore alourdit de quelque gramme, il s'envola dans la nuit... Il partit non loin. Dans un parc, une jeune fille, intimidée, et un jeune homme heureux barvardait sur un banc. L'oiseau se posa sur Hinata. H: Il est si mignon !! Naruto l'embrassa dans le coup : Pas autant que toi Hinata rougit : Sakura et passé par la. Elle l'a soigné. Avec des plantes. Je vois son chakra. N : Je lui rapporte. Je devais y aller de toute façons. Hinata bouda quelque milième de seconde de façon extrémement mignonne. N : Maintenant je peux revenir plus tards... H : Goujat ! N : Tu es bien osé de me parler comme ça ! Je te trouve un peu effronté ces dernier temps ! Hinata n'allait tout de même pas lui dire que c'était grâce à lui... Il échangèrent un regard complice et Naruto attrapa l'oiseau qui se laissa faire. Le jeune garçons marchait, et, l'aube se levait... Il laissa ses pensées divager... A son amis disparu. A son amie quil n'aimait plus comme avant... A cette équipe 7 qui n'était plus rien à présent ... Puisque c'est comme ça... Alors... Je vais disparaitre. L'oiseau sur son épaule, il laissa ses larmes couler. Certe, des trois, c'était celui qui s'en tirait le mieu. Mais à quel prix... Lui, maintenant, tout ce qu'il voulait, c'était de voir ces deux là aussi heureux que lui... Rire franchement du passé et de l'avenir... Du présent. Moi, je veux juste ne pas être le seul à être heureux. Juste être avec vous, encore un fois. Une seconde... T'es vraiment chiant l'oiseau ! Tu me griffe l'épaule ! Chancelant, il passa sa porte, monta les escalier et arriva chez lui. Acoudée à une fenêtre, il regardait les étoiles... Voyaient-ils les même ? A cet instant ? Il prit l'oiseau dans ses mains. Envole toi... Et prend ma joie avec toi. Donne leur. Moi je n'en veux plus... Ce sera un hiver sans fin... Même avec Hinata... Où les neiges ne fondront jamais... Pars... Et soit heureux. Toi au moin. Mr le Piaf. Mais une idée dérangait Naruto... Une vieille idée de Konohoa qu'il avait toujours voulus essayer, plus jeune. Autant en profiter ! Il déchira une feuille à son livre "parfait ninja en 10 leçons" et écrit dessus sans y prendre garde. Revenez... Je vous attends toujours. Amicalment, le Renard. Et l'oiseau partis. Naruto s'endormi. Kakashi leva les yeux, depuis son appartement, au ciel et s'arracha un instant à ses photos. Il vu l'oiseau se détacher de la clareté de la lune. Il sourit en le reconnaissant. Alors c'est bon aussi de ton côté ? On y est presque... Il regarda encore une fois ses photos. Cette équipe 7 ... Ma première. Ma favorite, une partie de moi. Plus jamais je ne laisserai souffrir mes proches. Quitte à en payer le prix. Quitte à me sacrifier. 100 ? 10 000 kilomètre ? Personne n'aurais pus le dire. Ni même où était l'oiseau à présent... L'oiseau ? En quelque coup d'aile il se percha sur une branche, dans une épaisse forêt. Encore une fois, il nettoya ses plumes à coup de bec... Mais cette fois-ci, les messages tombèrent au sol. Il plongea vers eux. Il y eu un "plop" sonore. L'oiseau avait disparu. A la place, un bel homme blond. Mais très vieux. Il sourit. Déplia les trois bouts de papier. Il les lus. Il rit un instant... Ca arrive, tout est en place... Ca approche. Demain, je m'occupe des adultes... Jiraya et Tsunade ont compris. Ca m'énerve. Mais ce sera bon. Les pions sont en place. La partie poura commencer. Fils, frère et femme... Katon ... Les papiers brulèrent. Et l'homme disparut dans la nuit. Un sourire sattisfait aux lèvres.

Je suis seul

Spoil: Fais moi de la place Juste un peu de place Pour ne pas qu'on m'efface J'n'ai pas trop d'amis Regarder en classe C'est pas l'extase Naruto regardait par la fenêtre. Un petit Naruto de 8 ans... Il pensait à ses non-amis. Il ne savait pas pourquoi mais personne ne semblait vouloir être avec lui. Il étais seul. Et triste. Mais il fallait le cacher. Sourire. Sauver les apparences. Et puis ne pas pleurer. De toute manière il n'en avais plus la force. Ses yeux était usé par l'éclat que donnait les gens heureux comme Choji, Shikamaru... Suis-je déjà perdant et ce dès le départ ? Y'a t'il un destin déjà écrit pour tous ? Le mien est-il si sombre ? Le soleil percait les vitres et éclairait son visage. Non... Je ne pense pas... J'ai encore une chance... Mon destin sera bien plus clair... JE SERAI HOKAGE ! J'ai beaucoup d'espace Je suis seul et personne à qui le dire C'est pas le pire Quand la pause arrive Je n'suis pas tranquille Il faut que je m'ecclipse Ou alors, accuser le coup Où dehors ... Un Gaara de 8 ans jouait dans son bac à sable. Il regardait au alentour. Personne. Comme d'habitude. Et il savait pourquoi. Il s'allongea sur le sable. Ce démon, en lui. Etait-ce lui qui lui faisait si mal au coeur ? Etait-ce lui qui éloigner les gens ... Peut-être... De toute manière il les détestait tous. Il les haîsait. De ses tripes, de son coeur. Et de tout son esprit. Il voulait voir leurs coeur écrassé au sol comme le sien dans son corps. Il boirait leurs sang s'il le fallait. Repansant à la tratrise de sa tante, il jura de tous les détruire. Il ne voulait pas de lui ? Très bien. Il leur rendrait au double. Non, au centuple. Pourquoi mon destin destin est-il si clairement ensanglanté ? Non... Je ne pense pas... J'ai encore une chance... Mon destin sera bien plus sombre... JE SERAI ASSASSIN ! Faudra que je cours Tous les jours Faudra-t-il que je cours Jusqu'au bout Gaara et Naruto se levèrent. Il courait vers leur village respectif. Avec un rève qui nessisiterai d'être le meilleurs. Et forcément, un jour, de tuer pour ne pas être tuer. Mais ils étaient confiant. Il serait les plus fort et dirigerais leurs destin. Je n'ai plus de souffle Je veux que l'on m'écoute Plus de doutes Pour m'en sortir Je dois tenir et construire Mon futur Partir à la conquête D'un vie moins dure Sasuke sorti en courant. A 8 ans il venait de voir toute sa famille, son clan mort. Il déhambulais dans les rues. Triste à s'en ouvrir les veines. Etait-ce de la peur ? Ou de la haine ... Ou de la l'amour... C'était surtout une infinie tristesse... De celle qui vous entoure à jamais et semble repousser les gens alentour. De celle qui fait émaner un alos qui murmure : Barre toi... De celle qui fait que plus rien de compte à part la vengance et le gout du sang... L'envie de tout détruire et de se détruire à son tour. Il était seul, il le savais. Et plus seul que quiconque ... Quiconque ? Hum... Il y avait bien ce Naruto... Mais même lui ne pouvait comprendre... Comprendre cet appel... L'envie de victoire. De revange. Plus... L'envie du sang de l'ennemi. Pourquoi mon destin destin est-il si clairement trassé ? Non... Je ne pense pas... J'ai encore une chance... Mon destin sera bien plus sombre... JE SERAI PLUS FORT QU'ITACHI ! Sûr que c'est pas gagné Mais j'assure mes arrières Pour connaître l'amour Et le monde ... Gaara regardait devant lui. Près de son magnifique appartement privée dû à son statut spécial. Temari ? Kakuro ? Mes frères ... Hum... Devrais-je un jour me battre contre eux ? Une famille ? Pff... Ridicule ... Si seulement ... Il pouvait l'être... Mais ils ont peur de moi. Je les comprend. Autant faire une croix dessus. Les tuer aussi ? Pourquoi pas... Naruto voyais tout les différents élèves de l'académie partir chez eux. Il révait d'une famille qui ressemble à celle des autres. Je resterait à jamais orphelin. A jamais paria... Si ce mot signifie quelque chose... Mes peut-être cette jolie fille, Sakura l'aimerait-il un jour ? Peut-être ce professeur si gentils, parviendrais-t-il à le comprendre ? Si seulement quelqu'un avait pu le respecter... Si seulement on avait pu, juste un instant l'aimer. Autant faire une croix dessus. Mais pas pour détruire ce rève. Au contraire. Pour le marquer au fer rouge dans son esprit. En faire sa destiné. Devant le cadavres de ses parents, Sasuke se pris à réver. Il en voulait à son frère. Mais il ne pouvait oublier que quelque secondes auparavent, il avait de toute ses forces recherché sa considération. Il l'aimait. Il le déteste. Autant en finir le plus vite possible. Etre le plus fort. Et crever après. Est-ce normal pour un enfant de vouloir ça ? Peut-être... Mais l'aimerait-on un jour comme sa famille l'avait fait ? Il en doutait. Si seulement, quelqu'un était là, pour m'aider. Me réconforter. Me prendre dans ses bras.. Mais non. Autant faire une crois dessus. Je serais un être condamné par son passé. Mort avant d'avoir réellement vécu. Faudra que je cours Tous les jours Faudra-t-il que je cours Jusqu'au bout Pour connaître le monde Et l'amour Il faudra que je cours Tous les jours Temari, Kankuro... M'aimez-vous ? Non, je ne pense pas... Sakura, professeur. Konoha... M'aimerais-vous ? Un jour vous reconnaitraient ma valeur ! Itachi ... M'aimais tu ? Un jour je te tuerai ! J'voudrais m'arrêter J'peux plus respirer Dans ce monde parmi vous J'voudrais m'arrêter J'peux plus respirer Dans ce monde parmi vous J'voudrais m'arrêter J'peux plus respirer Dans ce monde parmi vous J'voudrais m'arrêter J'peux plus respirer Dans ce monde parmi vous Les trois jeunes garçons suffoquait. La pluie était là. Depuis environs 3 heure ils s'entrainaient. Sans cesse. Et si Naruto était loin de réussir, ils avaient tous du sang sur les mains. Et un jour ils aurait le sang de leurs ennemis sur les lèvres. Ils leurs faudraient être frot. Etre cruel. Naruto rejetait cette partie de l'entrainement. Mais, même s'il ne le disait pas, il haîssait de toute son âme, de chaque pore de sa peau cet Hokage qui s'était servit de lui. Gaara en profitait, il l'attisait. Il tuait de petit animaux en espérant détruire un jour tout son village. Sasuke n'y pensait même pas. Les mains détruite et rendue insensible pas le feu, il ne pensait plus qu'à réussir sa vengeance... Et déjà, il se voyait devant le corps de son frère, à ses pieds. Faudra que je cours Tous les jours Faudra-t-il que je cours Jusqu'au bout Ils étaient au sol. Tout les trois. Presque mort. Fiévreux. En sang et en larmes. En sueur. Mais personne ne viendra. Personne n'essuiera le sang des leurs plaie. Leurs âme se consument. Il n'ont en réalité, à cette seconde présise. Ce dixième de seconde qu'une seule envie : Tuer. Mais le destin en choisira autrement. Naruto s'acceptera. Gaara tuera. Sasuke se morfondra dans une détresse sans fin. Pour connaître le monde Et l'amour Il faudra que je cours Tous les jours A quoi leur sert de vivre ? A pas grand chose. Ils sont seul. Plus de place pour la tristesse. Plus de place pour l'espoir en cet instant précis. Juste l'envie profonde de réaliser au plus vite leurs destin. Et de mourir après. Qui sait ? Fais moi de la place Juste un peu de place Pour ne pas qu'on m'efface Fais moi de la place Juste un peu de place Pour ne pas qu'on m'efface Fais moi de la place Naruto rentra seul, toujours seul vers son appartement. Les gens le fuyait. Mais il avait l'habitude. Il baissait la tête. Croisa un Sasuke suant qui rentrait lui aussi. Il va voir papa/maman... Veinard... Il s'endormis en chien de fusil comme pour se protéger du mond extérieur... Une larme s'écrassa sur le sol. Sasuke esquisa un sourire en voyant Naruto : "Je vaut mieux que ça... Enfin j'espère...". Il ne savais où aller. Sa maison était vide. Son coeur avec. Mais il rentra quand même. Tombant de fatigue il s'allongea sans le savoir sur le lit de son frère. Il s'endormi. Serein. Car à défault d'être heureux, son avenir était sûr. Il tuerai. Gaara s'endormi sur un lit de sable sur son lieu même d'entrainement. En sueur mais sans trop de sang grâce à son sable. Il ne savait vraiment pas quoi penser. Il voulait juste dormir. Ne plus jamais se réveiller ... Seul. Triste. En sang. En sueur. Tuer pour ne pas être tuer. Non. Vraiment. Le destin est imprévisible. Car 50 ans plus tard. Deux devienrent Hokage. Et le dernier fut le plus grand Anbu jamais vu. Non. Vraiment. On ne peux pas lui faire confiance. Jiraya referma son livre, souriant. "Encore une histoire rondement mené !" Et il s'endormit. Mais pas seul.

Fiction longue :
L'erreur et la destiné
Chapitre 1 : souvenir

Spoil: Ne pas... Se souvenir ... Il pousa, dans froid de la nuit, les deux terribles portes. Ne pas... S'enfuir. Il posa un pied à terre. Puis deux. Claqua la croupe du cheval qui s'enfuit au loin. Se passant la main dans ses cheveux, il se dirigea, en ligne droite, doucement, en évitant soigneseument certain endroit semblait-il, vers les bureaux de l'Hokage. Ne pas... Avoir peur... Il se força à ne pas pleurer devant la porte. Quand il entendit une voix reconnaissable entre mille. Celle de son maitre. -Sensei ! -Tu as tant grandis... Naruto ... Tu viens voir Tsunade ? -Oui Jiraya-sensei ! -Tu peux ne plus m'appeller comme ça, j'ai entendu parler de toi. En bien... Comme en mal. Tu es devenu si fort... -Je sais Ero-senin ... Naruto posa son regards sur le corps du perver. Il a vieillit pensat-il... Tellement vieillit... En 12 ans ! -On te dit plus fort que moi ! Quel honte ! -Pas tant que ça ... Vous n'êtes plus ... Célibataire je suppose ? -C'est exact. Depuis 5ans maintenant. -Obachan ? -Oui ... Obachan ... Il rit, doucement. La réputation qu'avait acquise Naruto en 12 ans était impressionante. On était loin de l'ancien petit ninja maladroit. Celui-ci était fort. Et endurcit. -Pourquoi me demande t-on ? -Tu le sera en entrant. -Je n'ai ... Pas vraiment envit ... -Tu es un homme maintenant voyons ! Tu as quel âge au fait ? -27 ans... 28 dans deux mois... -Un homme ... Tu risque de rencntrer les autres ? Tu t'es préparé ? -Je ... Non ! Je suis ... - Tu es ? -Nan rien ... Je suppose que ça ne sert à rien. -Je ne sais pas Naruto. Les cicatrices ont mis du temps à se refermer. Et puis sa présence? naruto le regarda, paniqué. Puis il se repris. Et comme un automate connaissant son texte par coeur déclara : -Je ne savais pas. Elle ne me l'a pas dit. J'étais déjà loin. -Oui, je comprends. Je te laisse. Hime n'aime pas que je traine trop avec ses officiers. Ainsi, Jiraya insista sur le fait que Naruto était toujours ninja de Konohoa ... Mais alors ? Tout cette histoire si vieille ... Effacée ? Tremblant, Naruto ouvrit la porte. Et, en voyant ce qu'il y avait devant, faillit partir en courant. -Bienvenus, Naruto dit simplement Tsunade. -Ca faisait longtemps... Completa Shikamaru. -Un bail... Continua encore Neiji. -Qui est-ce ? Naruto tourna la tête vers son interlocuteur à la jeune voix, et le voyant ne dit rien. Mais des larmes coulait sur ses joues. -Saruto... Tu peux partir maintenant. -Bien sensei ! Naruto s'écroula au sol dès qu'il eut franchi la porte... -Je ne savais pas. Elle ne me l'a pas dit. J'étais déjà loin. JE NE SAVAIS PAS !

Chapitre 2 : Une demande pressée

Spoil: Tsunade pris alors le temps de détailler Naruto, un Naruto vieillit de 12 ans... Il avait définitivemment abandonné le jaune. Il était entièrement habillé de noir. Comme pour un deuil... Il était légérement plus grand que Neiji mais pas autant que Skikamaru... Celui-ci sortit de sa torpeur et commenca : On ne t'apprend rien en te dissant que la situation est critique ... il sortit une carte de sa poche : -Presque tout les village frontalier de Konohoa ont été pris. Une bonne partie du Pay du Vent aussi... Neiji, devenu un très grand responsable au sein de "l'armée" compléta par ce qui lui semblait le plus important : Nous ne sommes pas assez fort. -Je ne pense pas vous être d'un très grand secour. Tsunafe : Nous connaisssons tes combats et ton passé. Mais Konoha a besoin de toi. Tu te dois de lui répondre comme elle te répondé autre fois. Il parut réfléchir. -Je ne peux pas. Je ne suis plus le même. J'aiderai les villages sur ma route. C'est tout ce que je peux faire. -Nous n'avaons pas besoin d'un ninja en plus mais d'un chef supplémentaire. Continua-t-elle malgès tout. -C'est à dire ? -Une nouvelle lois vient d'être voté. A partir de maintenant les villages ce doivent de constituer un triumvirat. En d'autre terme les hokage seront pour chaque village ... Neiji : Trois... Tsunade le regarda avec plus d'intensité : Neiji sera la force. Shikamaru la stratégie et toi ... Comme d'habitude... -Un traitre maugréat-il... Et sans rien rajouter, il quitta la pièce. Mais avant ajouta : -Saruto ... C'est lui n'est ce pas ? Shikamaru : Oui. Celui-ci ne savais pas trop quoi faire, il remuait pourtant toutes les possibilités dans sa tête. -Neiji attends moi ici. -Okay. Essaye de le convaincre. Il courrut pour le rattraper. -Allez viens, on va manger des ramens là bas... -Je... oui... -Tu verras, rien n'a changé. -D'accords... Naruto regardait son village natal sous la nuit. Il ressentait la pire des douleurs mais se taisait. Répondant à son attente muette, Shikamaru parla pour lui : -Konohamaru est Junin maintenant. Au village du sable ? Le trimvirat sera composé de Gaara évidemment, tu as vu ses nouvelles technique ? ( Naruto ocha la tête mais la dernière fois qu'il avait vu Garra s'était en s'enfuyant de Konoha il y bien longtemps maintenant... ) Kankuro et Temari-san. La famille quoi...Comme tu dois le savoir Jiraya à épousé Tsunade. On attendait ça depuis un moment. -Et toi ? -Je...

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