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. Petites histoires...
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Chapitre 3
Civil


Inscrit le: 31 Mar 2007
Messages: 14
Localisation: Après le chapitre 2.

MessagePosté le: Mar 22 Mai 2007, 1:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dans ce cas, le môssieur sans intérêt a hâte de lire une histoire plus adulte Wink
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Allen
Chuunin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 768
Localisation: plus trop là...

MessagePosté le: Mar 22 Mai 2007, 1:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Plus adulte....un truc sérieux quoi.
Je passe, désolée XD!

Quant à cette histoire d'appel à texte je suis carrément sceptique.
Je sais pas comment ça marche en plus ce bazar, et puis franchement j'ai pas la prétention d'une quelconque publication XD
Comme le rappelle le titre du topic ce sont des histoire à la con écrites juste comme ça Wink

Si je les ai mises sur le forum c'était pour avoir un avis c'est tout^^

Chapitre 3 tu peux toujours m'envoyer un MP avec de plus amples explications si ca te dit...
La prochaine histoire arrive bientôt et elle est pas sérieuse du tout Razz

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Chapitre 3
Civil


Inscrit le: 31 Mar 2007
Messages: 14
Localisation: Après le chapitre 2.

MessagePosté le: Mar 22 Mai 2007, 1:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Plus adulte... c'est pas forcément plus sérieux ou même sérieux tout court. Enfin bref.

Je t'enverrais un mp sur les appels à texte quand je verrais ma soeur ou son mari.
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JUAN
Civil


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Messages: 27

MessagePosté le: Jeu 24 Mai 2007, 6:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

j ai lu tes histoires ........et je me demande ce qui se passe dans ta tete Very Happy lol
c est pas mal du tout mais j ai du mal a piger si tes histoire ont un point communs (qui ne soit pas leur originalite) ou une morale ou quoi que se soit

_________________
JUAN/SAI fc:fantasy,hinata,shikamaru,et temari

NE CLIQUE PAS déconseille aux moins de 18 ans...
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Allen
Chuunin


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MessagePosté le: Mer 30 Mai 2007, 9:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le promeneur de nuage s’assit, fatigué.
Depuis la nuit des temps il faisait ça, promener les nuages à travers le monde.
Il était très demandé : pour la pluie, l’ombre, la neige et parfois simplement pour avoir un peu de blanc dans le ciel.
Mais là, perché sur sa montagne il était épuisé.
Il avait choisit une montagne pour faire le point sur sa vie
Car il avait entendu dire que c’était mieux d’avoir une vue d’ensemble lorsque l’on souhaitait régler un problème ou s’interroger sur son sort.
Et donc le promeneur de nuages s’interrogeait.

Au-dessus de sa tête, son petit troupeau soigneusement attaché par des ficelles dont les bouts reposaient dans le creux de ses mains.
Il soupira, le menton calé sur ses genoux fatigués repliés sous lui, et les nuages soupirèrent avec lui.
Les nuages aimaient beaucoup leur promeneur….
Il faut dire que se connaître depuis la nuit des temps cela crée des liens…et à le voir un peu triste et pensif ils se souvinrent de leur première rencontre.

Ils erraient à l’époque sans trop savoir pourquoi ni comment, perdu dans l’immensité du ciel…
Quand un jour, passant au-dessus de la mer, ils avaient croisé un bateau.
Ses voiles blanches magnifiques et pures, l’écume caressant son étrave et les mouettes dansant autour…ils avaient trouvé le spectacle magnifique.
Tellement beau qu’ils s‘étaient approché.
Approché tellement près qu’ils avaient finit par entourer le navire d’un brouillard épais.
L’homme sur le bateau ne voyait plus rien et menaçait de s’écraser sur les rochers, mais les nuages étaient comme attirés par lui et fasciné à la fois, qu’ils ne pouvaient plus partir.
Finalement le marin réussit à se tirer de ce mauvais pas et alors qu’il enroulait un cordage d’un mouvement de main expert une fois le danger passé, il leur adressa ces mots :
_Vous être trop imprudents, vous ne faîtes pas bien les choses.Il va falloir que je m’occupe de vous on dirait bien.
Et depuis ce jour, pour le bien de tous, et pour ne pas qu’une telle chose se reproduise, il avait guidé les nuages dans tous les pays du monde, inlassablement, les tirant avec ses bras adroits et marchant sans répit.

Les nuages s’en voulaient quand même beaucoup de l’avoir fait quitter son navire qu’il semblait aimer par dessus tout.
Car des fois il leur parlait de ses voyages et des paysages somptueux qu’il avait vu, et souvent même il les emmenait les admirer pour leur faire partager sa vie d’avant.
Aussi, en voyant leur ami accablé par cette vie, ils étaient tristes et le regardaient d’un air coupable.
Le promeneur de nuages soupira encore une fois, très profondément.
Il songeait à son bateau qui l’attendait, à sa liberté perdue pour le bien du monde, et s’efforçait de peser le pour et le contre, ne sachant où ces questions allaient le mener.
Du haut de sa montagne il voyait les autres s’affairer, courir, rire et voyager.
Il était content pour eux, mais il aurait aimé être content pour lui aussi quand même un petit peu.
Les yeux perdus dans cette observation blessante et fataliste il murmura :
_Et si je n’étais pas là ?Que se passerait-il ?Ma liberté contre quoi ?
Il n’en avait jamais voulu aux nuages de lui avoir imposé cette responsabilité, et puis il les aimait bien…blanc, innocents et candides.C’étaient un peu les enfants qu’il n’aurait jamais.
Il aimait en prendre soin et leur faire la leçon gentiment.
Mais il ne pouvait s’empêcher de penser à tout ce qui l’attendait, à tout ce qu’il devait encore vivre ou découvrir.

Soudain, il se mit à pleuvoir.
Le promeneur de nuages se redressa doucement, ne comprenant pas.
Il ne leur avait rien demandé, et une pluie sur cette montagne risquait créer des éboulements.
Il leva sa tête légère pour voir ce qu’il se passait et son visage se retrouve inondé d’eau salée.
Les nuages pleuraient.
Ils pleuraient sur le sort du promeneur de nuages et sur l’injustice qu’il lui avait fait subir.
Ils pleurèrent tellement,jamais on avait vu une pluie aussi hors de proportions, qu’au lieu de s’arrêter avant de disparaître, ils continuèrent jusqu’à ce que le dernier morceaux de coton blanc s’évapore dans l’azur.
Le promeneur de nuages qui ne comprenait plus rien, s’était agité vainement pour leur dire de faire attention,et pour le demander pour quoi tant de chagrin, mais il n’avait rien pu faire.
Le temps de tirer les ficelles jusqu’à lui pour les réconforter dans ses bras frais il n’y avait plus rien.
Les cordes molles dans ses mains, l’eau tiède sur son visage et le ciel horriblement vide.
Prit d’une soudaine douleur dans la poitrine il comprit subitement pourquoi les nuages avaient fait ça.
Une douleur chaude et insupportable à la fois au fond de lui, et les mains plaquées sur son torse il ouvrit la bouche pour crier très fort.
Pour exprimer la douleur de cette perte soudaine.

Une perte pleine d’avenir mais dont le prix lui rappelait combien il avait aimé ces nuages.
Et ce cri s’éleva tellement haut dans le bleu, qu’il atteint le noir où vive les étoiles et l’endroit ou dormait le soleil.
Ce dernier ouvrit un œil, intrigué par cette peine si retentissante, et pour la première fois de sa vie il daigna jeter un regard en bas.
Et quand il vit le chagrin du promeneur de nuages il ouvrit son autre œil, sa bouche, ses bras, et se mit à étinceler de toute sa puissance jusqu’alors endormie.
Les étoiles qui s’amusaient souvent de voir le dormeur paresser sans jamais réagir à quoique ce soit, lui demandèrent en riant :
_Que t’arrive-t-il donc ?Aurais-tu décidé de brûler celui qui a osé te réveiller ?
L’astre luisant leur répondit ses grands yeux rivés sur le promeneur de nuages :
_Une peine qui ne soucie pas des autres doit être terrible, qui saurais y être insensible à part vous ?
Les étoiles offusquées lui firent remarquer, alors que le promeneur de nuages, accablé avait regagné son bateau pour se consoler comme il le pouvait, que bien des désespoirs avaient éclaté alors qu’il dormait ignorant .
Ce à quoi le soleil répondit :
_Sans doute mesdemoiselles les étoiles, mais combien de peine dont l’origine devrait être une joie ?Notre promeneur est libre et pourtant….
Et sur ces mots, ses rayons touchèrent et caressèrent la terre encore humide des larmes des nuages…
La plus chaleureuse des invitations à continuer une histoire qui durait depuis la nuit des temps…



Loin de là,sur l’océan, le promeneur de nuage qui ne promenait plus rien du tout, voguait à pleine allure, noyant son amertume dans le claquement des voiles de son navire, sans parvenir à oublier ses ami,s pourtant les anciens geôliers de sa liberté.
Soudain une immense lumière dans le ciel.
Ebloui et surprit, le promeneur du nuage comprit que le soleil s’était réveillé et avait enfin décidé d’inonder le monde de sa magnificence.
Tout s’illumina d’un coup, le vert des arbres, le bleu du ciel, et des diamants apparurent sur la surface de tous les lacs, de toutes les rivières et de toutes les mers .
Il était heureux de voir que finalement il avait ouvert les yeux et accepté de jouer un rôle sur cette terre, lui qui avait toujours refusé de prendre part à la mascarade du monde, n’y voyant pas d’intérêt.

C’est pourquoi il se demandait les raisons de ce soudain réveil…, et alors qu’il réfléchissait, les yeux plissé sur la lumière aveuglante, une ombre furtive passa sur ses cheveux, ses mains et ses joues.
Son cœur s’accéléra et il pencha la tête pour regarder ce qu’il avait cru ne plus jamais voir.
Une autre ombre voila ses yeux et encore une autre.Elles défilaient à toute vitesse sur son visage ébahi.
Des nuages fonçaient dans le ciel au-dessus de lui, jouant dans ses voiles et frôlant à la manière des mouettes dans les mâts, et les cordages, le saluant d’un sourire presque aussi lumineux que le soleil.
Le cœur serré, l’ancien promeneur de nuage reconnut ses amis, filant à toute vitesse au-dessus de l’océan.
L’un d’eux freina sa course et se mit à flotter à sa hauteur, sur le bord du bastingage.
_Continue ton voyage mon ami, merci pour tout.Quant à nous, nous nous débrouillerons sans toi, et si un jour tu t’inquiètes de ne plus nous voir sache être patient.
Puis, le nuage reprit son vol majestueux, s’éleva très haut dans le ciel et rattrapa les autres qui avaient déjà disparu dans l’horizon en de grands signe de mains et de reconnaissance.
L’ancien promeneur de nuage, submergé par la joie, les trouva encore plus beaux, et plus grands qu’avant.
Et peut-être un peu plus sages.

Le soleil qui observait tout cela dit au promeneur du nuages ;
_Va mon ami, je ne pouvais pas laisser le Vent prisonnier, quand bien même ce fut d’amis.
Ce jour-là et à cet instant, ce fut la première et dernière fois que le Vent, à la place des nuages, fit pleuvoir un petit peu.

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Salvor.Hardin
Aspirant genin


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MessagePosté le: Jeu 31 Mai 2007, 12:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ca vaudrait presque le coup de développer un peu plus l'histoire... ou en tout cas cet "univers". Le Promeneur de Nuages est déjà ma préférée en tout cas ^^ J'aime beaucoup l'atmosphère quasi mythologique et la poésie "naïve" qui s'en dégage.

Ca me rappelle même un grand moment du Silmarilion de Tolkien... C'est peut-être pour ça que j'aimerais que cette histoire soit plus développée :p
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Allen
Chuunin


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Localisation: plus trop là...

MessagePosté le: Ven 01 Juin 2007, 10:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Razz

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Chapitre 3
Civil


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Localisation: Après le chapitre 2.

MessagePosté le: Sam 02 Juin 2007, 12:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Allen a écrit:
[...]
_Continue ton voyage mon ami, merci pour tout.Quant à nous, nous nous débrouillerons sans toi, et si un jour tu t’inquiètes de ne plus nous voir sache être patient.
[...]

Quelle bande de connards ces nuages quand même.
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Allen
Chuunin


Inscrit le: 30 Jan 2006
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MessagePosté le: Mar 05 Juin 2007, 8:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ouais c'est vrai^^
A corriger...mais plus tard

Edit
Ah, pauvre de moi...
J'ai reçu l'avis d'un pro=


Citation:
Citation:
bon, j'ai commencé puis, j'ai zappé...
C'est très répétitif dans la construction, donc vite lassant à mon goût.
Mais bon y a des fans sur le forum.



Mes rêves grandiose de parution viennent de tomber à l'eau XD
Z'avez un mouchoir? Laughing

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Je sais pas
Criminelle du Verbe
Criminelle du Verbe


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Messages: 1040
Localisation: T'es où ?

MessagePosté le: Jeu 04 Oct 2007, 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je remonte_Je remonte_Je remonte !
His__seuh !

____

J'avais seulement lu le premier, je viens de lecturer les deux autres textes.
Donc le second (Chesterfield) :
Le regard sur les humains déshumanisés et caractérisés par quelques traits les définissant.
Regard de la chose personnifiée incarnée par Chesterfied. (Tox' va)
Progression de la chose au cours de l'histoire qui s'amollit sentimentalement.
Métamorphose.
Evolution du Fauteuil et de la fille.
Elle est "cool" ton histoire.
Vraiment agréable à lire et bien écrite.
J'adore le fauteuil.

_________

Donc le troisième (la petite histoire) :
Tes personnifications sont très réussies Allen puisqu'elles peuplent tes histoires.
J'aime bien la description des différents "genres" d'histoires.
"sauta par la fenêtre" XDDD
J'imagine un bouquin en train de se faire la malle par une fenêtre XDDD
La sorte de parallélisme entre les humains et les bouquins, les sujets des bouquins je veux dire, est assez bienvenue et présente bien le reflet réaliste qui se superpose à une matière que sont les histoires.
Comme un miroir.
L'itinéraire de la petite histoire m'a fait sourire.
C'est comme si -je le sens de cette manière- on lui attribuait une identité et on la faisait vivre par justement l'ajout des jours, l'écrit d'une autre vie qui donnait, par sa vie, vie.

____

J'ai pas encore lu le dernier. J'éditerai sans doute.

_________________
Fille du 17 octobre./ "Souvent, mes couplets dépriment/"

La morve est glacée d'effroi.
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Allen
Chuunin


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Localisation: plus trop là...

MessagePosté le: Lun 15 Oct 2007, 7:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

ben merci^^

Je poste comme ça pas besoin d'éditer et je verrai que le sujet est remonté :p

Moi aussi j'adore ce fauteuil XD

_________________
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