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Merkurokrome
Genin


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MessagePosté le: Mar 22 Avr 2008, 7:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bon j'ai fais quelque modification, donc je supprimerai le post d'avant, je met ici un énoooorme texte!

- Cet évènement s’est produit il y a 7 ans, et ce devant ces yeux. Sa mère a voulu égorger son père. Elle a été atteinte d’une maladie inconnue. Une maladie lui ayant conférer une grande force, sa santé s’en était trouver améliorée mais ses sentiments….Tout a disparu ce jour et Blegor savait que ce jour allait venir ! C’était une maladie héréditaire. Alors que la folie l’avait gagné elle essaya d’éventrer Zagz, le jumeau de notre fier guerrier, mais leur père la stoppa et dut la tuer. Depuis ce jour tragique le regard de Alastor s’est figé a jamais dans le néant, mais il est resté fort, il n’a jamais succombé à sa tristesse. De plus il faut que vous le sachiez mais, Eréna, sa mère, c’était une Elfe.
-Alors ce garçon…C’est un Demi Elfe ?
-Exactement. A cause de ce statut, il n’as jamais connu d’amitié ou d’amour autre que celui de sa famille. Lorsqu’il arriva à Borgad il y a 9 ans, il le cacha a tous, sauf a moi car ma mère et son père était en très bonne entente.
-Le roi n’acceptera jamais cela !
-C’est pour cette raison que je vous demande de garder cela pour vous. Bon il est temps que j’aille me coucher. Demain le voyage risque d’être éprouvant.
-Un instant. Pourquoi m’avouer que ton ami est un Demi-Elfe ?
-Je suppose que vous etes au courant que dans ce monde empli de discrimination, un Demi Elfe faisant une fautes est mis au pied de l’échafaud, cependant s’il fait une bonne action, il peut être a peu près considérer comme un Humain, mieux vaut que vous le sachiez maintenant ou cas ou il se produirait un accident qui le mène a l’échafaud, je pense que mon honnêteté ainsi que la sienne a ce sujet ferait que vous auriez un tant soit peu de compassion. Et vous ne me semblez pas mauvais, la preuve vous n’avez pas sauté pris de rage lorsque je vous ai annoncé ça.
-Tu est plutôt malin dis moi. Bien alors bonne nuit, et rassure toi je ne trahirai pas ta confiance.


Des l’aube Firmior réveilla les hommes pour reprendre la route.
La pluie tombait a torrent et la route était vaseuse, les sabots des chevaux s’enfonçait dans la boue et les cavaliers ne pouvait guère voir plus loin que le bout de leur nez. Cette journée fut particulièrement pénible et éprouvante bien que sans encombre autre que la pluie et la boue.
Ils installèrent alors le camp lorsque le crépuscule tomba, la pluie avait cessée.
Exténués, ils ne discutèrent pas cette nuit là.
Le matin du lendemain, le soleil brillait intensément et aveuglait Kagéru, la chaleur était pesante, et devant nos Héros se tenait une vaste plaine dont on ne voyait le bout. Le territoire de Mélioxan s’étendait au-delà, en direction du sud ouest.
Il prirent la route en longeant la grande forêt, du nom de Glamor, une immense région boisée hantée par de nombreuse créatures toute hostiles a l’homme, rare était ceux s’y aventurant qui en ressortait vivant, mais alors que le calme planait et que le silence se faisait pesant, Alastor arrêta sa monture et agrippa le bras de son ami.

-Arrête toi !
-Pourquoi ?
-Ecoute.

Kagéru tendit l’oreille et perçut un bruit de frottement. Il porta la main à sa ceinture, et Alastor resserra ces gants.
Soudain des flèches surgirent de la forêt et allèrent se loger dans le corps des chevaliers de tête, s’effondrant de leur monture, le regard de la mort sur le visage.
La troupe était assez loin devant les deux compagnons qui talonna leurs chevaux, filant comme l’éclair.
Lorsqu’ils furent près des chevaliers, vingt des vingt huit hommes était au sol, blessé ou même mort. Firmior avait était désarçonné de son cheval mais se tenait droit fièrement tout en dressant son épée en direction de leurs adversaires. Face à eux se tenait une vingtaine d’hommes tous armés de dague, épées et arc. L’un d’eux ceignait une grande épée à la magnifique conception. Son visage était marqué d’une longue cicatrice traversant son œil droit. Son visage était ferme et ces yeux étaient d’un bleu azur, faisant contraste avec le reste.
Il fit s’écarter les autres hommes et passa en tête pour entamer une discussion

-Oh ! Mais qui vois je ? Firmior ?

Sa voix était douce a l’opposé de ce que laissait supposer son apparence.

-Tu serais ? Cet homme recherché pour le crimes de huit des quatre vingt légions représentant notre pays ?
-Oui mais pas seulement. Ta mémoire serait t’elle vacillante ? Ne me reconnais-tu pas ?

Firmior le fixa avec attention, puis soudain une lueur parcouru son regard.

-Mélrador ?
-On m’appelait ainsi. A présent mon nom est Zatror le tueur, c’est ainsi que l’on m’a rebaptisé lorsque l’on m’a supprimé des légions ! Moi l’homme le plus fidèle de Blegor ! Désolé Firmior, ce n’est pas vous que je recherche mais les soldats du roi s’entête a me barrer la route.
Mon objectif c’est lui.
-Pourquoi ?
-Pourquoi ? Mais voyons tu devrai le savoir, tu en es la cause ! Laisse moi tuer Blegor ! Laisse moi lui montrer que je l’est surpassé!
-Tu lui en veux donc encore ?

L’homme à la cicatrice lança un regard noir à Firmior et dégaina son épée pour lui porter un coup violent que son adversaire para avec peine.
Quand soudain une dague fendit l’air et alla se loger dans la tête de l’un des hommes du tueur.
Kagéru et Alastor arrivèrent au galop. Ils mirent pied a terre, et Kagéru se jeta a corps perdu dans les rangs ennemis pour récupérer son arme. Son compagnon mis un puissant coup de poing dans les côtes de l’un des ennemis. A ce moment, Zatror se retourna puis s’arrêta net pour observer Alastor.

-Ce gamin ? Le fils de Blegor ? Hahaha quel occasion rêvée que de pouvoir le faire venir a moi ! Poussez vous, laissez le moi !

Le tueur tendit la main en direction d’Alastor et dis :

-Es-tu le fils de Blegor ?
-Vous avez raison.
-J’en étais sur. Suis moi et aucun mal ne te sera fait. Résiste et tu connaîtras la torture.
-Qui êtes vous ?
-Celui que ton père a abandonné. Celui qui as besoin de vengeance.
-Je ne vois pas ce qu’il aurait pu vous faire de mal.
-Un jour tu le sauras. Je te jure de te le dire lorsque ton père aura accepté mon défi. Je te promets aussi de le laisser en vie.
-Est-ce que l’on peut avoir confiance en un criminel ?
-Ah ! Alors bats toi !

Ils se fixèrent longuement lorsque soudain Mélrador abattit son arme sur Alastor.
Dans un éclair, Kagéru passa devant son compagnon et para la lame de sa dague et dis à son ami :
-Bat toi ! Montre à Firmior ce que l’on vaut !

Alors un combat éprouvant alla débuter.

Alastor fit claquer ses gants dans l’air en les retirant, il s’écria que pour ce type d’homme il ne mettrai pas de gants.
Son adversaire posa son épée, tout en disant que, étant un homme loyal, il se battra de manière juste a arme égale.
Il se rua sur Alastor pour lui porter un rapide coup au visage, que ce dernier para d’une main, il riposta d’un violent coup de poing dans le nez, qui se brisa sous le choc de la frappe.
Alastor dégaina son joyau maudit et pointa sa lame sous la gorge de son ennemi.

-Reprends ton épée et bat toi !

Zatror fonça sur son arme et s’en réarma

-Alors Blegor t’a offert son épée. Etrange je n’est pas le souvenir d’une lame noire et ensanglantée, pourtant le Sceau royal n’en fait aucun doute.

Le combat reprit, le bruit des lames s’entrechoquant ne faisait que croître, pas un seul ne faiblissait, Alastor, qui n’avais jamais porter l’épée, se révéla être un excellent bretteur.
Il finit par obtenir la victoire suite a une spectaculaire parade.

-C’est vous qui allez vous soumettre.

Zatror avait mis un genou a terre suite au coup porté par le jeune homme, une longue entaille parcourait son estomac et la lame adverse se trouvait pointée sur sa gorge.
Il releva la tête, une main triturait sa blessure, pourtant son autre main resserra son arme et il se redressa difficilement. Il leva son bras armé en direction ciel et s’écria :

-Que cette lame soit bénite !

Un éclair s’abattit sur l’épée qui se mit à briller d’une lueur aveuglante. Alastor s’apprêta a porter un coup fatal a son adversaire mais celui-ci le para et fit s’encastré l’arme d’Alastor dans le sol, puis, a la surprise de tous, il planta la sienne juste a coté, la lumière blanche l’enveloppant se fit plus brillante encore et vint enrouler le blessé. Sa blessure se referma a vue d’œil et le sang cessa de couler.

-Petit, ceci fut la première, et dernière, technique magique inventée et mis en œuvre par la race humaine. Le créateur n’est autre que ton père et il ne voulut l’enseigner a personne. Il me l’a apprise à moi et seulement moi. Il me considérait comme son successeur. Je l’est connu il y a dix huit ans, a cette époque je n’avais que onze ans et ma vie se résumait a peu de chose, je n’avais ni famille, ni amis, seulement cette envie oppressante de mourir. Pourtant lorsqu’il me vu il me mena directement au château en me répétant sans cesse que je serai un très grand soldat. Je n’avais cependant jamais porter les armes, ni même subi un quelconque entraînement. Il m’enseigna alors le combat et fit de moi un homme sans peur et sans reproche. Il y a dix ans alors que je n’avais que dix neuf ans, je me trouvai enrôlé pour la guerre contre le peuple nain. Mon mentor était contre cette guerre, mais il y a pourtant pris part. Mais alors que la bataille faisait rage, je me trouvai assailli par une cohortes entière de nain, j’ai supplier Blegor de venir a mon secours, mais voyant Firmior, notre grand chef, celui qui inspirait le respect bien que plus faible que mon maître, en danger face a Mildor, le roi, et dictateur, des nains, il m’abandonna lâchement pour porter assistance a l’héritier au trône. J’ai cru mourir, plus par le geste que par les coups des nains, alors dans une dernière volonté, celle de lui faire regretter son acte, je parvins à contrer et à éliminer mes assaillants. Après cet horrible évènement, je désertai la légion, et j’ai perdu toute raison de vivre, mon seul ami et maître m’avait quitter vilement, cependant l’envie de vengeance me donna la force de vivre.

Alastor se tourna vers Firmior.

-Cette histoire est vraie ?
-Oui a ma grande honte

Le choc fut énorme, ce bandit de grand chemin était donc juste un homme empli de désespoir du fait d’un geste de Blegor.
Alastor prit alors la parole, lâchant son épée, et renfilant ses gants.

-Si mon père vous a abandonné comme vous dites je ne pense pas que ce soit dans le but de vous nuire, mais parce qu’il avait confiance en vos capacités, je me souviens l’avoir entendu prononcer votre nom. Lorsqu’il me narrait l’histoire qu’il avait vécu a Mélioxan, mais il voulut oublier toute activités guerrières, je pense donc qu’il as fait nombre d’effort pour ce faire, puis la mort de ma mère l’anéantissant, je pense que vous lui êtes sortis de l’esprit, certainement vous pensez t’il même a la tête de ce qui est anciennement sa légion.

L’ancien chevalier eu l’air ébahi, ses yeux azur s’ouvrit en grand laissant voir une pointe de tristesse.
-Je…Je n’avais jamais penser au fait qu’il puisse me faire confiance. Tu n’es pas son fils pour rien. Soit j’abdique, mais je vous en supplie. Emmenez moi avec vous. Quant à toi petit, j’ai nombre de chose à te raconter.

Ainsi l’embuscade pris fin et les chevaliers eurent, malgré de lourde perte, un nouvel allié puissant.

Ils s’engagèrent alors pour la longue traversée des plaines s’étendant devant eux, ils étaient a présent seulement quinze hommes tout en comptant Mélrador et vingt des chevaux, parmi eux, cinq des sept transportant eau et nourriture, s’étaient enfui, les deux restant étant Ténèbres et Eclair. Les vivres commençaient donc à se tarir et l’eau risquait fort de manquer en cause de la grande chaleur. Il leur faudra s’abreuver près du Trior. Pour la nourriture se sera plus compliqué à moins d’oser pénétrer dans la forêt de Glamor et faire la traversée de par ce chemin. En quelque sorte, il leur fallait faire le choix entre mourir de faim ou mourir dans les plus grands souffrances dépecés par les horribles créatures du bois.
Le soir au coin du feu, la discussion se faisait vive pour savoir ce qu’il allait advenir d’eux.

-Que fais t’on alors ? Demanda Firmior
-Pour moi c’est clair j’entre dans la forêt répondit Kagéru
-Te rends tu compte des dangers que cela représente ? Trancha sec l’un des soldats
-Pour moi aussi la forêt n’est pas une alternative, j’entre continua Alastor sans se soucier de ce qu’avait dit l’homme avant lui.
-J’ai pu constater de votre force, je pense donc que vous seriez en mesure d’en ressortir vivant jaugea Firmior cependant je ne pense pas tout mes hommes capable d’en faire de même.
-Eh bien que ceux qui ne s’en sente pas la force parte par les plaines mais qu’ils n’espèrent pas survivre déclara Mélrador. Pour moi ça sera Glamor, depuis le temps que je l’arpente je ne la crains plus, et pour que vous changiez d’avis je vous promet que je protègerai les hommes qui serai en mauvaise posture.

Des cris s’élevèrent et tous les hommes,tous sauf un soldat qui restait très calme, on ne pouvait voir son visage a cause du casque que chaque chevaliers portait pour se protéger le crâne mais ces yeux semblait calme, soit dix individus maugréa de manière brutale
-Qui ferai confiance a cet homme ?
-Sûrement pas moi
-je le tuerai dans son sommeil plutôt, cette sale vermine !

La voix de Firmior rompit cette discussion violente
-Ca suffit nous prendrons le chemin que nos nouveaux guerriers choisissent ! N’auriez vous pas honte d’avoir peur, vous la fierté de notre beau pays, alors que des enfants franchirait la limite de la forêt sans une once d’hésitation ?
Le silence se fit pesant jusqu'à ce que l’un des soldats repris la parole :

-Très bien moi je prends par la forêt
-Moi aussi dit un autre d’une voix faible


Chapitre 3 : Un terrible affrontement


Ainsi tous acceptèrent de pénétrer dans la forêt et d’affronter sa malédiction.
Du fait que nombre de chevaux avaient étaient perdu, tous durent marcher, de plus, avec les branches basses et les sentiers étroits, il était impossible de chevaucher.
La forêt était immense, Les arbres étaient noueux et semblaient daté de la création du monde. Leurs hauts branchages dissimulaient le ciel et rendait ainsi le lieu d’une obscurité sans pareil.
Le sol était boueux et de longs chemins se dessinaient dans la pénombre. Mais quelle route emprunté ?
Mélrador ayant parcouru cette forêt de bout en bout pris alors la charge de guider ces compagnons.
Ils s’engagèrent tous, tremblant, dans ces ténèbres terribles. Le guide se révéla être très bon.
Cependant après de très longues heures de marche et alors que l’obscurité se faisaient grandissante, un bruit interrompit les chevaliers dans leur progression.
C’était un bruit effrayant, des craquements sourds, imposants, et surtout terrifiants troublaient les hommes. Mais le pire était cette légère sonorité aigue qui émanai de derrière un immense tronc. Ce son ressemblait à la douce mélodie d’une flûte. Mais qui pouvait bien jouer ? En soi ce n’était pas si inquiétant que ça. Cependant Mélrador s’était immobilisé, prêt à réagir au moindre mouvement. Son corps était parcouru de convulsions, et les chevaux restant ne tenaient plus en place, ils se débattaient pour prendre la fuite.
Quand soudainement une brume les recouvrit tous. Elle était si épaisse que plus rien n’était visible, pas même ce qui se tenait juste devant eux, c’est comme s’ils étaient devenus aveugles. Chacun se retrouvait alors plongé dans un sentiment d’angoisse immense, seul.
Le bruit de l’agitation se fit entendre, les fers des chevaux galopants pour prendre la fuite résonnèrent longtemps, et le cri des chevaliers apeurés était persistant. La voix de Mélrador s’éleva :

-Prenez la fuite ! Du plus vite que vous le pouvez !

A ces mots, Kagéru remonta en selle et talonna Ténèbres. Il était difficile de ne pas chuter sous le choc des branches heurtant ses côtes mais partir a dos de cheval était le moyen le plus rapide de prendre la fuite, mais aussi de se perdre.
Après une douloureuse chevauchée, il s’arrêta dans une petite clairière ou le soleil pouvait s’infiltrer, c’était l’endroit idéal pour se reposer.
Il s’assit alors dans l’herbe sèche et se tritura les côtes tout en songeant à Alastor.
Lorsque tout a coup, un buisson remua dans un bruit de branchage.
Kagéru fut pris de panique, son courage jusqu'à présent invaincu s’était dissipé, il était comme un nouveau né loin de ses parents.
Quand soudain une silhouette apparu de derrière le buisson.
Le cœur de Kagéru s’emballa, mais c’est alors que :

-Ah ! Kagéru !

C’était Alastor, il était accompagné de Mélrador qui portait Firmior sur son dos.
Ce dernier avait de lourdes blessures et était tombé dans le coma. Ses blessures semblait être du a une chaleur intense ayant parcouru son corps, autrement dit, des brûlures :

-Vous avez était témoins de la pire malédiction de cette forêt, Il y a en ce lieu un Nain annonça le guide.
-Un Nain ? Vivant hors des montagnes et des grottes ? Interrogea le réfugié
-Oui exactement. Ce Nain semble être le maître de ces lieux, sa puissance surpasse l’entendement et pour une raison que j’ignore, des l’entrée d’un homme dans ce bois il déchaîne son courroux.
-Firmior semble grièvement brûlé. Un Nain ne peut lui avoir infliger de telles blessures, seul un Elfe en serait capable, ou plutôt la magie déduit Kagéru
-Comme vous le savez tout les deux, pour exécuter un sort magique il n’est pas nécessaire d’avoir du sang d’Elfe, mais juste de connaître la formule n’est ce pas ? Eréna avait du vous l’apprendre.
- En effet, mais…Comment un Nain pourrait t’il connaître des formules.
-Je l’ignore.
-Je vois. Et Firmior ? Il va s’en sortir ?
-Oui grâce à l’unique sortilège humain j’ai pu lui assurer un avenir, mais il ne faudra pas compter sur lui avant un moment. Après ta fuite un bref combat a débuté. Du fait que je connaisse le maître de la forêt, j’ai réussi à trouver une faille dans sa garde et le distraire assez longtemps pour que les survivants puissent s’enfuir. Après cela il ne restait plus que moi et ton ami. Mais notre ennemi a annoncé que pour l’instant il nous laisserait la vie sauve mais qu’il finirai par nous avoir.
-Vous l’avez affronté souvent ?
-Plusieurs fois oui, je n’en ressortais jamais indemne.
-Et lui ?
-Haha je n’est jamais réussi a lui porter le moindre coup répondit Mélrador, la mine sombre.

Les yeux des deux jeunes garçons s’ouvrirent en grands et après un court instant, ils décidèrent de prendre un ridicule dîner avec le peu de provisions que Ténèbres portait encore sur son dos.
Pendant le repas Mélrador prit de nouveau la parole.

-Bon les gars j’ai une histoire a vous racontez. Cette histoire c’est celle qui m’as poussez a vous suivre, outre le fait que Alastor m’intéresse.
-Parce qu’il y une autre raison ? Questionna Kagéru
-Oui bien entendu. Pense-tu vraiment qu’un criminel tel que moi aurait accepté aussi simplement la défaite et de se rendre au château de Mélioxan alors que je risque d’y être exécuté sur grand place ? De plus j’aurai put vous tuer à n’importe quel instant pendant notre combat.
-Mais alors quelle est cette autre raison ?
Mélrador tendit la main en direction d’Alastor, plus précisément en direction de l’épée.
- Mon épée chuchota Alastor
-Oui exactement. J’ai entendu beaucoup de rumeur sur cette lame. A vrai dire je n’y avais jamais cru jusqu'à ce que je voie cette noirceur qu’elle a obtenue. Je vais vous narrer ces légendes. Pour commencer l’origine de cette épée. Elle est arrivé droit du continent d’en face au delà de la mer et loin de nos tourments. Elle a été amener ici par un Elfe il y a bien longtemps de cela. Il l’avait forgée en vue de l’offrir au humains pour la considérer comme un pacte avec les humains et que leur conflit perpétuels prennent alors fin. Cependant rien a était respecté et cet Elfe fut abattu sans pitié. A ce moment la lame devint noire et sa puissance s’en trouva altérer. Les hommes l’ayant possédé sont tous mort dans d’atroces souffrances qu’il soit des Humains, des Nains ou même des Elfes, tous succombaient à la malédiction de cette épée. Il était dit que seul lorsqu’un véritable Héros l’utiliserai pour faire le bien elle retrouverai son éclat d’origine. De la même manière, lorsque le cœur du Héros aura faibli et que ses actes commencent à être noir l’épée reprend l’aspect démoniaque. Une épée a deux faces. Ragnarok, l’épée sacrée du Destin. Je n’y croyais pas car cette lame aurait, selon la légende été noire bien des siècles et aujourd’hui disparut. Comment Blegor aurait pu l’avoir et surtout sous sa forme originel ? Je l’ai pris pour un menteur mais je dois bien l’admettre, il n’as pas du mentir. Je veux voir ou nous mèneras cette Epée même si je dois y laisser la vie.
-Simplement pour cette histoire vous nous aideriez ? demanda Alastor
-Disons que je me demande bien comment va se terminer l’histoire de ce monde, je sens que bientôt quelque chose va changer dans ce pays, j’ai ce pressentiments depuis quelque temps déjà mais c’est lorsque j’ai vu Ragnarok que ça s’est confirmer. Bon sur ce je vous souhaite une bonne nuit, je vais me coucher.

Et il alla se blottir contre un arbre, les bras croisés et les yeux fermés.

Alastor s’adressa à son ami :

-Tu y crois à cette histoire ?
-Je ne saurai te dire, ça semble être vrai et pourtant j’ai du mal à y croire. De toute façon, nous on s’en fiche un peu. On verra bien par la suite. Pour l’instant ce qui importe, c’est d’arriver au château indemne et de pouvoir recevoir notre entraînement et enfin gagner de l’argent.
-Oui. Tu as raison.

A leur tour ils allèrent se trouver un coin assez confortable pour s’endormir, le clair de lune baignant leurs doux visages de lumière.
Le lendemain matin, le soleil leur caressa tendrement la joue et les réveilla gentiment. Une bonne odeur leur montait également aux narines. Le doux parfum de viande cuite à feu doux.
Et le chant mélodieux des oiseaux se faisait entendre. Cette journée semblait être bonne.
Lorsqu’il redressa la tête, Kagéru vit Mélrador se tenir près d’un feu dans lequel chauffait un énorme animal. Mélrador se retourna et lui dit :

-La nuit cacher vous bien sinon vous finirez dans l’estomac d’une de ces bêtes. N’étiez vous pas des chasseurs ? Vous avez fait une erreur en temps que professionnel, heureusement je me suis réveiller a temps et j’ai pu anéantir cet animal et du même coup obtenir un copieux petit déjeuner.

Kagéru se sentait honteux d’avoir commis une telle faute.

-Je suis confus…..Je… Je ferai attention la prochaine fois !
-Ne t’en fais pas. C’est la fatigue certainement. Mais sache que je ne serai pas toujours la pour vous.
-Oui. Merci beaucoup Mélrador !

Ainsi ils eurent droit à un copieux petit déjeuner, qui leur conféra une vitalité débordante.
Mélrador leur adressa la parole :

-Bon je vais profiter de cette journée pour faire quelques petites choses. Puis-je prendre Ténèbres avec moi ?
-Bien sur mais pourquoi faire ?
-Vous comprendrez le moment venu. Veillez sur Firmior et ne vous écartez pas !
-D’accord.

Ainsi le chevalier prit Ténèbres avec lui et s’écarta peu a peu jusqu'à n’être plus qu’une silhouette se dessinant dans l’ombre.
Kagéru et Alastor ne se sentait pas rassuré de le voir s’éloigner. Il était le vétéran des combats avec Firmior, de plus il connaissait la forêt, sa présence apaisait les combattants.
La journée fut particulièrement ennuyeuse pour les deux jeunes garçons, vers midi la faim commença a tirailler leurs estomacs, Kagéru entreprit alors d’aller chasser.

-Tu comptes ignorer les conseils de Mélrador ?
-Je préfère cela que mourir de faim !
-Mais tu n’as pas peur de tomber sur ce fameux Nain ?
-Je ne pense pas que les chance de tomber sur lui soit plus grande en vagabondant dans la forêt qu’en restant ici. Peut être même que c’est le contraire.
-Tu as raison en effet, mais nous ne pouvons laisser Firmior ici.
-C’est vrai ! Je n’y avais pas pensé ! Eh bien que penserai tu de rester ici a surveiller Firmior pendant que je chasse ?
-Je refuse ! Tu t’exposes trop au danger en faisant cela !
-Ne t’en fais pas. Je n’irai pas loin. Et je marcherai toujours droit devant. Si je suis en danger je courais jusqu’ici !
-J’ai bien l’impression que je ne pourrai pas te faire changer d’avis. Soit fais comme tu l’entends mais ne prends pas de risques inconsidérés.
-D’accord.

Et Kagéru prit a son tour la route mais dans le chemin opposé a celui qu’avait pris Mélrador.
Il marcha pendant de bien longues minutes mais aucun son ne se faisait entendre. On pouvait même percevoir le cri du vent qui passait entre les arbres. L’inquiétude commença à envahir le chasseur, un tel silence n’était pas naturel.
Alors, sans savoir pourquoi, il se mit à courir toujours droit devant lui, pour finalement arrivé près d’une seconde clairière, bien plus vaste, bien plus lumineuse et surtout, en son centre se tenait une habitation.
Surpris, il examina longuement le contour de la maisonnette, puis tout à coup quelque chose lui sauta aux yeux. Sur le coté droit de la cabane était attaché un cheval blanc. Ce cheval n’était autre qu’Eclair, la fière monture d’Alastor.
Surpris de sa découverte, il tourna les talons et repris la même allure que pour venir afin de prévenir Alastor.
Quand il arriva au campement, il vit son ami tendre une gourde d’eau à Firmior.

-Firmior est réveillé ?
-Oui. Mais il souffre beaucoup, peut être étais ce mieux pour lui de dormir.
-Ne…. Ne vous en faites pas….Très bientôt, j’irai… beaucoup mieux. Sa voix était saccadée et a peine audible
Kagéru hésita avant de prendre la parole :
-Hum…Alastor j’ai découvert quelque chose d’étrange non loin d’ici
-Qu’essaye tu de me dire ? Que tu souhaite m’emmener avec toi ? Je refuse. Tu laisserais Firmior ici ?
-Bien sur que non mais nous pourrions l’emmener
-La nuit est proche Kagéru et nous déplacer avec un blessé prendrait beaucoup de temps, de plus a en juger par ton essoufflement je déduis que tu as couru du plus vite que tes jambes le permettent ce au moins pour le retour or tu te déplace vraiment très vite et cela fait pourtant six heures que tu est parti.
-Alors rien ne t’échappe jamais n’est ce pas ?
Quand soudain un bruit retentit dans les buissons.
Un homme apparut, il avait des cheveux mi longs d’une couleur obscure, tout comme Kagéru, et ces yeux couleur émeraude brillaient. Sa beauté était inégalable malgré les quelques cicatrices parcourant son visage.
Ces habits étaient en lambeau, cependant une chose permettait de l’identifier, la veste déchirée qu’il portait était marquée du sceau des chevaliers.
Alastor et Kagéru le reconnut immédiatement
-Ce regard. Etes vous ce guerrier qui fut le seul a accepter le fait d’entrer ici ?
-Comment sais tu cela petit ?
-Vos yeux, ils sont très facilement reconnaissable a cause de ce petit éclat azur dans ce vert si pur.
-Je vois, tu n’es pas n’importe qui.
Kagéru entra alors dans la discussion :
-Mais vous êtes blessé venez plutôt par ici pour que nous pansions vos blessures.
-C’est inutile, je suis ici a la demande de Mélrador. Il m’a informé que vous étiez par ici, il est en ce moment même en plein combat. Il attend notre aide, faisons vite.
-Mais et Firmior ?
-Je m’en occupe

A cet instant le jeune homme posa ses mains sur Firmior et les blessures se refermèrent presque aussitôt.
-Mais ! Comment est ce possible seul la magie de Mélrador poussé à un haut niveau ou les arcanes Elfes aurait pu en faire autant.
-Si j’ai put le faire, c’est grâce à ceci expliqua le guérisseur en tendant un parchemin. Sur ce papier est écrit une formule écrite par une shamane Elfe. Cependant pour pouvoir en faire usage il faut avoir le cœur pur et l’encre disparaît à chaque utilisation. Cette fois était l’avant dernière.Mais l’heure n’est pas au explications, il est temps d’aller prêter main forte a notre compagnon. Pressons nous !
Les quatre hommes se précipitèrent au cœur de la forêt pour soutenir leur guide
Kagéru dégaina sa dague tout en courant, Alastor retira ces gants et Firmior se saisi de son glaive.
Lorsqu’ils arrivèrent, ils le virent en proie avec une dizaine d’arbres se mouvant et ayant sur le tronc un véritable visage, criant comme les trompes de l’Enfer.
Dans son dos, quelque chose se tenait debout et repoussait les ennemis venant de par l’arrière.
On aurait juré que c’était un humain lorsque l’on voyait sa silhouette, cependant une aura obscure flottait autour de lui et son visage était imperceptible.
Un des grands végétaux allait porter un violent coup sur le crâne de cet être si étrange.
Kagéru poussa un cri. Mais, alors qu’il allait s’engager dans le combat, le soldat les ayant fait venir sur ce lieu lança un parchemin qui s’enflamma au contact de l’imposant ennemi.
Tous les arbres brûlèrent et le combat pris aussitôt fin, une partie de la forêt fut ravagé.
Alors que Firmior et Alastor s’approchèrent de leur compagnon, leur allié du moment leur adressa la parole.
La voix était tout à fait humaine mais elle semblait provenir de leurs propres corps, comme s’ils se parlaient eux-mêmes.
-Je vous suis reconnaissant de m’avoir porter assistance dans ce combat .Pour vous remercier je ne vous tuerai pas, ce que j’aurai pourtant du faire. Je vais donc vous quitter a présent.
-Attendez ! Qui êtes vous ? Interrogea Mélrador. Où plutôt qu’êtes vous ?
-Je ne suis ni un ennemi, ni un ami je suis l’ombre de vous-même, je ne peut être plus précis, profitez du temps qu’il vous reste a vivre. Adieu.
Et il disparut dans l’instant qui suit, comme s’il s’était volatilisé.
Après cela tous les chevaliers étaient décontenancés, il leur était devenu impossible de penser a quoi que ce soit d’autre que ce qu’ils venaient de voir.
Puis, après avoir rangé son arme, Mélrador s’approcha de l’homme ayant mis feu aux arbres :

-Tu n’as pas obéi à mes ordres Soldat ! Je t’avais dis de fuir ! Cria-t-il. Il se calma puis repris. En plus tu sembles avoir des connaissances Elfiques, celle des grands shamans, un clan faible à la base, mais qui finis par rattraper leurs semblables grâce aux parchemins que tu as toi-même utilisé, cependant ils ont disparus et leurs écrits avec eux. Comment peux tu en posséder ? Qui est tu ?
-Je ne suis qu’un simple soldat qui vous a rejoint par inquiétude pour vous, ces parchemins je les ai trouver il y a quelques années, deux ans il me semble, lors de l’une de mes premières missions. Sinon en ce qui concerne mon prénom, il s’agit de Tigrosen, et à partir de maintenant je serai votre compagnon.
- Tu sembles nous dissimuler des secrets ! Rugit le meneur du groupe
-Je ne le fais pourtant pas.
Ces paroles avaient été prononcées avec un air de détachement complet.
En tout point cet homme paraissait étrange, aussi bien dans son attitude que dans son apparence.
A présent que son heaume n’était plus la, On pouvait clairement décrire le visage du jeune homme.
Ces cheveux étaient proprement coupés de manière linéaire, ainsi que plutôt bien soignés, son visage fin était d’une beauté sans pareil et ses yeux particuliers ne faisaient que l’embellir un peu plus encore.
En le regardant bien, Kagéru se rendit compte qu’il n’était que guère plus vieux que lui et Alastor.
Pourtant il n’était pas effrayé, plutôt serein même.
Mélrador repris la parole, un peu agacé par l’attitude du jeune soldat, et leur ordonna de retourner à la clairière ou ils étaient quelques heures auparavant. Ainsi le groupe se remis en marche en direction de leur lieu salvateur.
Mélrador les laissèrent cependant y aller seuls car il devait partir rechercher Ténèbres à son campement principal.
Les quatre hommes restant prirent donc la décision d’attendre leur allié tout en regagnant de leur journée plus ou moins éprouvante. Ceci leur permis de faire la connaissance de Tigrosen.
Il s’avéra être un agréable compagnon. Ils apprirent qu’il n’avait plus de famille, et qu’il fut élevé par des nobles de l’empire de Mélioxan qui fut assassiner par des Elfes il y avait de cela 4 ans, une année avant qu’il s’enrôle dans l’armée alors qu’il était âgé de treize ans.
Le plus étonnant chez ce jeune homme était que malgré la haine qu’il portait pour les Elfes, il utilisait des parchemins magiques pour combattre, un secret entoure sûrement cette histoire.
Apres de longues heures de vives discussions, ils décidèrent d’aller se coucher en s’attribuant néanmoins chacun un tour de garde afin qu’aucun incident comme la veille ne se produise.
Kagéru décida de prendre le premier, suivi d’Alastor qui laissera sa place à Tigrosen, Firmior héritant donc du dernier.
Kagéru s’installa donc sur un rocher surplombant une partie de la forêt pendant que les autres étaient allez se coucher dans la tente grisâtre que Tigrosen avait compté parmi ces effets personnels, une prévision ma foi bien utile.
Le jeune homme commençait alors à scruter les environs d’un œil de lynx, la main sur sa dague, prêt à agir au moindre son suspect.
Très vite, seuls les ronflements de ces compagnons rompait le silence de la nuit, ce qui le rassura. Puis, une heure et demie plus tard, Alastor le rejoigna pour prendre le relais.
Mais Kagéru hocha la tête pour montrer son refus. Une discussion s’entama :
-Comment ? Questionna Alastor
-Je t’ai dit non, je peux veiller encore un peu.
-Je ne comprends pas, c’était pourtant convenu ainsi.
-En effet, mais j’ai penser a diverses choses cette nuit et je crains fort de ne pas trouver le sommeil alors autant que je veille et que vous regagniez tous vos forces.
-Tu parles de ce que tu as vu hier ?
-Précisément.
-Que tu es obstiné !
-Tu ne comprends pas ! Attends au moins que je te dise ce que j’ai vu.
Alastor eu un frisson violent.
-Alors raconte moi vite, quelque chose approche, quelque chose d’hostile et de dangereux.
-Oui j’ai senti moi aussi, alors voila, j’ai vu une habitation non loin d’ici, une sorte de cabane faite d’un bois sombre, elle avait l’air très paisible.
-Je me moque de comment est cette maison. Viens en au fait, c’est tout proche.
-Oui en effet……Eh bien, ton cheval était a coté ! Nous devrions pouvoir le récupérer, étant donné que nous ne sommes plus que cinq, et que toi, moi et Tigrosen aurions peut être la possibilité de tenir tout les trois sur Ténèbres, la chevauché pourrait…..
Mais sa phrase resta inachevée, la chose qui rodait était apparue.
Les deux garçons étouffèrent une exclamation. L’homme, si cela était qualifiable ainsi, qui avait combattu au coté de Mélrador se tenait la devant eux. Un sourire naquit sur ses lèvres qui étaient a peine visible.
C’est alors qu’il entendirent de nouveau cette voix semblant venir d’eux même, cependant elle paraissant plus aigue, glaciale.
-Un Humain et un Demi-Elfe. Drôle de combinaison. Cela fait si longtemps que je n’avais pas vu de Demi-Elfe.
Et un rire tonitruant les envahirent comme si leurs têtes aller explosés.
Pourtant malgré ce vacarme, personne ne semblait être réveillé dans la tente. Se pouvait-il que seuls les personnes se tenant face a cette créature soit capable de percevoir sa voix ?
Il n’eurent cependant pas le temps d’élucider le mystère. L’Etre obscur se ruait déjà sur Alastor, une longue épée a la main, la cible para le coup grâce a l’Epée du Destin, Ragnarok.
A la vue de cette arme le dangereux ennemi tressaillit légèrement. La voix résonna :
-Ragnarok ! Quelle chance ! Dire que cela faisait des années que nous la cherchions !
Surpris, Alastor failli lâcher son arme, mais se reprenant, il allait contre attaqué lorsqu’un rictus maléfique se forma sur le visage de la chose encapuchonnée.
Les deux garçons furent immobilisés net, envahi par une peur incontrôlable et incompréhensible.
La créature pris Ragnarok des mains d’Alastor qui n’opposa aucune résistance. Lui qui était habituellement d’une attitude si calme qu’elle en paraissait même parfois froide était aussi exposé et apeuré qu’un oisillon face a son prédateur naturel.
Leur adversaire observa la lame quelques instant et susurra :
-Quelle déception que de devoir la détruire.
Puis dans un léger sifflement, une dague étincelante trancha l’Epée du Destin avec la même aisance qu’un couteau tranche du beurre.
Apres sa destruction, pour une raison que tous ignore, la lame eu retrouvé sa pureté d’autrefois.
Pour les deux jeunes garçons, le temps semblait s’être arrêter et il n’attendait plus que d’être emporté par Samael, autrement dit la mort. Il pensait que leur destin était similaire a celui de l’Epée, être anéanti.
Mais soudain un bruit de sabot se fit entendre, et Mélrador se fit voir, brillant dans une armure nouvelle d’un éclat argenté éblouissant parcouru d’une longue bordure jaune décorant son torse, il portait un épais pantalon fait de peau d’une bête inconnue et avait de hautes bottes de cuir montant jusqu'à ces genoux. Ses cheveux avaient été coupés au niveau des épaules de manière très soigné. Sa présence eut le même effet que la descente d’un ange sur Terre. Derrière lui marchait péniblement Ténèbres, le grand cheval noir de Kagéru. Il lâcha la sangle du harnais et mis la main à sa ceinture, il dégaina une immense épée raffinée, cela ne pouvait être que l’œuvre d’un nain, tout en regardant successivement l’agresseur des enfants et Ragnarok gisant fendue en deux sur le sol. De sa voix douce mais affirmé il dit :
-Qui etes vous ? Vous n’etes pas celui que j’ai vu la dernière fois ! Alors qui ? Vous etes quoi au juste ? Comment c’est possible de détruire Ragnarok aussi facilement ?
La voix de l’être obscur se fit de nouveau ressentir :
-La dernière fois ? Et tu es encore en vie ? Aurais tu croiser Vardak ?
Il venait de nommer l’un de ses semblables. Ainsi donc ces créature avait un nom.
Mais alors que le puissant ennemi se tournait pour fixer Mélrador la toile de la tente s’écarta et laissa apparaître Tigrosen.
-Mélrador ? Et lui la qui c’est ? Merde !
Et il se précipita au dehors après avoir réveillé Firmior.
Le jeune soldat pris la parole et dit :
-Kagéru, Alastor, fuyez. Allez au plus loin que vos jambes le permettront, je reste au Coté des Seigneurs Firmior et Mélrador pour les épauler.
Sans perdre un instant Alastor ramassa son Epée et suivi Kagéru qui s’enfonçait déjà dans la forêt.
A présent, les adversaires de la créature étaient plus nombreux et plus expérimenté. Avant même d’avoir fait le moindre mouvement, un feu destructeur l’entourait pres à la brûler au moindre de ses gestes :
-C’était le plus puissant des parchemins offensif en ma possession, malheureusement a force d’utilisation, l’encre s’est effacé et il est a présent temps qu’il retourne a l’état de cendres.
Mais la chose noire, a peine visible au travers des flammes, explosa de son rire si oppressant. Les guerriers semblait croire qu’elle était en proie a la folie précédant la mort mais soudain le rire cessa et les trois chevalier perçurent un :
-Plait il
Et le feu disparu aussi vite qu’il était apparu.
Le choc fut immense mais Tigrosen, Mélrador et Firmior, habitués a des combats difficile ou leur vie était en jeu ne baissèrent pas les bras et se ruèrent au corps a corps, leur épées a la main.
La bataille fit rage et ensemble ils assaillaient la créature de moult coups. Pourtant, pas un seul ne put l’atteindre. L’être obscur semblait heureux d’avoir face a lui des combattant assez courageux pour combattre et s’amusait avec leur vie, de cette manière Firmior fut blessé au bras droit, c’était une plaie peu profonde mais douloureuse malgré tout, et Tigrosen avait reçu un coup a la jambe gauche. Malheureusement, l’ennemi se lassa et décida de mettre fin au combat. Il fit un pas en arrière, repoussa tout ses adversaires d’un simple mouvement de la main. Les assaillants furent alors soudainement paralysés, et Tigrosen commença à s’élever dans le ciel, emporté par une force dont l’origine était inconnue.
L’être obscur leva sa seconde main et la dague ayant détruit Ragnarok se dégaina seule de son fourreau pour ensuite se mettre en flottement.
D’un geste de la main, la créature propulsa la dague en direction du visage de Tigrosen. Mais c’est alors qu’un immense bouclier d’un bleu d’une pureté surréelle se dressa devant les victimes du puissant sortilège et l’arme meurtrière prête a assassiner le jeune homme fut repoussée très loin se retrouvant donc perdue quelque part dans cette forêt. La créature n’en revenait pas ! Que s’était il produit ?
A cet instant apparu alors une autre créature obscure. Elle prit la parole :
-Vardek, tu t’es laissé prendre au jeu, peut être devrai te punir ? Non ?
La voix était douce plus agréable que celle du monstre sanguinaire, il la reconnurent tous, c’était celle de Vardak.
-Vardak ! Qu’est ce que tu fais la ? Pourquoi me gènes tu ? C’est notre rôle que de…..
-Je sais. Trancha l’autre. Mais que ferais tu s’il advenait que ces hommes ci font parti des élus ?
-Tsss. Eh bien je m’excuserai auprès du Maître.
- Pitoyable. Tu sais pourtant que les autres ne sont pas prêt n’est ce pas ?
-Pourquoi attendre les autres alors que nous pourrions le faire seul ?
-Si tel est ta question alors pourquoi le Maître devrait nous attendre, toi et moi pour le faire ? Les temps ne sont pas mur. Tu mérites une punition, mais je sais que tu as atteint le premier objectif fixé par notre Maître, ainsi je saurais me montrer clément et t’épargner. Ta punition sera facilement exécutable, quoique je me permets d’émettre des doutes quand au fait que ça le soit pour toi.
-Tu te moques de moi ?!
-Non, ta punition consiste à soigner ces hommes que tu as sauvagement agressé et de leur présenter tes excuses
-Et pourquoi ferai je ça ?
-Préfère tu la mort ?
Vardek, l’agressif être obscur tremblait de tout son corps a ses mots ,s’approcha alors des trois chevaliers, et soigna toutes leur blessures, effaçant même leur cicatrice d’un simple geste de la main tout en disant :
- Toutes mes excuses
Puis il se retourna et murmura quelque chose a l’attention de Vardak, le seul mot perceptible fut « chercher » et il disparut soudainement
Mélrador pris la parole :
-Vardak ?
-Oui Seigneur ?
-C’est quoi votre objectif hein ? Et pourquoi tu as dit a l’autre de nous soigner ?
-Je ne peux répondre qu’as deux de vos trois questions, si je lui ai ordonné de vous soigner c’est parce que peut être serez utile un jour, quand au fait que je sois plus puissant que lui, oui c’est indéniable
Et sur ces mots, Vardak disparut à son tour. Les trois rescapés soufflèrent un coup remerciant Vardak de tout leur cœur puis allèrent se remettre tranquillement du combat, en se blottissant au coin du feu tout en discutant de tout et de rien de manière a évacuer tout stress et inquiétude.
Quand a Kagéru et Alastor, ils n’eurent de cesse de courir depuis l’instant ou ils avaient fui quand soudain un éclat argenté traversa le ciel a une vitesse tel qu’il fut a peine perceptible, bien entendu, cela n’échappa pas a Kagéru.
-Alastor regarde !
-Mais ? Qu’est ce que c’est ?
-J’ai bien ma petite idée ! Suis moi !

Et d’un mouvement rapide, le jeune garçon sauta sur la branche d’un arbre pour se déplacer ensuite en sautant d’arbre en arbre avec une rapidité sans commune mesure. Alastor ne tarda pas à en faire de même.
Puis Kagéru se stoppa net et s’accroupi le regard fixé sur le sol :
-La. Regarde.
-Mais ? Serait ce ?....
-Oui c’est ce que je pense. Puis ils descendirent des arbres pour se rapprocher de ce qui avait formé cet éclat brillant.
C’était une dague, d’une très jolie conception, la garde était d’or, sertie d’un grenat, sur celle-ci était gravé le mot « Aglar ». La lame était luisante, argentée et d’elle semblait émaner de la magie, comme un flux instable, tantôt puissant, tantôt très faible, même un humain pouvait en ressentir la présence, chose normalement impossible.
-Alastor, quand je regarde cette lame, j’ai une étrange impression, une impression que j’ai déjà eu mais avec bien moins d’intensité quand je regardais Ragnarok, je crois enfin comprendre ce dont il s’agit, c’est ça le flux magique que les Elfes ressente dans chaque personne non ? Eréna nous le disait souvent « Pour utiliser la magie, il vous faudra comprendre le flux avant toute chose », c’est de cela qu’il s’agit non ? Comprendre le flux, l’analyser, puis l’utiliser ?
-Eh bien, je suis surpris, tu comprends vite. A vrai dire venant de toi cela ne m’étonne que peu , en effet, ce que tu ressens, c’est la magie, mais même moi je n’avais jamais ressenti une puissance magique si forte, s’en est presque agressif , d’où peut bien provenir une telle quantité d’énergie.
Kagéru n’attendit plus un instant de plus, il s’approcha de la dague, puis la pris dans sa main.
Mais à cet instant, une lumière éblouissante, aveuglante, émana de la lame, surpris le jeune garçon la lâcha et le tranchant repris sa couleur d’origine.
-Ouah ! C’était quoi ça ?
-Je l’ignore…..
-En tout cas, je n’ai jamais senti une telle force s’échapper de mon corps, avec cette arme en main, j’avais l’impression d’être invincible ! Essaye tu verras !
Et Alastor pris à son tour s’en arma à son tour. Rien ne se produisit, l’éclat ne s’intensifia pas, et le jeune demi Elfe ne ressenti rien de particulier.
-C’est un étrange phénomène. Peut être que cette arme choisi elle-même son porteur qu’en pense tu ?
-Je ne sais pas trop, pourquoi m’aurait t’elle choisi moi, et puis pour comble ce serait une dague qui m’attendait, comme si elle savait que c’est le seul type d’arme que j’ai un jour manier ? Ca me parait gros.
-Oui, certes, mais c’est néanmoins plausible, et qui plus est la seul explication possible. Emmène la avec toi, elle pourrait te servir.
-Oui tu as raison, mais une dernière question m’effleure l’esprit, cette arme, ne serait ce pas celle qui a tranché Ragnarok ?
-Il me semble en effet, mais comment cette créature aurait pu égarer son arme aussi loin, ou plutôt, qui aurait pu la désarmé et envoyer sa dague aussi loin ?
-Tigrosen peut être ? Il maîtrise bien la magie non ?
-Il est vrai qu’il maîtrise la magie avec une grande dextérité, mais face a une telle créature cela me parait insensé.
- Quoiqu’il en soit avancions, il ne fait pas bon de rester au même endroit trop longtemps dans cette forêt.
-Tu as raison, allons dans la clairière dont tu m’as parlé.
Mais avant même d’avait pu faire le moindre pas pour repartir, les deux jeunes garçons se figèrent sur place.
Les arbres s’écartèrent, laissant passer la lumière de la lune, tout en créant un long chemin au bout duquel il était possible de voir la clairière, ainsi que la maison dont Kagéru avait parlé.
-Qu’est ce qui se passe ? Comment la foret peut elle avoir bougé ?
-Krimcks ! Cachons nous Alastor ! Vite !

Mais une voix les arrêta dans leur élan :
-Attendez !
Cette voix était grave, avec un fort accent, l’accent des mines, autrement dit, un Nain.
Effrayés mais n’acceptant pas de mourir sans combattre les deux garçons sortirent leur arme.
Kagéru dégaina son tout nouveau joyau et Alastor tira du fourreau la garde au bout de laquelle tenait encore la moitié de Ragnarok.
-Mais……Ragnarok ! dit le Nain
-Comment ? Vous connaissez Ragnarok ?
-Je voulais vous parler, ceci m’en donne encore plus envie, suivez moi.
-Je ne préfère pas, et si cela était un piège ?
-Tu es prudent jeune homme, mais si je voulais vous tuer, je le ferai des maintenant. N’ayez crainte et acceptez d’entrer dans ma modeste demeure.
Et ils prirent le long chemin lumineux en direction de la masure du Nain tout en restant sur leurs gardes prêts à agir au moindre mouvement suspect.
Une fois a l’intérieur, ils remarquèrent à quel point la demeure était humble.
Mais ils étaient tous de même en admiration.
De nombreux manuscrit était rangé très soigneusement sur une étagère, de nombreux titre se faisait voir comme « Ragnarok» ou« La légende de celui qui a usurpé l’identité de Dieu » ou encore « La magie, les secrets d’un art »
Le centre de la pièce était occupé par une grosse table de bois sur laquelle il y avait trois chopes remplies de bière. Apparemment Krimcks prévoyait déjà de recevoir quelqu’un.
-Asseyez vous et mettez vous a votre aise. En premier lieu je répondrai à vos questions, ensuite je vous apprendrai certaines choses, sans trop vous en dire.
-Que voulez vous dire ?
-Vous le comprendrai le moment venu, je vous écoute.
Alastor pris la parole :
-Pourquoi nous mener ici ?
-Parce que je crois que l’espoir du peuple se trouve quelque part en vous.
-L’espoir du peuple ?
-Le Salut, je ne peux en dire plus.
-Très bien, passons a une autre question, pourquoi ne pas avoir tuer Mélrador ?
-Parce que bien que le roi le recherche et qu’il soit un criminel en puissance, il est l’un des plus méritant que cette planète comporte a ce jour.
-Méritant ? Méritant quoi ?
-Un jour vous le saurez.
-Je vois. Quelles sont ces créatures obscures si étranges que par deux fois nous avons croisé en ce lieu ? Nous avons vu bien des créatures, mais celles-ci étaient différentes, elles ne sont pas d’ici, vous n’êtes pas leur Maître alors qu’est ce ?
- Des créatures obscures ?
-Une sorte d’être humain, mais portant de longues capes, dissimulant leur visage, leur voix semble émaner de celui a qui elle parle, et je soupçonne que seul ceux leur faisant face soit capable de les entendre.
-Je …..Je ne vois pas de quoi vous parlez tout les deux !
-Très bien, comment connaissez vous l’existence de Ragnarok ?
-Je ne peux te dire exactement pourquoi néanmoins, jusqu'à quel point connaissait vous l’histoire de cette arme ?
-Nous savons que c’est un Elfe qui l’as forgé, pour l’offrir aux Humains comme pacte de paix mais qu’il se fit assassiner peu de temps après et que la lame devint noire. Apres les possesseurs mourrait tous peu a peu de manière affreuse, puis elle disparut, jusqu’au jour ou elle réapparut.
-Je vois. Alors vous ne savez rien. Et cette Dague que savez vous ?
-Celle-ci ? Rien, du moins n’a part qu’elle soit incroyablement puissante.
-Bien alors a mon tour de vous dire certaines choses, pour commencer, sachez que la couleur que revêt Ragnarok n’est pas du a son utilisateur ni a la mort de l’Elfe l’ayant forgé, cette noirceur est un avertissement.
-Un avertissement ?
-Oui mais je ne vous en dirais pas plus.
-Un avertissement pour le porteur ?
-J’ai dis que je ne dirais plus rien a ce sujet, prenez juste garde !
-Oui très bien !
-Ensuite deuxièmement, sachez qu’elle n’ai pas détruite a jamais, elle est réparable, mais seul un forgeron pourrai le faire, et vous n’êtes pour l’instant pas en mesure de le rencontrer et je ne vous dirais pas ou il réside, pour cette réparation, il faudra attendre que les temps mûrissent.
-Très bien, autre chose ?
-Oui cette dague, elle se nomme Zorin, et sa puissance est sans égale dans ce monde. Mais ce n’a pas tout, il y a autre chose, que je ne vous apprendrai pas maintenant. A présent c’est mon tour de posez une question. Aimez vous le roi ?
-Nous ne l’aimons pas, mais nous ne le haïssons pas, nous lui sommes indifférents, mais nous apprécions tout ce qu’il fait pour les Humains et son fils Firmior est une agréable personne.
-Très bien, sachez que la vérité est sombre. Lorsque vous comprendrez tout revenez ici je vous mettrai sur la voie.
-Très bien, mais si nous ne comprenons jamais ?
-Ne revenez jamais sans quoi je vous tuerai.
-Très bien.
Les deux garçons se levèrent près à quitter la demeure mais Alastor s’arrêta au seuil de la porte pour reprendre la parole :
-J’ai encore deux questions……et un ordre.
-Hoho tu oses exiger des choses ?
-Oui je ne pense pas que vous soyez contre.
-Je t’écoute
-Pour ce qui est de mes questions, la première est celle-ci : puis je reprendre mon cheval ?
-Bien sur !
-L’ordre est le suivant : Ne nous ouvrez pas le passage, nous nous le créerons seul.
-Hahaha, pour l’entraînement n’est ce pas ? Vous etes de bons gamins, vous irez loin !
-Quant a ma dernière question elle n’est autre que : Vos connaissance vienne t’elle de vos ouvrages ?
-Non, tout cela n’est qu’un tissu d’inepties, maintenant part !
Et Alastor quitta la pièce, retrouvant Kagéru qui se tenait déjà près du cheval près à se remettre en route.
-Tu crois qu’il as dis toute la vérité ?
-Non il nous a menti. Il sait ce que sont ces créatures, j’en suis certain. Elles doivent faire parti de ce qu’il a appelé la « vérité ». Allons y
-Oui

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zali
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MessagePosté le: Dim 18 Mai 2008, 11:07 pm    Sujet du message: livre Répondre en citant

essaye de le faire publier moi je l'achéterais et ça pourrais te rapporter gros
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weria
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MessagePosté le: Mar 17 Juin 2008, 12:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tu voulais que je lise ton histoire, voilà qui est fait ^^
Bon j'avoue, je n'ai pas lu la partie en deuxième page, ça faisait trop d'un coup. Mais je vais te donner mon avis sur la première partie.

Tout d'abord, j'adore les récits de guerre, et l'ambiance médiévale me plait beaucoup. Le bon point c'est que tes personnages ont un langage qui colle avec l'époque où ils sont, le seul petit problème, c'est que tu fais parfois des fautes de conjugaison, mais rien de bien méchant ^^.

Ensuite, il y a dans ton histoire un grand cheval noir appelé "Ténèbres", rien qu'avec ça, tu peux être sûr que j'accroche. Ce que je trouve étrange en revanche, c'est que le prince accepte si facilement que Mélrador intègre leur troupe alors qu'il vient de tuer une dizaine de ses hommes.

C'est dommage qu'il n'y ait pas plus de monde pour venir la lire, parce que ton histoire mérite qu'on s'y intéresse. Je lirai la suite dans queques temps, promis Wink

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